L

a cloche sonna. – « excellent travail. pour la semaine prochaine vous me finirais tous ce devoir d'arithmancie. celui qui ne le finiras pas sera collé, bonne journée. » un sourire agréable passa sur tes lèvres. prenant ta baguette et tes livres tu les ramena rapidement dans ton sac ou ils iraient finir. te levant, passant la bandoulière de ton sac sur ton épaule tu saluas agréablement le professeur encore assis à son bureau avant de sortir de sa salle de classe assez fier de ton travail. passant la porte, un sourire calme sur les lèvres tu te retrouvais rapidement coincé entre les élèves. les couloirs venaient de se remplir et cela a ton grand déplaisir. tentant de te frayer un chemin vers la salle commune tu te retrouvas rapidement coincé sans aucune retenue. soupirant, tentant désespérément de trouver un chemin agréable, tu te retrouvas rapidement éjecté dans un coin semblable. personne, le bruit des élèves venant simplement à tes oreilles, libre de faire tout mouvement pour rejoindre la salle des merveilles. ainsi tu avanças d'un pas calme et assuré jusqu'à ce qu'une voix sortit de cet endroit vienne à tes oreilles. aucunement curieuse par d'habitude, la vipère pourtant sifflant attiras rapidement ton attention. alors tu t'approchas de cette porte entrouverte ou là tu sombras dans cauchemars et non merveille. assise sur un table, jambe écarté, niché entre elle une bleu au regard sans pareil. souriant, la tenant par la taille déposant par moment des baisers sur sa maille. heureux, taquin, jouant de ses mains, venant par instant caresser ses long cheveux avant de lui sourire de mille feu. une main vint se déposer sur ta bouche, évitant un soupire qui aurait pu faire mouche reculant ainsi d'un pas, tu soupiras avant de reprendre le chemin désiré vers la salle des jaunes et noirs dispersé. la balade fut moins agréable, le sourire effacé la mine renfrogner, bousculant même par instant certain élèves sans même chercher à t'excuser. passant le tableau d'entrée tu te laissas rapidement tomber sur un des canapés. ton sac tombant sur le côté, soupirant comme jamais. c'est ainsi qu'après quelques minutes tu remarquas un regard intéressé, posait sur ta personne attendant de s'en accaparé. ainsi tournant le regard tu vis tonks t'observais avec un certain désespoir. – « tu as cassé ta baguette ?! » demanda-t-elle avant de venir s'assoir prêt de toi, attendant une réponse qui ne saurait être dérisoire. – « non ne t'en fais pas. juste une tête de gnome qui m'a prit pour une goule.. » tu soupiras, elle fit de même, déposant une main consolante sur la tienne. – « il n'en vaut pas la peine ! bon.. on en reparlera au repas je dois aller en potion à tout à l'heure » tu lâchas un maigre sourire avant de la laisser fuir. elle avait peut-être raison, il n'en valait peut être pas la peine.. pourtant le voir ainsi tenir dans ses bras une autre que toi avait attisé ta haine. pourtant jouait il ainsi ?! votre histoire n'avait donc aucune important pour lui ?! cela te décomposais peu à peu, comme s'il avait joué avec le feu et que par malheur c'est toi qui en avait subit le châtiment brulant. tu soupiras encore et encore, laissant ton regard se posait dans les flammes de la cheminée, tentant juste d'oublier.. pourtant la cloche sonna encore et l'heure du repas te fis tore. levant ainsi les yeux aux ciels, tu laissas tomber ton sac pour rejoindre la vie éternel. grimpant les escaliers tu trouvas rapidement tonks toute enjoué. elle te raconta ses exploit en cours de potion, pourtant cela n'attira en aucun cas ton attention. t'installant à la table de ta maison, tu fuyais inlassablement tes tentations. le repas se fini rapidement, laissant là ta compagne de repas pour chercher tes affaires et te diriger vers les serres. le cours de botanique te métrais certainement de bonne humeur et te ferais oublier les tracas des prochaines heures. malheureusement malgré ton attention, aucune plante n'attiras ton approbation. assises dans les serres, le regard vagabond et distrait, cherchant par un autre moyen de te dissiper. tu souffrais sans même le savoir, ou l'avouer, prise dans un désespoir qui te ferais surement sombrer. tout cela n'était que mensonge et amusement, il t'avais mentit et sans aucune honte. la cloche sonna, alors que tu désirais simplement rester là tu le vis passer devant toi. marchant à vive allure vers le parc du château, sans hôte. alors rangeant tes affaires à vive allure tu sortis de la serre sans ton habitude. courant vers lui tu le rattrapas rapidement, posant une main sur son épaule pour le faire se retourner à ton niveau. – « espèce d'idiot ! tu as vraiment crue que tu pourrais me prendre inlassablement pour une goule ! » lanças tu avant de faire un pas en arrière pour le fusiller du regard. il n'avait pas l'air de comprendre et son regard était de loin d'être adorable. – « ne fais pas celui qui ne comprend pas ! je ne pensais pas cela de toi.. on dirait verpey dans ses grand jour.. félicitation tu viens de perdre toute le respect que j'avais pour toi ! heureusement tu en as d'autre sous la baguette pour te donner ce que je t'offrais jamais » ta voix avait pris un nouveau ton, beaucoup moins agréable et provocateur, beaucoup plus destructeur. tu lui en voulais de tout ton être, déçus et meurtrie par son acte d'infidèle. pourtant tu n'aurais du rien dire, il n'était pas le pire.. à vrai dire vous n'étiez pas ensembles et pourtant tu en tremble. perdu dans ses yeux, esclave de sa beauté et de son caractère, voilà que dans une simple vision il te m'étais à terre. la discutions serait féroce et sans aucune tentation, et pour votre plus grand bonheur le ciel avait décider de vous aider à exprimer vos rancœurs. d'un noir menaçant, grondant déjà au loin, la pluie ne tarderais surement pas à vous tremper de son chagrin..

J

alousie, appartenance, des mots faisant ta dépendance. malheureuse et certaine d'une trahison, blesser à chaque tentative de combinaison. le voir, assis dans se bras, déposant ses lèvres sur sa peau, et en oublier ta simple présence. détruite, intérieurement pleurant cette faiblesse fortuite, en silence et dans une once de décadence. l'esprit qui danse, ayant déjà perdu toute nuance, avançant pas à pas vers ton destin qui mènerait à ton déclin. s'amusant à valser avec une autre, il trouve encore le moyen de plaider sa cause. partiel idée de mensonge, tendant vers l'ignorance juste pour éviter cette danse. il ne dit mot, écoutant tes paroles, il y dépose sa colle. il ne comprend guère tes intention sévère, il tente même de dire mot, alors que tu l’achève par ton échos. alors il se tait et se taire attendant que ta phrase se perde. alors dans un souffle de fausse incompréhension il tente la désillusion – « Mais de quoi tu parles, bon sang !? » il ose et te débauche, de cette voix si surprise ne comprenant la cause de cette hystérie. alors tu croises les bras sur ta poitrine, baissant le regard vers d'autre origine. le silence doucement prend place alors que la pluie doucement fait rage. goutte après goutte coulant le long de ton visage, s'installant un instant sur ta joue pour mourir en ce paysage. goutte après goutte elles tentent de te tremper de te faire greloter. pourtant la rage te submerge t’empêchant de céder a des frissons non demandé. alors tu relèves le visage, laissant à nouveau l'eau couler contre ta peau, glissant sans crier garder pour se fondre a tes larmes. deux gouttes ne provenant aucunement du ciel, perle le long de ta joue, naissant d'une colère interne dont tu ne comprends la raison.. tu le détestes surement autant que tu l'aimes, pourtant la haine à prit place et ne laisse aucune chance à une intervalle. les bras se dénoue et tombe le long de ton corps, là tu soupires, caressant ton visage du revers de la main pour faire mourir l'eau se déversant en ton sillage. alors tu trouves ton regard, au milieu de la première averse instable. là tu te noie rapidement en son sein sachant très bien la fin de ton destin. emprisonné de sa beauté et de son intelligence, attentive et certaine de cette appartenance. amitié, pourtant si simple à convoité, se transformant machinalement en un sentiment des plus animé. gardienne d'un secret dont tu ne prends toujours aucunement conscience, perdu dans les méandres d'un désir et d'un sentiment qui te perdront en silence. alors tu soupiras encore avant d'ouvrir la bouche pour ne dire mot. que répondre à cette question pourtant si simple ?! vérité ou mensonge ?! devrait-il réellement connaitre la cause de cette discutions ?! au fond de toi cette douce voix te demandais de te taire, d'oublier et de faire machine arrière. pourtant la rage grimpant le long de tes rein, trouvant rapidement ta gorge te faisant craché des mots incertain. – « ne te moque pas de moi woog ! » crachant ces mots à son visage, furieuse et pleine de rage. – « si innocent caché sous tes convenances, mensonge et joueur s'amusant à me briser le cœur » chaque mot sortant de ta bouche d'une manière si audible et si cassante. briser par cette vision, détruite par cette idée de n'être qu'une simple poupée auquel on trouver bon de ne rien avouer. soumise à son être, se trouvant confronté a la rupture de ce lien si inconventionnelle. interdite de lui tomber dans les bras, interdite de lui montrer tout attachement pour les dit demande d'un serment. destiné à n'être que la femme d'un être détester, et pourtant esclave d'un être aussi peu civilisé.. destin si peu intéressant et si joyeux, ne laissant guère de place a une autre guerre. là, malade de ce lien d'esclave venant à prendre fin, ne désirant que le fuir et recommencer en un autre sein. pourtant tu ne pouvais bouger, désirant une réponse un aveux bafoué. alors tu gardais ton regard plonger dans le sien attendant une réponse, ou simplement la révélation de sa nouvelle distraction.

D

istance mère de toute souffrance. trahison et manipulation, détruisant un instant tes espoirs pour les ruiner sans aucun état d'âme. inspiration naissante pour trouver en lui un instant de réconfort, pourtant naissance d'un unique mensonge qui mènerais à ta destruction. la pluie s'acheminait rapidement le long de ta peau coulant à flot pour cacher quelques sanglots. détruite et triste sans en comprendre la signification, blesser et abattu par sa simple fabulation. l'âme se craquelant sous l'effet de cette douleur, totale compréhension en cette heure. pourquoi ce mal avait il prit possession de toi ?! pourquoi cette vision avait elle eu raison de toi.. sans attache, n'y sentiment, et pourtant si compromise en cette instant. reniant durant quelques instants cette attachement, comme si dans un espoir cette histoire ne saurait s'attacher à tes idées noires. alors tu tentes un aveux, si peu révérencieux, haussant le ton espérant qu'il comprenne la raison de cette confrontation. pourtant il ne dit mot, alors tu ajoutas encore quelques mots sans pourtant réussir à lui arracher un de ces sourires. alors tu soupires les bras tombant le long de ton être, il t'observe et plonge son regard en ton être. tu ne comprends pas ce qu'il te touche encore chez lui, pourquoi cette simple idée qu'il cède a autrui te rend si horrible. – « Ma patience ne tiendra nul doute plus longtemps par tes dires. J’ignore quel est le sujet de ces attaques. Mais en cet instant, j’ai peut-être bien mieux à faire que d’écouter des reproches incompris. Si tu ne souhaites pas m’expliquer un tant soit peu, je préfère m’en aller. » lance-t-il dans une reproche. tu fronce alors les sourcils, passant une main sur ton visage pour feindre ses larmes qui vacilles. il t'exaspère et te désespère, pourquoi ne comprend il pas le mal qui te rend si amère. tu baisses alors le visage, laissant la pluie te fondre dans son visage, tu espères un instant que les gouttes qui s'installent t'offriront un abri convenable. pourtant tu sens son regard qui t'observe et attend depuis quelques instants une réponse de ta par. plus claire, plus compréhensible, lui permettant de comprendre la cause de cette hystérie. alors tu relèves le regard comme par défit le plantant avec argent dans le sien par ironie. là tu soupires et déplace ta tête de droite à gauche, avant de soupirais un peu plus fort cette grande déception. comprendrais tu enfant le mal qui te possède ?! des sentiments invraisemblable qui te bouffe la tête.. mal être insensé, amour déchiré, terrifiante idée que de te voir aussi désabusé.. perdu est emprisonné, là si proche de lui et pourtant désirant simplement le fuir.. alors tu soupires, une nouvelle fois espérant trouver une solution a cette perdition. pourtant rien ne te viens et tu fini par cracher ton venin. – « tu t'amuses avec beaucoup de fille comme tu le fais avec moi ?! crachant ton venin sur des demoiselles ayant mon destin ?! leur retournant le cœur pour mieux les noyer sous la rancœur.. » finis tu pas avouer avant de détourner le regard avant d'ajouter – « une fille adorable cette blue.. surement encore plus quand tes mains caresses sa peau et que ton regard se noie dans le sien ! coïncidence .. faire la même chose en ma présence.. » déçus, perdu. sans un autre mot, passant une nouvelle main le long de ta peau tu décide de fuir une nouvelle fois, pour éviter qu'il n’aperçois chaque larme dans lequel tu te noie. alors tu fais quelques pas en avant t'approchant de lui pour le frôler un instant, passant à ses côté pour continuer ton chemin loin de sa présence si désiré.

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bservation, déduction, tout te poussant à prendre une autre direction. c'est ainsi que tu avais pris l'initiative de reprendre la route de trouver un endroit ou il ne se trouverait pas. tu avances en silence, cherchant un endroit à ton absence. pourtant tu avance et il rencontre ta main il la saisie et t'incite d'un simple mouvement à faire volteface. là son regard se plonge dans le tien, interrogateur et investigateur de ta tristesse désirant t'avouer ses faiblesses. – « Il semblerait que la jalousie te guette, Potter. Depuis quand t’amuses-tu à espionner le moindre de mes faits et gestes ? » ajouta-t-il avant de poursuivre dans un même sifflement – « Blue est ma meilleure amie. Tu le saurais depuis longtemps si tu m’avais posé la question, au lieu de piquer une crise fatale et destructrice. » il s’arrêta un instant comme reprenant son souffle pour mieux continuer sa course. – « Il me semble que toi aussi tu préfères t’amuser avec un Serdaigle. Londubat, c’est ça ? Nous savons tous les deux qu’Ulrich n’apprécierait guère. » le clapotement de l'eau ruissellent sur vos visages reprit alors l’avantage laissant à vos voies un souvenir de mirage. plongeant son regard dans le tien il relâcha ta main. silencieuse, vipère, si féroce ayant trouvé sa force. jamais, au grand jamais il n'avait montrer cette facette si sombre et si certaine. frissonnant un instant tu remontas une main dans tes cheveux comme il l'avait fait quelques instants auparavant, dégagent ton visage un instant. si détestable, perdant tout son charme, ruinant cette douce vision que tu avais eu en d'autre situation. colère et tristesse se mêlant, dansant ensembles dans ton cœur se perdant. détruite à chacune de ses paroles. les larmes se mêlant à la pluie vous enrobant de sa douceur, se mêlant a ta peur et ton destructeur. le regard dans le sien, triste, cherchant un soutient, déçus de n'y trouver rien.. tentant de rester forte et de ne pas paraitre morte, face au détenteur de toute ces émotions qui n'avait sur trouver un nom. tu le détestais, jouant avec des paroles dont il ne pourrait maitrisé l’ampleur, s'amusant de tes peurs. le regard perdu dans le sien, tu lui fis alors face, ne désirant aucunement le fuir, lui faire comprendre la douleur qui t’empêcher de t'épanouir. – « toi aussi la jalousie te guette en quoi ma relation purement amicale avec comme tu l’appelle londubat t’intéresserait elle ?! lui au moins à la décence de ne pas s'amuser avec mes sens » crachas tu as son visage en oubliant même l’histoire de base – « c'est alors le seul moyen que tu as trouvé pour me faire regretter ?! parler d'ulrich dont l'affection ne me rend aucunement riche ?! de ces fiançailles si peu joviale ?! de cette affection qui ne trouvera jamais de nom ?! crois-tu réellement que je l'aimes ?! pense tu réellement que mon affection pour lui pourrais égaler celle qui me guette ?! » une histoire te faisant souffrir depuis sa création, qui n'avait toujours pas trouvé ton affection. détestable garçon ayant trouvé comme moyen de pression une bague aussi moche que son propre prénom. sujet féroce et détestable qui avait attisé ta rage. – « nous nous aimons pas, et cela n'arriva pas. » crias tu assez fortement au milieu du bruit de l'eau dégringolant. la rage avait pris place au son de l'orage, s'amusant à te torturer de l'intérieur pour attisé toute tes rancœur. tu en avais oublier blue et leur lien amical qui a tes yeux avait eu l'air d'un scandale. tu ne pensais plus qu'à ses paroles douteuses qui avait créer en toi un dégout presque monstrueux.. – « tu es donc ainsi.. sombre et comme les autres.. la colère te gagnant avouant des mots qui saurait me faire faiblir.. je pensais que notre relation avait une once d'importance a tes yeux.. mais a la suite de tes douces paroles je comprends qu'après tout je ne suis que la poufsouffle trop naïve avec lequel on s'amuse quand le temps nous en dit.. » murmureras-tu avant de lever les yeux aux ciels, soupirant, désespérant, comprenant rapidement que tes sentiments n'avaient aucun lieu d'être en cet instant..

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outte d'eau après goutte d'eau, ruisselant sur vos visage hurlant, tristesse et désenchantement, brisant chaque rêve en un instant. histoire prend un nouveau tournant, qui depuis un moment tourner en rond inlassablement. peut être une ouverture dans ce cycle infernal trouvant peut être une faille a ce sourire si peu joviale. goutte d'eau après goutte d'eau caressant ton visage avec silence dé déconcentrant de sa présence. pourtant il est toujours là face à toi criant de toute ta voix, espérant que tout tes mots arriveront à lui donner raison. l'histoire recommence, tu t'attaches et tu en souffre éternellement. sentiment interdit, car promise à un autre, ne devant faire aucun faux pas de peur de rompre ce non célibat. fiancé à un dégénéré un fou furieux qui ne saurait aimer. te gardant prisonnière et éphémère, n'osant même pas y penser de peur de t'y bruler. enfermé et promise impossible de trahir cette douce promesse, d'un mariage de princesse. pourtant ton conte de fée à rapidement changer de cape quand tu l'as rencontré. alors tu doutes de tes intentions, tentant de t'échapper de cette prison. inconsciemment désirant aimer et pourtant te résiliant à céder. face à toi cette vipère t'inspire, dans ses bras tu te verrais frémir, pourtant ta dignité te rattrape t'installant loin de ses bras. alors tu soupires d'un désir ardent, résistant a ses avances depuis un moment. pourtant tu ne désirs que ses bras y passer ton temps et oublier tout tes traquas. il le sait bien et s'en amuse te tentant à céder à de douce aventure. pourtant rien n'y fait, même la tentation a perdu pied. alors que tu cris sous cette orage il rompt un instant cette rage – « Tu ne comprends pas. Tu m’as consumé. Tu m’as détruit à me faire languir pour garder une once de dignité avec ces pseudos fiançailles. Tu sais parfaitement que tu vas finir par les rompre, et tu luttes encore. Et sous prétexte que je prenne Blue dans mes bras, tu viens exploser ta jalousie et ton dévolu sur moi ? Pour un pur geste amical ? Peu importe ta relation avec Londubat ou Ulrich. La jalousie ressentie à ton sujet n’a plus lieu d’être depuis plusieurs semaines. Je supporte déjà le fait que tu sois fiancée à un autre et le fait que tu n’arrives pas à te décider. » voix si triste et si peu amical, te reprochant son manque de décision et de tact. ses paroles te blesse encore d’avantage. tu aimerais lui céder lui être dévoué, pourtant la simple idée de rompre ta promesse n'est pas envisageable. alors tu le fuis du regard, malheureuse de ne pouvoir lui offrir une promesse, te cachant sous ta tristesse. que faire ?! oublier cette lourde charge pour déposer les armes ?! toucher ses lèvres et t'y perdre enfin et rompre tout accord avec ton destin ? alors il prend la décision à ta place, il te rapproche de toi, rompant un instant la pluie tombant à tes pieds. là tu relèves la tête attiré par sa présence, trouvant ses prunelles noir pour t'y noyer. – « Tu m’accuses de choses insensées. Tu ignores même ce que je peux ressentir. Pour elle, pour les autres. Pourtant, tu connais mes sentiments à ton égard. Dans le fond, tu sais qu’il n’y a que toi, que toi que j'aie envie d'embrasser. Et c’est terrifiant, ce sentiment. » des mots glissant entre ses lèvres qui ne semble en aucun cas éphémère. tu baisse alors le regard, perplexe et pourtant certaine de la vérité de ses lettres. alors tu soupires encore, te rapprochant d'avantage de lui, empêchant l'eau de couler entre vos corps et d'installer cette barrière inodore. tu déposes alors tes mains contre son tee-shirt trempé, relevant doucement le regard d'un air désolé. là tu souffles doucement grelotant par moment laissant l’orage et sa compagne discuter à votre place. c'est après quelques minutes sans aucun mouvement que tu te décidas te reprendre vie en sa compagnie. restant là sous la pluie tu fis grimper une main contre son visage, sa peau douce et pourtant mouiller de cette eau tomber du ciel. tu y reste un petit moment avant de relâcher cette connexion pour retourner à ta première occupation. – « je.. je suis désolé.. trop absorbé par des désirs autre que les miens j'en ai oublier l'importance des miens.. je suis enfermé dans cette histoire alors que je sais très bien qu'il faut que je m'en échappe.. » soufflas tu après quelques secondes en baisant le visage pour ne pas devoir trouver son regard. – « je.. je suis terrifié.. » un silence s'installa durant quelques instant avant que tu reprennes enfin trouvant tes mots – « ce sentiment.. si terrifiant.. mais qu'arrivera-t-il après si l'on lui offre cette place désiré ?! ça me pétrifie si tu savais.. » alors tu relevas doucement ton visage pour trouver son regard comme si tu prenais enfin ta décision, perdre pied là avec lui sous la pluie dans cette atmosphères électrique..