ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you.
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Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 12:51
Miguel de Unamuno, un moldu écrivant des livres avait un jour écris "Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder." en ayant rédiger cette citation il avait touché un point fulgurant dans votre relation. cela faisait des mois que votre histoire avait commencer, des mois que vous discutiez derrière des pages déchirés, des mois qu'il s’avançait alors vers toi et de son souffle chaud et tentateur d'infliger cette rude douleur. cette lourde tentation traversant ton échine grimpant à tes lèvres pour mourir en lui. un besoin maladif de l'avoir prêt de toi, te blottit en son corps et de t'y perde en douceur. seulement, cette tentation devenait un danger, une faille qui te tyranniser. balader entre deux image, celle d'un désastreux mariage, et celle de cette relation si désirable. peut-être pensant trop au conséquence de tes actes, peut-être trop soucieuse de leur impact. perdu au bord du gouffre de tes sentiments, entre la fierté familiale et ton propre entendement. que choisir quand votre cœur se perd entre deux rivage ?! quand votre esprit prend le contrôle et empêche certain choix. dure était le choix, mettant déjà ton cœur en émois, te corrompant par un sourire, un regard pétillant, te rendant désirable et perdante. alors le choix était fait, du moins au fond de ton être tout était déjà décider. dans ses bras tu voulais naitre et mourir, te blottir en son sein et ne plus en partir. mais, là dans ce monde extérieur, se trouvait ton véritable bourreau, celui qui dans un geste te m'était à terre. te brisant le cœur et le corps à chaque rencontre, te forçant à porter cette foutue bague ne t'allant absolument pas. tu le détestais comme jamais tu avais détesté quelqu'un, certes regulus avait déjà une agréable avance sur ce barème et pourtant ulrich attisait ta haine. alors là debout face a cette horrible attirance tu te sentis faiblir de tout ton être. s'approchant encore de toi il laissa ses lèvres dire mot – « La meilleure façon de résister à la tentation reste d’y céder. »non. tournant les talons tu lui prouvais qu'aucune tentation ne devrait être céder. alors tu repris ta place, tournant une nouvelle page, cachant ton visage. là tu soupires un instant déconcerté et désespéré. il t'attire tellement, tel un aimant dont tu ne peux repousser l'attirance. esclave de son être, de chaque mot traversant ses douces lèvres. ridicule situation – « Il est pour quand le mariage, princesse ? » lança-t-il sous une certaine provocation. à peine cette phrase eu traversé ses lèvres que tu te figeas en silence. pourquoi posait-il cette question idiote ?! que cherchait il à provoquer par cette question ?! il t’énervais, pourquoi avait il besoin de rompre ce moment de calme par une question aussi irritable. tu soupiras, fermant ton livre d'une façon assez brutal, là tu te tournas vers lui, accoudé au armoire pleine de livre. là tu lui lança un regard glaciale comme pour lui faire comprendre que cette question n'était en aucun cas la bienvenue dans cette situation. – « quand nos études aurons prit fin. » avouas tu avant de te relever pour te rapprocher à nouveau de lui. cette fois tu ne t'installas pas en face de lui mais à son côté, coller aux carreaux froid de la bibliothèque. là tu soupiras à nouveau comme par dépits puis tu rajoutas – « j'ai presque envie de rater chacune des années à venir pour ne jamais voir ce moment s'assouvir. pitoyable n'est-ce pas ?! » interrogeais tu avant de faire volteface pour lui tourner le dos et observer en silence la vie au dehors de ces carreaux. pitoyable situation, mariage non désiré et pourtant dans l'obligation de le voir se réaliser. soupir encore a cette simple idée, préférant mille fois devoir lui céder.. là dehors des élèves s'amuser à courir dans la neige recouvrant le sol auparavant si vert. tu eus comme un mince sourire avant de te retourner à nouveau pour retrouver son regard, si pétillant si tentant. te rapprochant de lui tu t'installais contre lui, ton bras glissant le long du sien, trouvant sa main. pourtant tu n'y fit rien, la laissant simplement la toucher par instinct. là tu soupiras encore, avant de trouver son regard encore un fois t'y perdant, tout en savourant. là tu eu comme un petit sourire de gamine, timide et pourtant certaine de sa bêtise. – « si à ma place la tentation et l'obligation ce mener bataille, quel chemin prendrais tu pour te sortir de cette pagaille ?! » besoin de conseille ou simplement d'un avis. même si poser cette question à ta tentation t'offrirait surement une réponse sans véritable observation.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 17:58
“ absinthe et maddox. ”
L’ambiance survoltée et électrique semblait s’être apaisée lorsqu’elle s’était détachée de lui. Elle était allée s’asseoir sur sa chaise, et avait simplement tourné la page de son livre d’herbologie pour pouvoir le poursuivre. Maddox avait été amusé par sa réaction, car ça avait été la seule solution qui semblait s’être proposée à elle. S’en délectait-il ? Assurément. Il s’était alors appuyé contre le mur et l’avait observée de dos. Il aurait aimé pouvoir se rapprocher d’elle, venir lui caresser ses longs cheveux mordorés par les lumières de la bibliothèque, lui donner un simple baiser sur la joue ou lui prodiguer de simples caresses pendant qu’elle se mettait sérieusement à sa lecture. Mais il ne l’avait pas fait, préférant garder ces quelques mètres de distance, comme s’il avait eu envie de voir ce qu’elle allait faire. De voir si elle allait revenir vers lui par manque, par obligation, par envie. La testait-il ? Absolument pas. Maddox esquissa un fin sourire, alors qu’il comprit qu’elle tentait de le fuir. C’était assez amusant de voir un tel retournement de situation. Suis-moi, je te fuis. Fuis-moi, je te suis. Et ça n’était pas prêt de s’arrêter. Ils le savaient tous les deux. L’histoire, dans laquelle ils s’étaient embraqués, les éprenait plus vite qu’ils ne pouvaient le penser. Rapidement, il n’hésita pas à user d’une question provocatrice pour la sortir de son livre. Quand allaient-ils se marier ? Il n’en avait aucune idée. Il n’était pas bien sûr de vouloir le savoir tant cette idée lui déplaisait intérieurement. Évidemment, il se gardait bien de le lui dire, de le lui montrer, gardant un naturel déconcertant. La réaction d’Absinthe ne se fit pas attendre. Il la vit se raidir, redressant la tête hors de son bouquin. Elle le referma brutalement, d’un coup sec et bien donné. Mad se doutait qu’il avait touché une corde sensible, et là était le but premier de sa question méprisable. Digne d’un Serpentard. Elle se retourna alors vers lui, et lui balança un regard glacial qu’il savoura par un simple sourire provocateur et un regard charmeur. – « Quand nos études auront pris fin. » Finit-elle par lui répondre de façon assez désagréable. Maddox savait qu’il lui restait à peu près quatre ou cinq ans à Poudlard, avant d’en avoir réellement fini ses études. Ça lui laissait tout autant de temps pour la faire céder à ses avances, et également pour profiter d’elle.
Absinthe se redressa alors et retourna près de lui. Elle se posa à ses côtés, le regard fixé sur les carreaux incolores de la bibliothèque. Il resta appuyé et fixa ce qu’il se passait devant lui. Soit, pas grand-chose d’étonnant. – « J'ai presque envie de rater chacune des années à venir pour ne jamais voir ce moment s'assouvir. Pitoyable, n'est-ce pas !? » Enchérit-elle. Il trouvait ça plutôt désespérant. La situation était plus déplorable qu’il n’aurait pu le penser. Au point de se laisser redoubler chacune des années à venir ? C’en devenait critique. Maddox fit une légère moue, mais se reprit aussitôt. Elle lui fit alors volte-face. Il déposa son regard sur elle, comme elle le fit sur lui. – « Tu sais que t’es paradoxale ? Tu ne l’aimes pas, mais tu tiens trop à ça que pour te laisser aller. » Où était la logique ? Il l’ignorait. Certes, il savait qu’Absinthe faisait ça pour l’honneur familial. Mais ne risquait-elle pas de les décevoir davantage en ratant chacune de ces années ? Qu’est-ce qui était le pire ? Il l’ignorait. Maddox avait toujours pensé qu’elle avait fini par accepter son sort. Lui ne s’y était pas encore résigné. Maintenant, il savait que ça n’était le cas pour aucun d’eux deux.
Elle se retourna alors, et eût un léger sourire face à sa vision. Elle esquissa un léger sourire, avant de se rapprocher de lui et de venir chercher sa main. Il la laissa faire et passa son autre bras autour de sa taille pour la prendre dans ses bras. Maddox déposa un chaste baiser sur sa joue, la gardant tout contre lui. Un peu comme pour la rassurer. – « Si à ma place, la tentation et l'obligation se menaient bataille, quel chemin prendrais-tu pour te sortir de cette pagaille !? » Il n’en avait aucune idée, ne voulait pas même y penser. Peut-être que son jugement serait faussé par le fait qu’il la désirait plus que n’importe quoi. Mais s’il y réfléchissait davantage, il ne saurait se sortir de là. Honneur ou amour ? L’honneur aurait sans doute pris le dessus, parce qu’il avait toujours été très attaché à cette valeur et que son père l’avait éduqué comme ça. Mais était-ce pareil pour elle ? – « L’honneur reste-t-il, pour toi, plus important que tes propres sentiments ? » Lui demanda-t-il en guise de réponse. Le Serpentard plongea son regard dans le sien, cherchant la vérité qui pouvait s’y dissimuler.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 22:03
Charmante idée de fuir sur des chemins différents. excellente idée même de changer du tout au tout l'issue de cette histoire si peu intéressante. bague au doigt, mariage en blanc, sourire de vos parents mais quel idée de vouloir marier des enfants. cela t'échappais encore. pourtant tu lui étais bien promise, faire mine d'une bonne entente, de donner des nouvelles de votre couple a tes parents. mensonge et foutaise. lui, faisant encore le beau devant sa mère, lui chantant des louanges si éphémères. la fierté de ses parents et leur vision parfaite sur sa personne, l'unique raison de cette acceptation de fiançailles. toi de ton côté, un sourire si niait avait pris place sur ton visage quand il avait mis genoux à taire pour faire sa demande initiale. tu n'avais même pas pu accepter n'y refuser, puisque tes chaines t'avais été accroché. sans un mot, sans même un regard acquiesçant. bague au doigt sourire forcé, course dans les couloirs du château fuyant tes responsabilité comme tu aurais pu fuir la peste. malheureusement il arrivait toujours à te retrouver, te forçant à porter ce bijou immonde juste pour prouver que tu lui appartenais. pourtant dès qu'il avait le dos tourné elle retrouvais sa place dans ta table de chevet. ridicule situation, couple si imparfait que personne n'y faisait attention. ils étaient tous au courant de cette situation, mariage arrangé et tromperie enragé. homme à femme et s'amusant à chaque étage, fiancé modèle devant ses paternel et pourtant si infidèle. il avait trouvé ce jeu fascinant, jouer à tromper sa futur femme alors qu'elle se cacher entre les rangés de la bibliothèque. pourtant il n'était en aucun cas au courant, c'était bien entre la connaissance que tu trouvais ton essence. certain mot lui était rapidement venue au oreille, potter te trompe entre la botanique et l'herbologie. mais il n'y avait pas cru. comme la souffre-douleur que tu étais, pouvais bien trouvé refuge dans les bras d'un être désiré ! impossible. alors il n'avait rien dit te laissant faire et vagabonder sur ses pages, dans ses yeux est dans ses bras.. – « Tu sais que t’es paradoxale ? Tu ne l’aimes pas, mais tu tiens trop à ça que pour te laisser aller. » ajoutait il te sortant de ses pensées destructrices. souriant tu te rapprochais de lui, te blottissant quelques peu prêt de lui sans pourtant lui donner arme pour s'en servir. mais il trouva encore un faille, passant ses mains sur ta taille, te collant à lui pour un nouveau moment incompris. lover contre lui tu laissais ta tête s'installer contre la sienne, la dans ce silence de bibliothèque. simplement ensembles, comme si tout cela était d'un naturel évident. comme un couple se retrouvant au détour d'un rayon, discutant de chose et d'autre avant de se laisser fuir dans les bras de l'autre. voilà les rumeurs s'acharnant sur vous, ce sentiment d'un bien être que beaucoup aurait voulu connaitre. un instant, une bulle de confort, sans aucun problème, dans un silence palpable et original qu'il en devint rapidement instable. – « L’honneur reste-t-il, pour toi, plus important que tes propres sentiments ? » surprise de cette interrogation, comme si fuyant la première question. un petit sourire se posa sur tes lèvres, laissant tes mains grimper sur les siennes, laissant ton visage contre le sien comme dans un mouvement naturel. tu fermas quelques instants les yeux profitant de cette étreinte avant de remettre pied à terre et de tourner ton visage vers le sien. là au lieu de répondre machinalement tu déposas un baiser dans le creux de sa nuque avant de grimper vers son oreille pour laisser ton souffle lui murmurer quelques mots – « toute femme veut qu'un jour son cœur soit possédé par un seul être.. malheureusement le mien ne sait plus ou donner de la tête.. » tes lèvres descendirent à nouveau dans sa nuque avant de revenir contre son oreille d'une manière délicate et sensuelle – « j'ai comme un besoin de céder a cette tentation, mais en y cédant je perdrais surement la raison.. alors peut être que je reste caché derrière mon honneur pour ne pas sombrer dans ces sensations.. » finis tu par avouer avant de reculer ton visage pour qu'il se love à nouveau contre le sien. là de ses mains tu caressas les siennes avec douceur, fixant l'étagère vous faisant face. rien n'y personne ne comprendrait jamais le mal qui te possède, ce dilemme abominable qui consume tout ton être. céder a cette tentation et y perdre toute raison ou suivre ce destin tracé en risquant de t'y blesser..
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 19/1/2013, 10:56
“ absinthe et maddox. ”
Il se subjuguait devant l’emprise qu’elle pouvait avoir sur lui, désormais. Elle l’avait attiré dans ses filets, l’enfonçant dans ces méandres doucereux contre lesquels il allait souffrir. Il ne s’en rendait pas compte. Vil inconscient de ce qui l’attendait à s’éprendre d’elle. Il pouvait encore l’admirer, enfoncer son regard dans le sien pour y lire ses émotions. Il pouvait la provoquer, caresser son corps ou le couvrir de baiser. Le jeune homme était désarmé face aux charmes d’Absinthe. Elle le séduisait à chaque fois qu’elle décidait de poser son regard sur lui, et il s’en émerveillait comme un enfant à qui on faisait découvrir Poudlard pour la première fois. C’était toujours la même rengaine. Avait-il déjà pensé à se défaire de cette emprise ? Non. Bien sûr que non. Il ne voyait pas les chaînes qui enlaçaient ses bras, ses jambes, son corps tout entier. Maddox jouait à un jeu dangereux, dans lequel il se perdait. Petit à petit. Au fur et à mesure que son cœur s’imprégnait de la douce présence de cette jeune femme. Il aimait ça. Il aimait ce côté imprévisible, ce jeu de séduction qui ne pouvait aboutir à cause d’un titre et d’une bague. C’était spécieux, mais elle le fascinait. Absinthe était celle qui le mettait de bonne humeur en toute circonstance. Il suffisait qu’il aperçoive son sourire enfantin, son regard pétillant, les airs charmeurs qu’elle prenait lorsqu’elle voulait le tenter jusqu’à l’extrême limite, leurs conversations balayant tous les sujets qui leurs passaient par la tête. Il n’avait jamais ressenti ça pour une autre fille. Pas même pour Blue. Peut-être parce qu’avec la Serdaigle, il s’agissait purement d’une histoire amicale. Certes, il avait tendance à se cacher de l’affection qu’il lui portait parce qu’elle était une née moldue. Mais ça ne l’empêchait pas d’être tactile avec elle, de discuter ou de rigoler. C’était différent avec la Poufsouffle. Entre eux, il y avait une synergie déroutante de laquelle il ne savait quoi faire. Tentation et destruction. Ils étaient séparés par un mur invisible qui les empêchait de faire ce dont à quoi ils aspiraient. Combien de fois n’avait-il pas désiré l’embrasser pour enfin goûter au fruit défendu ? Et combien de fois s’était-il retenu de le faire ? Tout autant. Parce qu’il la respectait et respectait son choix, bien que futile à son goût, quand il prenait conscience qu’Ulrich faisait les yeux doux aux étudiantes qui lui plaisaient.
Elle s’était rapprochée de lui comme un besoin inexorable de la présence de l’autre pour être comblé. Il avait alors fait glisser ses mains le long de sa taille, l’attirant davantage contre lui. Oui. Maddox n’avait alors pas hésité à la prendre dans ses bras. Ce geste visait plus à la rassurer, à la consoler qu’à la tenter désespérément de craquer. Elle s’y était alors nichée, ramenant ses mains sur les siennes et sa tête contre la sienne également. C’était de ces moments desquels il voulait que ça continue perpétuellement. Absinthe vînt, après ça, déposer un baiser au creux de son cou. – « Toute femme veut qu'un jour son cœur soit possédé par un seul être... Malheureusement, le mien ne sait plus où donner de la tête... » Lui susurra-t-elle d’un souffle à l’oreille. Elle réitéra ses baisers dans sa nuque, remontant de nouveau auprès de son oreille. Il se laissait faire, impuissant devant l’emprise qu’elle avait sur lui. – « J’ai comme un besoin de céder à cette tentation, mais en y cédant, je perdrai sûrement la raison... Alors, peut-être que je reste cachée derrière mon honneur pour ne pas sombrer dans ces sensations... » Finit-elle par lui avouer, relevant son visage pour pouvoir poser son regard sur lui. Qu’était-il censé dire ou faire face à ça ? Elle le tentait irrésistiblement. Néanmoins, il ne semblait pas cillé. Il se décolla doucement d’elle, et lui attrapant la main, il la fit tourner sur elle-même. Ainsi, son torse se retrouva collé à son dos. Il laissa alors, de nouveau, ses mains venir l’encercler, en glissant le long de sa taille. Il la bloqua contre le rebord de la fenêtre, là où tous deux avaient une vue directe sur le parc de Poudlard. Maddox vînt déposer un doux baiser sur joue, tenté d’en faire davantage. Il posa sa tête à côté de la sienne, fixant les premières et deuxièmes années s’amuser d’inepties magiques. – « La plus belle des créatures se doit d’être courtisée en tout bien, tout honneur. » Murmura-t-il face à sa première remarque. Il poursuivit. – « Un proverbe moldu dit que la cœur a ses raisons, que la raison ignore. Mais dans quel raisonnement te perdrais-tu ? » Il esquissa un fin sourire, et observa alors les enfants s’amuser de simples sortilèges inoffensifs. Eux aussi avaient été candides par le passé. Puis, ils avaient grandi. – « Sois aussi libre et innocente qu’eux. » Lui souffla-t-il alors, les lui montrant.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 20/1/2013, 19:11
S
ombre était ses yeux, se posant sur toi, dans un silence religieux m'étant encore ton cœur en émois. simple et fragile, trouvant son regard sans même t'en apercevoir. envoutant et déroutant, cette attirance qui te possède et pourtant à lequel tu cèdes. le silence vous enrobe dans sa robe d'hiver, pourtant si peu glaciale presque estivale. debout et silencieux, attendant un signe ou un aveux. il le sait bien tu te perds à chaque regard, il te rend complétement dingue, esclave de ses mots de sa voix, de chaque geste qu'il te conçois. engendrant souffrance et désarroi, là entre ses bras tu exprimes enfin ce que tu désirs. alors tu le laisses faire, s'amuser à te tourner autour à te tenter à jouer de ses mains sur ta peau, laissant vagabonder ses lèvres dans ton cou et sur ta joue. il te tente et dans un sens cela t'amuse aussi, résister et ne pas céder. il est ton passetemps, ton obsession ton désir intérieur dont personne ne connait la douleur. souffrant de cette relation, espérant parfois dire non, mais, tu ne le peux attirer inexorablement dans ses bras comme aimanté sans y avoir le choix. il te regarde et te charme, là blottit contre lui il te désarme. la tête contre la sienne lover en son sein, silencieuse et certaine qu'il mènera à ta fin. alors tu laisses tes mains caresser les siennes, nicher sur tes hanches qu'il emprisonne. mais comme par supplice il se détacha de ce moment propice, te retournant calmement pour coller son tors à ton dos et te laissais apercevoir au dehors a quel point il y faisait surement moins chaud. le laissant prendre place contre toi, se nicher en ton dos pour faire grimper ses lèvres contre ta joue, il lova ensuite sa tête contre la tienne – « La plus belle des créatures se doit d’être courtisée en tout bien, tout honneur. » murmura-t-il encore à ton adresse avec délicatesse – « Un proverbe moldu dit que la cœur a ses raisons, que la raison ignore. Mais dans quel raisonnement te perdrais-tu ? » curieux et enchanteur, te demandant de lui susurrer à quel point il possédait ton cœur. ce n'était en aucun cas la première fois qu'il cherchait des aveux. trop fier de toi tu ne lui avais jamais offert ces paroles tendancieuses. tournant toujours autour de la vérité, lui cachant intentionnellement tes sentiments. mais, vipère malicieuse qu'il était, avait bien comprit qu'en ses bras tu ne résisterais pas. alors voyant que la réponse ne te brulait pas encore les lèvres il ajoutas – « Sois aussi libre et innocente qu’eux. » désignant les enfants jouant sous le feu. un sourire en coin s'installa rapidement sur tes lèvres, observant ici-bas les élèves. courant dans les parcs, ignorant tout de leur futur drame. baguette en main se chassant l'un l'autre sans même soupirais l'arrivé de leur fin. s'amusant dans l'interdiction de l’utilisation de la magie instaurer par Dolohov la harpie, laissant leur pas se fendre dans la neige, leur liberté et innocence levé vers le ciel. simple et pourtant si joyeux et enfantin, mettant à tes pensées un gout de parfum passé. alors tu souris de plus belle – « libre et innocente, je ne crois jamais l'avoir été comme ils le font. insouciant et naïf de leur avenir bientôt les consumant. » tu t’arrêtas un instant avec de te tourner face à maddox le regard brulant. – « j'ai surement trop peur de perdre le contrôle en cédant a cette tentation qui me brule depuis notre rencontre » laissas tu échappé avant de te tourner à nouveau vers les carreaux froid de la bibliothèque. reculant d'un pas tu laissas ton dos reprendre place contre ton torse, laissant pourtant tes mains loin de son corps. oserais tu un jour braver cette obéissance et lui céder ?! craquerais tu réellement pour cette tentation inavoué.. des question qui n'aurais surement jamais de réponse tu moins pas tant que certaine de tes certitudes camperaient tel une nouvelle étude. alors tu soupiras par dépit, lovant ta tête contre la sienne – « une vipère tel que toi perdant son temps prêt d'une pauvre fille comme moi.. que peut bien caché cette engouement à venir me parler alors que tout tes camarades s'amuse à me dénigrer ! » un ton calme s'était installé dans ta voix, une question posait de manière si ordinaire qu'elle aurait pu être légère comme l'air. pourtant il le savait aussi bien que toi, cette question était comme une provocation. un questionnement intéressé qui finirait surement dans une réponse instantanée.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 20/1/2013, 21:06
“ absinthe et maddox. ”
Elle était une perle rare. Absinthe était, à ses yeux, magnifique, intelligente, déroutante. Elle représentait un peu sa perfection, bien qu’il avait encore du mal à se l’admettre. Tombait-il amoureux ? Il fallait croire que oui. Il ne voyait plus qu’elle, comme si elle était la seule à pouvoir lui offrir ce qu’il recherchait. Maddox ne s’en rendait pas même compte. Un peu comme un coup de foudre amical qui s’était transformé en un coup de foudre sentimental. Si on lui demandait, il nierait probablement l’évidence. Parce qu’il n’avait encore jamais pensé à la possibilité d’aimer la petite Potter. Et pour cause ? Il n’appréciait déjà pas ce James Potter, qui prenait la tête à tous ceux qui se mettaient en travers de son chemin. Pitoyable petit insecte qui ne demandait qu’à être écrasé. Maddox aurait pu le faire, lui, l’écraser, lui faire regretter de s’en être pris à quelques Serpentards. Mais il n’avait jamais jugé bon de s’intéresser à cet être insignifiant. Pourtant, sa cousine paraissait être tout son contraire. C’était ça qui l’impressionnait. Elle était belle, spontanée, souriante. Elle était juste elle. Il l’appréciait pour ça. Peut-être parce qu’il la sentait différente de toutes les autres étudiantes de Poudlard. L’atmosphère s’était calmée. La tension était redescendue. Il avait alors pris soin de s’approcher d’une autre façon qu’à son habitude. Nullement pour la tenter, la provoquer, lui donner envie de lui asservir un doux baiser. C’était beaucoup plus naturel, singulier, mignon. Ils agissaient comme étant un vrai petit couple, bien qu’il n’y pensait absolument pas. Ainsi, collé contre elle, il jeta un coup d’œil au dehors. Des élèves jouaient dans la neige hivernale du mois de décembre. Ils ne semblaient pas savoir ce qui les attendait. Ils ignoraient encore tout de la vie, ce qui était d’autant plus désespérant pour eux. – « Libre et innocente, je ne crois jamais l'avoir été comme ils le sont. Insouciants et naïfs de leurs avenirs bientôt les consumant. » Maddox était pourtant persuadé qu’elle avait dû être aussi candide qu’eux à leur âge. Peut-être n’était-ce qu’une fichue impression ? Il n’en savait pas grand-chose. Resserrant alors son étreinte, il se revoyait à leurs places. Libre, enfantin et pourtant si mature pour son âge. Poli à souhait. Garçon trop parfait, ajustant sa robe de sorcier. – « Je crois que tu l’étais bien plus que tu ne le penses. Et que l’on t’a arraché cette candeur bien trop tôt. » Finit-il par lui répondre.
Elle tourna alors sa tête. Il relâcha son étreinte et l’observa alors. – « J'ai sûrement trop peur de perdre le contrôle en cédant à cette tentation qui me brûle depuis notre rencontre. » Et elle se retourna de nouveau, venant se coller contre lui. L’une de ses mains glissa alors sous le haut de la jeune femme. Il effleura sensuellement son ventre, fit balader sa main dans son dos qu’il caressa également. De son autre main, il vînt déboutonner les premiers boutons de son chemisier, découvrant ainsi la fine fibre de tissu recouvrant ses seins. – « Perdre le contrôle ne peut être qu’une bonne chose pour une demoiselle dont l’avenir semble méticuleusement tracé. » Il poursuivit. – « Comme un léger goût d’aventure, de surprise. » Lui susurra-t-il tendrement à l’oreille, comme pour tenter de réveiller son âme enfantine qui ne demandait qu’à être libérée de ses chaînes. Il laissait ses mains chaudes parcourir son corps. Impossible de les empêcher de continuer leur activité tant il aimait ça. Il voulait arracher un soupire, des gémissements, la faire regretter de le faire attendre alors qu’elle en avait autant envie que lui malgré tout.
Il ne savait pas pourquoi il était attiré par elle. C’était juste… Indéfinissable. C’était elle. C’était comme ça. Il ne pouvait pas lutter contre ça. – « Une vipère telle que toi perdant son temps près d'une pauvre fille comme moi... Que peut bien cacher cet engouement à venir me parler, alors que tous tes camarades s'amusent à me dénigrer ! » Était-il seulement comme tous les autres ? Non. Bien sûr que non. Maddox ne supportait pas l’idée que l’on puisse s’en prendre à elle. Ou peut-être était-ce l’idée qu’Ulrich ne la défende pas qui le mettait hors de lui. Dans un cas comme dans l’autre, ça avait le don de l’agacer. Il se détacha alors d’elle et fit deux pas en arrière. Que répondre à ça ? Il ne voulait pas répondre. Il ne savait pas pourquoi c’était elle et pas une autre. Mais c’était comme ça. Rien n’y changerait. Maddox vînt alors prendre ses affaires nichées sur la table, depuis tout à l’heure. – « Je vais rejoindre mes camarades qui adorent tellement te torturer… Il faut les comprendre. T’es irrésistible, Potter. » Esquissant alors un fin sourire, il se retourna et se dirigea vers la sortie, sans prendre la peine de se retourner. Pouf. Comme ça. Il la laissait tomber en quelques sortes. Il ne pouvait plus tenir. Il voulait l’embrasser.
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you.
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