ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you.
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C-A. Maddox Woog
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Sujet: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 6/1/2013, 19:14
“ absinthe et maddox. ”
Installé à l’avant-dernière rangée de la salle de classe, Maddox observait son frère regarder les élèves. Qu’attendait-il ? Que voulait-il ? Il fronça les sourcils, tapotant son livre du bout des doigts. Le Serpentard avait toujours adoré le cours de sortilèges et enchantements. C’était l’une des matières dans lesquelles il excellait, sans avoir besoin de fournir d’efforts. Mais depuis que Lennox avait décidé de devenir professeur à Poudlard, Maddox avait l’impression de devoir redoubler de prudence, de concentration pour parvenir à ses fins. C’était sans doute dû à l’éternelle compétition fraternelle qui s’était immiscée entre eux. Sa gorge se noua. Il se la racla discrètement, ce qui eut pour effet d’attirer l’attention de son frère. Celui-ci ne broncha pas et commença à donner son cours méthodiquement, comme il le faisait à chaque fois. Il prit soin d’écouter chaque petit conseil implicitement dit pour pouvoir exécuter le sortilège, dont il parlait, à la perfection. Peut-être aussi pour l’éblouir ne serait-ce qu’un minimum et lui montrer qu’il serait meilleur que lui ? En cours de sortilèges et enchantements, il y avait toujours cette éternelle guerre entre les frères Woog. Elève et professeur. Bien que les autres étudiants avaient du mal à savoir si l’aîné s’énervait par son caractère lunatique ou sur son cadet. Rangeant ses affaires dans son sac avec minutie, il salua ses amis qui partaient voir le match de Quidditch qui s’annonçait. Gryffondor contre Serpentard. L’éternelle rengaine. Maddox avait l’impression de vivre dans une bulle où les luttes, les combats, les défis, les compétitions s’acharnaient. Quelque part, il appréciait ça. Il trouvait ça jouissif de pouvoir s’exposer à d’autres fortes têtes par choix et par intérêt. Mais pour ce sport… Non. Il ne comprenait pas. Ses amis le quittèrent. Il posa la bride de son sac sur son épaule et se rendit dans la salle commune. Elle devait être vide. Ou presque. Tous les élèves aimaient admirer les meilleurs sportifs de l’école en pleine action. Profitant de ce calme, il attrapa alors son vieux cahier aux pages jaunies et à la couverture en cuir rouille. Écrire. Ca le détendait, lui permettait de s’évader, de s’enfouir dans un monde qui n’appartenait qu’à lui. Sa plume glissait finement sur le papier, laissant une encre noirâtre s’imbiber dans celui-ci. Sa créativité débordait alors, allant dans toutes les directions possibles et inimaginables. Le héros de ses histoires pouvait mourir, dépérir ou être délaissé pour des détails magistraux. Ça lui importait peu. Lui, ce qu’il voulait, c’était d’être libre d’écrire.
Il l’ouvrit et se mit à réfléchir, laissant les mots se suivre sur le papier. Il avait vu juste en pensant que la salle commune serait vide. Il n’y avait que les pseudos érudits de la maison qui étudiaient. Confortablement installé dans un fauteuil, rien ne semblait pouvoir le concentrer. Ca dura une vingtaine de minutes, avant que l’arrivée des élèves ne vienne le troubler. Gryffondor l’avait emporté. Ils étaient tous déçus et se renfrognaient tout en pestant contre l’attrapeur… Lui, il ignorait qui pouvait avoir ce rôle dans sa propre équipe, alors dans celles des autres… Ça lui importait peu. Refermant sèchement son livre, il se leva, exaspéré. – « Laissez-moi passer, s’il vous plaît. » Deux Serpentards s’écartèrent, troublés de cette marque de politesse. Attrapant ses affaires, Maddox préféra se rendre à la bibliothèque. C’était le seul endroit où il y aurait le calme dont il espérait, dont il rêvait toutes les nuits. Il s’y rendit donc, empruntant maints couloirs et escaliers pour y arriver. Un panneau était placé sur la porte. La bibliothèque. Il n’hésita pas à ouvrir la porte pour franchir le pas et pénétra dans les lieux. La solitude allait le guetter durant le temps qu’il passerait ici. Il referma soigneusement la porte et parcourut les différentes allées de la bibliothèque. La majorité des élèves étaient des Serdaigles. Il y avait bien sûr des Poufsouffles, des Gryffondors et d’autres Serpentards. Comme à chaque fois qu’il venait. Maddox vînt alors s’asseoir à une table vide, située près d’une des fenêtres. Il s’y installa, déposant ses affaires et parcourut alors les allées sur les différents enchanteurs. Puisqu’il était là, autant faire ses devoirs. Attrapant un livre au passage, il finit par s’asseoir et le feuilleta, à la recherche d’informations. Se concentrant d’avantage, il ne prit pas même soin de regarder tout autour de lui. Il ne savait pas qui était présent dans ces lieux et n’était pas sûr de vouloir le savoir. Soupirant doucement, le jeune homme finit par relever son regard. Sans grand intérêt. Il sortit un bout de parchemins et commença à écrire. Parfois, il avait en véritable horreur de faire ses devoirs, d’autant plus lorsque c’était pour son frère ou pour le cours de botanique. Allez savoir pourquoi il avait de telles réticences… Rangeant alors ses affaires, pensant qu’il pourrait les faire plus tard dans la journée, il revisita la bibliothèque et aperçut Absinthe. Il connaissait bien la Poufsouffle, peut-être même un peu trop. La jeune femme semblait concentrée sur ce qu’elle faisait, ce qui lui arracha un léger sourire. Il s’approcha alors d’elle. – « Mmh… Mademoiselle Potter semble bien occupée. » Introduisit-il.
Dernière édition par C-A. Maddox Woog le 7/1/2013, 18:21, édité 2 fois
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 6/1/2013, 20:31
Silence. seule, assise sur ce fauteuil nicher au coin du feu, silence. personne, ils sont tous ailleurs, et toi tu es là, dans une ambiance feutré, chaleureuse silencieuse. rien n'y personne ne passe le tableau de l'entrée, ils te laissent enfin seule avec tes pensées. blottit contre la toile tiré d'une couleur jaune immaculé tu te laisses rêver dans les flemmes dansantes de la cheminée. elles dansent au rythme de ta respiration se jouant parfois de toi en accélérant et te laissant là, elles s'amusent et se moques se rencontrant et se désunissant, crépitant et claquant au-dessus de cette buche elles te laisse te fondre en elles juste pour quelques minutes. malheureusement le calme perd vite sa place de roi, ils passent tous la porte et parle a haute voix. tu soupires et croise les bras, presque déçus que leur cours soit enfin terminé et qu'ils n'aient plus rien à étudier. ils s'installent tous autour des tables rigolant et se moquant de la défaite. encore une match auquel tu n'auras pas mis pied, surement pour ne pas devoir le croiser. tu soupires, revenant à ta première occupation, comme si celle-ci grâce a ses crépitement arriverait à masquer les rires et les hurlements. malheureusement le feu te trahie, il te laisse écouter chaque conversation, chaque gloussement, ne te protégeant de rien, te laissant libre imagination et futur conversation. pourtant tu le sais, personne ne viendra te trouver, seule même dans la foule, alors tu disparais. grimpant dans ton dortoir tu trouves rapidement la compagnie d'un livre au couleur maraude et chocolat allongé sur ton lit attendant une agréable compagnie. t'installant à ses côtés tu laisses des doigt le parcourir, le prenant entre tes mains tu laisses ta peau trouver la sienne avant de l'ouvrir et de commencer à lire. pourtant même percher sur tes draps le silence n'est pas roi. alors d'un bond tu laisses ton ami se nicher sous ton bras prenant la direction des escaliers pour te mener vers la sortit. là tu trouves un long couloir froid et humide que tu traverses à grand pas. trouvant le hall tu te laisses bercé par la foule pour t'expulser quelques secondes après vers le grand escaliers que tu ne manques pas de grimper. marche après marche, couloir après couloir tu arrives enfin au quatrième étage. là le couloir se fait plus court et d'un œil vif tu aperçois déjà l'entrée de la terre promise. passant donc la porte avec discrétion tu te faufilas avec délicatesse entres les rayons de livres, ne faisant attention à personne, avant de trouver ta place et de t'y installer. enfin assise dans un silence palpable, tu posas le livre sur la table l'ouvrant avec une certaine vitesse pour reprendre ta lecture. malheureusement pour toi même nicher à la bibliothèque le silence ne serait pas ton compagnon. a peine eu tu commençais la lecture du chapitre de deux de l'ouvrage sur les plantes aquatique et médicinales que des pas se rapprochèrent de toi. – « Mmh… Mademoiselle Potter semble bien occupée. » introduit-il avec délicatesse. c'est ainsi qu'un petit rictus s'afficha sur ton visage. posant une main sur la page en court tu relevas le regard pour trouver non pas des lignes écrites à la main mais un jeune homme au yeux brun a la limite de l'obscurité. Côme-Astérion Maddox Woog, frère du professeur de sortilège et enchantement, mais surtout élève de serpentard. pour ceux qui te connaisse de prêt ou de loin, cette simple introduction aurait eu pour suite des dommages dont toi seule en avait le secret. pourtant il n'était pas de ces serpentard jouant avec toi tel une poupée de chiffon. non. il était bien pire que cela quand on y pense. charmant, intellectuellement intéressant, il avait eu sur toi un pouvoir que peu de personne pouvait comprendre, un intérêt bien plus qu'amical, une sensation de confort aucunement semblable. les yeux rivés dans les siens, tu lui accordas un simple sourire avant de ramener ton attention à ton ouvrage caché sous ta main. – « elle ne le semble pas elle est occupée. » ajoutas-tu avant de reprendre une lecture assez complexe qui nécessité une certaine concentration. bien entendu tu doutais que maddox reste là debout à t'observer lire. surement, il allait reprendre son chemin et te laisser tranquille, comme parfois il le faisait. pourtant aujourd'hui ses intentions étaient toute autres mais ça tu n'étais pas encore au courant.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 7/1/2013, 19:13
“ absinthe et maddox. ”
Elle était là. Maddox esquissa un léger sourire en coin, condensant son regard sombre et inquisiteur. Il l’observa durant quelques secondes, durant lesquelles il ne put s’empêcher de se perdre au travers de cette silhouette fine, de ces cheveux mordorés, de cette simplicité si complexe. Penchant la tête, il se demandait si elle allait daigner lever sa tête. Non. Trop impatient, il ne put s’empêcher de la troubler dans sa lecture, qui, à la voir, semblait être des plus passionnantes. Maddox ne bougeait pas. Il restait stoïque, attendant la moindre réaction de la part de la Poufsouffle. Elle plaça sa main sur la page usée de son bouquin et il put apercevoir ses prunelles sombres se poser sur lui. C’était électrisant, pétrifiant, intensifié par l’échange de regards envoûtés l’un par l’autre. Le jeune homme n’arrivait pas à se délivrer de l’emprise qu’elle arrivait à avoir sur lui. Il ne désirait pas s’en défaire, malgré l’impression d’être vulnérable face à cette jeune femme. Absinthe lui sourit alors, laissant ses lèvres pulpeuses se découvrir à lui. Elle avait toujours été de ce genre de rencontre intéressante, subjuguant le brun ténébreux qui se sentait dépeupler de tout son être. Ce sentiment étrange, il aimait le ressentir et s’en vivifier. Maddox trouvait ça important. Absinthe était importante pour lui, bien qu’il refoulait cette idée, la trouvant terriblement outrageante. Mais peut-être était-ce parce qu’il se sentait inexorablement attiré par elle, d’une façon ou d’une autre. Lorsqu’il avait rencontré Absinthe, le Serpentard ne pensait absolument pas que ça pourrait changer quoi que ce soit à sa vie, à sa routine, à ses habitudes. Mais il ne pouvait que se rendre à l’évidence. Le changement était plus que présent. Ils pouvaient passer des heures à se regarder, à être l’un à côté de l’autre à lire un livre ou à avoir des conversations fichtrement subtiles et intelligentes. Il n’en avait pas l’habitude et ça le troublait. Même s’il ne le montrait pas. Maddox pouvait passer sa soirée à la regarder lire, souriant de temps en temps en la voyant plisser les yeux, parce qu’elle faiblissait. Certains avaient tendance à trouver ça étrange. D’autres pensaient qu’ils allaient bien ensemble. Dans le fond, ça allait au-delà de ça. Elle le détruisait à petit feu, le faisait souffrir d’une façon méconnaissable. Mad le savait. Il en avait pleine conscience, ce qui le consumait d’avantage. Feu ardent. Simple prisonnier des pires méandres de son existence.
Il rompit sa bulle solitaire. D’une simple parole, d’un simple sourire. Il avait parlé et elle l’avait regardé. Mais aussitôt, Absinthe s’était replongée dans sa lecture. – « Elle ne le semble pas, elle est occupée. » Un fin sourire s’étira sur ses lèvres. Il aurait voulu s’asseoir et la regarder, mais elle ne l’avait pas invité à le faire. Il était loin d’être de ce genre de garçon à s’imposer brutalement dans une sphère qui n’était pas la sienne. N’ayant pas plus envie de la déranger, Maddox aurait sans doute pu repartir. Ou il pouvait simplement attendre, sans se lasser de la pleine vue qu’il avait sur la jeune Poufsouffle. – « Crois-tu qu’elle laisserait un simple Serpentard savourer ce silence avec elle ? » Explicitement, il lui demandait si sa présence ne la gênerait pas. Mais qu’importait ? Il était encore à Serpentard. Il lui aurait simplement fallu s’asseoir et faire ce dont il avait envie, bien que tout s’emmêlait dans sa tête. Il n’était pas sûr de vouloir rester assis candidement, à une distance décente d’elle. Une fois de plus, un vice voulait le pousser à agir de façon sournoise et présomptueuse. Il s’y sentait pousser de plus en plus. Poudlard avait changé. Ce château était gratifié d’un bonheur pur et arrivait à dépraver les plus consciencieux. En était-il victime ? Rien n’était moins sûr. Il se contentait d’attendre. Pourtant, Maddox ne pouvait nier que résister à la tentation n’était pas une vile torture. C’était encore bien pire que cela. Secouant légèrement la tête, il se concentra sur autre chose. Sur le livre de la jolie brune. Une image d’une plante inconnue à son actif figurait sur l’une des deux pages. Il était assez perspicace pour deviner qu’elle lisait un livre de botanique. Il savait qu’elle avait une passion pour ce cours que lui ne pouvait supporter. Paradoxaux ? Ils l’étaient tous les deux. Sur de nombreux points, mais ils avaient su se trouver des atomes crochus et débattre de leurs avis divergents. – « Tu planches encore sur l’herbologie ? » Réticent, sa constatation avait semblée, pour lui, loin d’être aussi motivée que l’était Absinthe pour cette matière. Mad n’avait jamais trouvé un grand intérêt à étudier les différentes plantes pour telle ou telle raison. Il n’arrivait tout simplement pas même à les distinguer, ce qui était lamentablement décevant. Un Poufsouffle lui avait déjà donné quelques conseils et techniques pour lui faciliter la vie par le passé, mais ça n’avait plus grand intérêt à présent.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 7/1/2013, 20:20
C'est assise là que tu laisses ton regard perdre pied, plongeais dans la lecture tu en oubli cette présence innée. encore debout, si proche de toi laissant planer un silence si chaste qu'il en devient malhonnête. debout, immobile tel une statue de cire, il attend. un regard un geste rien qu'un souffle pouvant lui provoquait une réponse a ses questions cachés. tu le laisses là, sans rien dire, oubliant sa présence lors d'un simple soupire. pourtant il reste là impassible. encore une fois tu ne fais pas attention, il t'observe en silence et tu t'en fou. du moins c'est ce que tout le monde pense, il s'installe et te regarde lire, souriant quand tu fronce les sourcils ou quand tes yeux perdent leur intensité. il s'installe et attend, te laisse lire en silence et s'en va. il est là, sa présence t'apaise et te berce, t'aidant presque à lire. là, ses yeux rivés sur toi, incertaine de tes gestes, timide et solitaire, ne désirant croiser son regard au peur de te perdre. si discret qu'il est en agréable, apaisant et sociable, vous n'avez besoin de rien de plus que le silence pour vous trouver lier. une relation malsaine et compliqué, mêlant silence et attirance désinvolte, comme si d'un simple regard il pouvait faire tomber tes armes.. tu as peur de lui de sa présence de son regard, il t'obsède et te possède te rendant vulnérable et instable. lier d'un fils invisible, un besoin maladif d'être si proche de lui, pourtant tu lui résiste, tu l'ignores presque avec sympathie. il est le mal qui te consume, il te fait perdre pied et s'en amuse te poussant à la faute. il te connait et en joue, te faisant perdre tes convictions et tes règles, te laissant nue et vulnérable.. il ne bouge pas attend et respire, laissant son souffle trouver ton oreille, te possédant sans même un geste, il est là et romps sans le vouloir ta lecture, te concentrant sur son souffle et oubliant ta lecture. – « Crois-tu qu’elle laisserait un simple Serpentard savourer ce silence avec elle ? » t'interrogea-t-il, rompant se silence si agréable et pourtant si pesant. les yeux rivés sur les lignes, tu ne sais quoi lui répondre, pourtant tu attends comme si dans un espoir secret tu espérais qu'il s'installe de son plein gret. pourtant il ne le fait guère restant à tes côtés attendant une réponse un signe pour prendre place. pourtant rien, fixant les lignes s'entrecroisant tu ne dis mot, attendant que son souffle reprenne sa place et qu'il te souffle la réponse. pourtant rien, aucune aide. tu ne sais quoi dire, s'il s'installe tu ne pourras plus lire. s'il s'en va tu regretteras. dilemme incessant quand il se trouve dans les parages, questionnement incessant ne trouvant jamais bonne réponse. pourtant tu relèves le regard, trouvant le sien qui te fixe avec intérêt. là alors de te laisser répondre il ajoute – « Tu planches encore sur l’herbologie ? » tu souris à nouveau, haussant les épaules comme confirmation. pourtant tu ne dis aucun mot, tournant la tête vers le vieux livre émeraude et chocolat espérant t'y noyer et oublier cet attirance incessante te tourmentant. pourtant les lignes ne t'aident pas, les mots se font lointain et incompréhensible, t'obligeant à te concentrer à nouveau sur lui, cette vipère si charmante te possédant de son regard noir, te poussant à te laisser mordre et mourir sur place. alors tu soupires, posant une nouvelle fois une main rassurant sur cette page jaunie. là tu relèves les yeux vers maddox et dans un murmure tu te laisses prendre – « le silence se partage donc je ne pense pas que cela la dérangerait que tu t'installes. » ajoute tu dans une confidence avant de laisser ton regard se poser intelligemment sur ta main. tu fuis son regard au profit d'une peau douce et sans marque, cachant la lecture qui te délivreras. pourtant tu le sais tu n'y arriveras pas, ta concentration à fuis quand il a prit place, et malheureusement tu ne pourrais la rattraper. alors tu abandonnes cette idée même si a ses yeux tu resterais concentré. il prend donc place à tes côtés, le regard se posant sur toi faussement concentré. – « l'herbologie ne t’intéresse guère je doute que l'observation de ce livre te donnera de grande satisfaction intellectuel. » susurras tu a son adresse avant de relever ta main pour la laisser tomber sur ta cuisse et reprendre une lecture non bénéfique. tu le savais il ne renchérirait pas sur un sujet de botanique puisque à ta connaissance woog assis prêt de toi n'avais aucune bonne disposition pour cette matière demandant une certaine passion et douceur qu'il ne disposait pas encore. tu avais bien tenter de le convertir à cet art délicat, malheureusement a par la passion te t'observer manipuler certaine plante aucune passion n'était né au creux de son regard pour ton malheur. enfin, au moins c'était un sujet avec lequel il ne pourrait pas s'amuser avec toi.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 8/1/2013, 18:16
“ absinthe et maddox. ”
Maddox consentait à ne pas bouger, ayant ainsi l’impression de n’être qu’un décor. Il n’avait pas l’air de la déranger ou de la perturber dans sa lecture, ce qui le confortait dans l’idée qu’il devait rester immobile. Alors qu’il avait simplement osé briser ce silence pour introduire un fil conducteur à ce brin de conversation, il en avait également profité pour la détailler. Maddox pouvait ainsi découvrir ou redécouvrir la Poufsouffle. Il observait ses cheveux mordorés qui se reflétaient dans une lumière extérieure. Mais également son allure de jeune femme concentrée uniquement sur son livre, comme si le reste n’avait plus aucune importance, comme si rien d’autre ne comptait que le monde dans lequel elle s’était ancrée. Lorsqu’elle avait levé les yeux vers lui, Maddox n’avait pu s’empêcher de regarder ses prunelles sombres scintillantes, et ses iris aux couleurs nuancées vivifiantes. Peut-être était-ce une véritable ineptie dans laquelle il se logeait, lorsqu’Absinthe était dans les parages. Mais il n’arrivait pas à s’en lasser, comme si elle l’avait envoûté. Ou pire, ensorcelé. Il chassa cette pensée de son esprit, la jugeant un peu trop irréaliste à son goût. Absinthe était un aimant à la synergie impressionnante. Elle l’attirait pour son côté intellectuel, intéressant, purement conventionnel. Mais aussi parce qu’elle avait cette lueur passionnée dans son regard, ce sourire angélique. Le Serpentard avait pris soin de lui poser la question d’une façon peu commune, afin de savoir s’il pouvait s’installer à côté d’elle. Oui. Mais ce n’était absolument pas pour faire ses devoirs ou lire un livre, car il avait envie d’être au calme. Il aurait pu aller n’importe où si ça avait été le cas. Ça aurait également pu être parce qu’il souhaitait simplement ressentir sa présence. Effet vital. Mais ça n’avait également pas lieu d’être. Quoi qu’un peu. Maddox voulait simplement la regarder, scruter la moindre de ses réactions, l’observer lire et sourire, car elle sentait son air ténébreux sur elle. Absinthe avait le don de le surprendre, de le troubler, de l’émouvoir, de le sensibiliser, de l’étonner. Elle avait une telle emprise, que c’en était devenu bien plus qu’une simple amitié. Une ambiguïté. – « Le silence se partage, donc je ne pense pas que cela la dérangerait que tu t'installes. » Finit-elle par lui avouer. Un léger sourire se dessina alors sur ses lèvres, alors qu’il prenait discrètement place à ses côtés. Sans émettre un bruit. Il déposa ses affaires sur la table, en face de lui.
Là, assis sur l’une des chaises, Mad avait ses prunelles rivées sur elle. Il n’arrivait pas à obliquer son regard vers d’autres choses, d’autres personnes. Non. Il n’y avait plus qu’elle, alors qu’il semblait enfermé dans une bulle imprégnée de son odeur. Qu’elle était belle, l’hirondelle. Charmante, avec sa candeur presque touchante. Son regard armé d’une once dérisoire qui ne servait qu’à l’émouvoir. Ses lèvres pulpeuses ne déclinaient pas. Le jeune homme avait simplement envie de caresser sa peau douce, d’y goûter d’un frôlement enjoliveur. Il voulait caresser ses cheveux, savourer ses lèvres, connaître la chaleur de son corps. Stop. S’embrouillant dans ses idées, il prit ses distances face à ses pensées les plus tortueuses. – « L'herbologie ne t’intéresse guère, je doute que l'observation de ce livre te donnera de grandes satisfactions intellectuelles. » La botanique n’avait jamais été son point fort et était certainement l’une des matières qu’il avait le plus souvent redouté. Il n’y accrochait pas, ne s’en passionnait pas malgré la patience qu’Absinthe lui avait voué en tentant de l’emmener dans ce monde prolifique. Rien. Il n’avait rien senti d’autres que du dégoût et de l’ennui passablement moralisateur. Maddox avait donc compris. L’herbologie ne serait jamais un sujet auquel il serait convié. – « Je ne suis pas là pour me concentrer sur l’herbologie non plus. » Lui rétorqua-t-il dans un murmure presque secret.
De multiples minutes s’écoulèrent, alors que Maddox ne semblait pas se lasser de sa vision. Les quelques chuchotements qu’il entendait n’arrivaient pas même à le déconcentrer. Les vices le contrôlaient, il ne s’y adonnait pourtant pas. Là, il fallait avouer qu’il voulait savourer l’inconstance dont Absinthe était capable. Une envie de commettre ce à quoi il ne pouvait penser ? Certainement. – « Tu comptes arrêter de lire ton bouquin sur la flore que tu connais déjà par cœur, ou je vais devoir trouver un autre moyen pour réussir à t’en décoller, Potter ? » Un léger sourire enjoliva son visage. Son regard mystérieux pouvait émettre une once de sournoiserie et de malice, ce qui pouvait s’avérer redoutable. Maddox faisait preuve de créativité. Il pouvait essayer toutes sortes de manière pour l’en décrocher. Les unes étaient brutales, les autres étaient d’une douceur exquise. Son visage le trahissait, mais le Serpentard ne cherchait aucunement à cacher ce qui lui trottait dans la tête. – « Lâche ton livre, belle brune. » Tenta-t-il de nouveau.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 8/1/2013, 20:05
Tout était si compliqué quand sa présence t'étais destiné. là, debout a tes côté dans un mutisme exacerbé attendant un simple signe pour rejoindre tes pensées. là si proche de toi te laissant succomber à son charisme désinvolte, prenant place dans ton sillage. il ne dit mot, te laissant feindre sa présence par cette stupide concentration. la vision troublé par sa venue, les lignes devant toi perdant leur signification, perturbé et assouvie, perdant pied, restant là fixant cette page oubliant presque le sujet de ce langage. il reste silencieux, déposant ses affaires sur la table, rompant cette connexion et la vision de ta page. pourtant tu t'en fou, il ne le sait pas, il ne le verra pas, pourtant tu fais semblant de lire et de t'instruire. il ne change pas de conversation laissant comme planer un doute sur tes épaules. tu te sens fragile et fébriles, il te regarde sans un bruit décrivant de ses yeux chaque courbes de ton visages, descendant jusqu'à ta clavicule d'un regard certain. il t'observe et te dévisage, sentant ses yeux glisser le long de ta peau frissonnant presque d'un désir incontrôlable a cette sensation insoupçonnable. tu laisses tes yeux vagabonder sur la page , ils tournent et reviennent au point de départ, passant parfois sur la vision de tes cuisses cachés sous la table, espérant juste ne pas devoir relever le regard. malheureusement il s'en amuse, se silence si intéressant qu'il brise par cette voix si séductrice – « Je ne suis pas là pour me concentrer sur l’herbologie non plus. » tu frisonnes a ses mots pourtant si indéfinissable. il se joue encore de toi et tu tombes dans son piège pourtant tu ne relèves pas le regard le laissant dire et faire sans un mot de ta par. tu restes silencieuse et certaine de ta concentration, passant simplement une main dans tes cheveux, les plaçant le long de ta nuque opposé à sa présence en simple signe de reconnaissance. ta nuque livre tu sens son souffle rencontrer ta peau, tu trésailles rapidement laissant ta lèves s'installer sous le mordillements de tes dents. il te perturbes et te rend dingue, tu as envie de te fondre en lui et de t'y perdre. pourtant tu ne bronches pas, reprenant une position normal, laissant ta main glisser sur le livre et tourner, avec une certaine aptitude, la page de l'ouvrage. il t'observe et attend une réponse une attitude lui permettant de réagir, pourtant rien. alors il s'approche presque de toi et dans un ton de provocation il te lance le défi d’arrêter de lire. – « Tu comptes arrêter de lire ton bouquin sur la flore que tu connais déjà par cœur, ou je vais devoir trouver un autre moyen pour réussir à t’en décoller, Potter ? » une envie d'attention, il désir que ton regard se pose d’avantage sur lui que sur les pages usés du livre. non tu dois pas baisser les armes, assise prêt de lui tu dois mener bataille. tu soupires presque a cette demain, passant ta langue sur tes lèvres de manières significative, laissant ton regard à nouveau se fondre dans les pages. là, tu espères qu'il laisse tomber l'affaire, il en oubliera rapidement sa requête et trouvera une occupation bien plus excitante à se mettre sous la dent. et pourtant il rompt encore le silence – « Lâche ton livre, belle brune. » un mot qui trouve rapidement ton cerveau. le cœur battant un peu plus fort, tu tentes désespérément de garder un calme raisonnable. il te perd et te rend folle, tu as envie de lui sauter au cou et d'emprisonné ses lèvres au tiennes. non. tu dois oublier cette idée folle, il n'est rien pour toi qu'une simple relation intellectuelle et amical. sentimental, tu ne le seras jamais, tomber amoureuse n'est pas une partie à jouer. alors tu te redresses, croisant tes jambes tout en ramenant tes mains sur ton corps frémissant. tu détournes enfin ton regard de ton compagnon futile pour trouver son regard et son sourire. ne désirant t’arrêter là tu t'approches dangereusement de lui pour laisser glisser dans son oreille un murmure des plus aguicheurs – « et par quel moyen tenterais tu de m'en défaire ?! » curieuse et maladivement folle de tenter de diable. pourtant tu sautes dans sa gueule pour bruler en son cœur. comme un gout de provocation dans la voix, comme un regard taquin s'installant dans tes yeux noirs. tu lui souris d'une manière assez provocante, laissant ta main glisser le long de ta nuque pour t'aider à retrouver le chemin du livre qui mènera surement à ta fin. là ayant repris place tu soupires reprenant une lecture ardente, brulant d'une envie folle de ne rompre en aucun cas la distance créer quelques instant auparavant.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 9/1/2013, 12:59
“ absinthe et maddox. ”
Maddox avait toujours pris soin d’être sélectif vis-à-vis de son entourage, traitant chaque analyse faite, perçue, selon de multiples critères indéniables. Les rumeurs, qu’il avait pu entendre au préalable sur quelques personnes, l’avaient dissuadé de s’en approcher. Et ce, malgré la fausseté des propos tenus qui avaient déjà créé quelques scandales à Poudlard. Il était alors juste dire que Maddox avait un cercle restreint et fermé d’amis, sur qui il savait qu’il pouvait compter. Néanmoins, sa relation avec Absinthe avait toujours été des plus complexes et imprévisibles qui soient. Il n’avait, à aucun moment, décidé que cette Poufsouffle s’immiscerait d’une quelconque manière dans sa vie. Il ne pouvait qu’y résoudre à présent. Elle était devenue plus qu’une simple élève à ses yeux, plus qu’une amie fana d’herbologie avec qui il pouvait discuter de maints sujets différents. Elle était tout simplement plus qu’il ne l’aurait désiré. Même s’il ne s’en rendait que partiellement compte. Ainsi, Maddox était assis à côté d’elle, à la regarder, ayant cette impression de pénétrer dans son âme tant l’intensité grandissait. Mais ça le dévorait de l’intérieur, l’étreignait douloureusement parce qu’il savait que c’était trop à supporter. Jusqu’à quand pourrait-il s’en tenir à sa simple envie d’être près d’elle ? Il l’ignorait. Ils n’étaient plus qu’eux deux. Tout autour d’eux semblait avoir disparu sous cette alchimie inconstante. Ne pouvant s’empêcher d’évoquer des paroles charmeuses, Absinthe n’en resta pas indifférente. Elle délivra son cou de sa chevelure soyeuse pour lui faire découvrir ses quelques secrets envieux. Son visage non loin d’elle, Maddox observa sa réaction. Il respirait lentement et profondément, comme si Absinthe pouvait ressentir son souffle là où elle était. Frémissant, elle se mordit légèrement la lèvre, ce qui lui montrait qu’elle le ressentait réellement. Les battements de son cœur tambourinaient dans sa poitrine. Il était prisonnier du désir, avait la simple envie de goûter à ce plaisir charnel avec elle. Douce douleur qui l’accommodait. Mais le jeune homme adorait ça. C’en devenait incontrôlable. Cette tension prenait le dessus si rapidement que ça l’effrayait au fait d’y penser. Il ne pouvait pas subir les simples sévices d’une relation si destructrice, auprès d’une jeune femme à laquelle il s’accrochait de tout son être. Elle ne levait toujours pas son visage, laissant planer le mystère. Finirait-il par obtenir son attention ? Toute son attention ? Là résidait l’une des questions les plus importantes pour l’enjeu qu’il y avait entre eux.
Pourtant, aussi candides et sages pouvaient-ils être l’un avec l’autre, un jeu de séduction s’était installé entre eux. Il ne pouvait le nier au simple ton que sa voix prenait à présent. Même Absinthe semblait l’avoir compris. Lorsqu’elle leva enfin les yeux vers lui, ce n’était plus cette lueur posée et studieuse qu’il aperçut dans son regard. Il y avait autre chose qui le rythmait. Une pointe de provocation. Elle n’hésita alors pas à rapprocher son visage du sien. Délicate sensation et court moment durant lequel leurs souffles se retrouvèrent mêlés. – « Et par quel moyen tenterais-tu de m'en défaire !? » Vînt-elle lui susurrer à l’oreille, d’une voix mielleuse et aguicheuse. Il n’en fallut pourtant pas plus au jeune homme pour lui jeter un regard aussi provocateur, se contentant de répondre clairement à ce qu’elle venait de lui dire. Maddox avait toujours aimé jouer. Il avait toujours eu la satisfaction de gagner ses batailles avec brio, lorsqu’il en avait réellement envie. Combien de parties d’échec version sorcier avait-il gagné contre son frère ? Il avait cessé de compter ses victoires. Là, c’était un peu pareil. Si la Poufsouffle le provoquait, il n’hésiterait pas à répondre en frappant un grand coup, celui qui pourrait, peut-être définitivement, l’avouer vaincue.
Ainsi, Maddox se leva. Ça aurait pu avoir un mouvement dramatique s’il avait décidé de la laisser sur sa fin, en partant de la bibliothèque. Mais il était bien trop fier que pour s’adonner à une simple pause de leur jeu, jusqu’à leur prochaine rencontre. Il n’avait émis aucun bruit et s’était contenté de faire le tour de la table, laissant glisser son doigt sur la surface froide de l’objet. Lorsqu’il était arrivé derrière elle, il s’était juste arrêté. Mad pouvait voir les différentes plantes que la belle brune s’était évertuée à lire en sa présence. Rien de fichtrement intéressant. Il en profita alors pour passer délicatement sa main dans ses longs cheveux bruns, les ramenant à l’autre extrémité de son cou. D’un geste fin et délicat. Maddox se pencha alors, conservant ses lèvres auprès de sa peau. Il sentait une odeur mielleuse, son parfum. Ses lèvres frôlaient chaque petite parcelle de son cou, apprenant à le caresser sensuellement. Devait-il aller plus loin encore ? Evidemment. Il vînt alors déposer un simple baiser au creux de son cou, goûtant enfin à sa peau. Ceux, qui suivirent, se firent beaucoup plus ardents, brûlants. Il la dévorait. Puis, il s’arrêta alors. – « Ne doute pas de mes capacités à te distraire. » Lui murmura-t-il à l’oreille de façon sensuelle. En réponse à ce qu’elle lui avait demandé.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 10/1/2013, 19:10
Il te fait tourner la tête, assis pourtant à une distance raisonnable tu le désir tu plus profond de ton être. il soupire et s'amuse laissant son souffle se frotter à ta nuque. tu frisonnes et dégringole n'attendant qu'une unique chose que la provocation commence sa dissertation. il s'amuse et t'observe attendant comme un nouveau signe de faiblesse. pourtant tu laisses ton regard se fondre à nouveau dans les pages de ton livre, mandragore, mimbulus mimbletonia, venomous tentacula et autre cricasse jonchant les lignes sans vraiment te distraire. il détient en lui ce pouvoir de te perdre. pourtant rien ne vous destinez jadis à un avenir aussi éphémère. il joue et te corrompt, s'amuser et dans ses intentions. pourtant cela fait bien longtemps que tu as arrêté de jouer. dans tes mains se son longuement arrêter les dés. levant le drapeau blanc tu avais mis un pied a terre cherchant la solution à cette irrémédiable défaite. corrompue, perdue dans les méandres de son êtres, esclaves de sa chair et de ses mots, dépendante de son unique présence.. votre bulle se ferme rapidement, vous coupant du monde et des livres avoisinants. pourtant tu le provoque et attends, le silence se posant rapidement sur tes épaules comme devenant lourd et imposant. il ne bouge pas du moins c'est ce que tu penses puisque tu ne le regarde pas. seulement, c'est dans ton dos qu'il prend rapidement place, laissant glisser une main dans tes longs cheveux bruns, descendant avec délicatesse dans le creux de ton cou ou il prend fin. immobiles, sans un bruit, frissonnant a se simple geste. pourtant tes yeux ne font pas un plis, ne bougeant pas gardant à ta vue le vieux livre. non tu te dois de feindre l’indifférence, de le laisser jouer sans aucun adversaire, seul, indifférente à ses gestes brulants. seulement il désir que tu sombres, alors il s'approche et frôle de ses lèvres ta peau. tu frisonnes d’avantage laissant la lèvre se nicher à nouveau sous tes dents empêchant par un souffle de lui procurer sa supériorité. tu ne dois pas craquer, il te provoque et s'amuse laissant à nouveau ses lèvres sombrer dans ta nuque. là il dépose enfin ses lèvres contre ta nuque, simple puis s'intensifiant devenant ardent et brulant, te dévorant sans aucun mal dans se silence devenue palpable. il venait de te pousser dans l'arène, désarmé, si faible, face a ce bourreau éternel. de se contacte il remonta à ton oreille – « Ne doute pas de mes capacités à te distraire » murmure-t-il sensuellement à ton oreille. il s'insère doucement dans l’arène, le sourire aux lèvres certain de te tuer avant même de t'avoir envouté. il a raison de faire le fier, là assis sur cette chaise tu te perds et désespère. il te contrôle sans même sans rendre compte, voilà maintenant plusieurs mois que ce jeu n'a plus lieu d'être. pourtant tu l'ignore et fait comme si tout cela n'avait aucune importance, tu ne t'attacheras pas fin de l'histoire. alors vous vous amusez, baiser dans le creux de la nuque, caresse chaste parfois plus cruelle, jouant l'un avec l'autre sans même penser au conséquence de cette chose. alors la limite à été posé, aucun baiser ne sera volé, interdiction de lier vos lèvres de peur de comprendre réellement les règle de ce jeu. certes la règle reste en vigueur pourtant le désir grimpe à chaque partie et les lèvres se frôlent et vous pièges petit à petit. alors tu reste silencieuse, croisant les bras tu relèves ton visage. là tu le colle avec une certaine délicatesse au sien, encore si proche du tien. tournant doucement la tête tu laisses tes lèvres frôlaient les siennes et dans une énième tentative tu murmures – « je ne doute en aucun cas de tes capacités. mais sache que rien même pas le séduisant maddox arrivera à me défaire de l'emprise d'un livre aussi intéressant. » silence, le regard se plongeant avec finesse dans le sien avant d'ajouter de la même manière – « alors si tu veux jouer joue. mais ne t'attends pas à avoir une adversaire qui malheureusement aurait pu te battre en battant de manière séduisant les paupières » tu le provoques encore, te mordant la lèvre inférieur avant de détourner ton regard et ton visage vers une nouvelle page qui te laissera succomber à son charme et ses manières dévastatrices..
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 11/1/2013, 17:53
“ absinthe et maddox. ”
Une relation douteuse composait les deux étudiants de Poudlard. Personne ne savait quel était exactement leur lien. Peut-être amical, avec une pointe d’amour transcendant ou amicalement destructeur ? Maddox avait parfois du mal à s’y retrouver lui-même, tant il leurs arrivait d’être proches, mais éloignés à la fois. Ou, paradoxalement, ils semblaient éloignés et tellement proches de par leurs échanges de regards significatifs. Ils formaient un tout, même s’il apparaissait de façon abstraite aux yeux des autres. Maddox se concentrait sur elle, uniquement sur cette jolie brune au regard envoûtant, qui tentait de se perdre dans les pages de son livre d’herbologie. Il savait pourtant qu’elle avait bien du mal à se jeter à corps perdu dans ces lignes inintéressantes selon lui. La troublait-il ? Il en était persuadé, et il ne fallait pas même être perspicace pour s’en rendre compte. Maddox prenait un plaisir malsain à la distraire d’une façon peu commune et inappropriée par rapport à son éducation. Les vices enjolivaient les choses, lui donnaient envie d’aller plus loin, de découvrir l’interdit et de franchir les limites. Avec Absinthe. Surtout avec Absinthe. Inexorablement attiré par elle, Mad se protégeait de cette destruction partielle dans laquelle elle essayait de le plonger. Comme un barrage. Mais il ne pouvait s’empêcher de savourer cette proximité physique. Maddox n’avait pas hésité à répondre aux provocations enflammées de la Poufsouffle. Il avait alors fait le tour de la table, la laissant vaquer à une lecture qui stagnait purement et simplement. Il avait pu lire quelques mots de plantes magiques, une fois arrivé derrière elle. Il en avait aussitôt détourné le regard, préférant se concentrer sur elle. Mad avait pris soin d’agir avec douceur, sensualité, intensifiant ce moment physique qui se produisait entre eux. Ses baisers avaient glissé sur sa peau, se faisant de plus en plus pressant, envieux et brûlant. Il y avait mis de tout son être, goûtant au fruit interdit qui s’offrait à lui, sans vouloir sembler se refermer. Il avait envie d’elle. Il désirait aller plus loin, mais ce jeu restait aussi douloureux que magnifiquement bien mené. Absinthe tourna alors son visage vers lui, avec lenteur. Ils se firent volte-face. Leurs lèvres se frôlaient, s’effleuraient, sombraient dans les méandres douteux. Plus, ils en voulaient plus. Assoiffés l’un de l’autre. Éternellement laissés sur leur fin. Son regard ténébreux trouva alors le sien. Maddox ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux. Il en était imprégné. Ça lui retournait les tripes. C’était elle qu’il voulait. Absinthe Potter.
Il suffisait peut-être d’un simple mouvement pour parfaire un baiser qui était déjà en train de se donner. Ou presque. De façon figurative. Un simplement mouvement. Il suffisait qu’il replie ses lèvres sur les siennes. Mais il ne le fit pas. Cette ultime ligne rouge ne pouvait être franchie. Pas maintenant. Il était encore trop tôt. Ça n’était qu’un simple jeu de séduction. – « Je ne doute en aucun cas de tes capacités. Mais sache que rien même pas le séduisant Maddox arrivera à me défaire de l'emprise d'un livre aussi intéressant. » Susurra-t-elle de façon à peine audible, avec une once de sensualité dans la voix. Ils s’observèrent. – « Alors si tu veux jouer, joue. Mais ne t'attends pas à avoir une adversaire, qui malheureusement, aurait pu te battre en battant de manière séduisante les paupières. » Provocation. Elle se mordilla la lèvre inférieure. Maddox se sentait faiblir devant ce geste qui le faisait littéralement céder à elle. Il se retrouvait à ses pieds, mais ne tarderait pas à se relever. Il conserva ses proximités instables, comme s’il en avait besoin. Réellement besoin. Mais il était encore loin d’être conscient de l’effet qu’elle lui faisait et de ce qui lui arrivait. Alors d’un simplement mouvement, il vînt chercher ses lèvres. Il gardait son front collé au sien, savourant cette provocation qui la rendait si irrésistible et inaccessible à la fois. Il était pourtant clair qu’elle avait déjà abandonné son livre pour se soustraire à lui. Absinthe n’aurait pas pris la peine de se rapprocher d’une telle façon, si son bouquin avait été plus intéressant, ou aussi intéressant qu’elle le lui disait. Le Serpentard déposa alors un baiser au coin de ses lèvres, esquissant un sourire sournois. – « Tu as ignoré toute la possible importance qu’il avait pour toi en décidant de porter ton attention sur moi, durant ces quelques minutes. Je sais qu’il ne t’intéresse pas autant que tu voudrais me le faire croire, princesse. » Ce simple murmure résonna aux oreilles de la Poufsouffle. Mais il ne s’arrêta pas là. – « Il m’en faut plus que ça pour me faire tomber. Sinon… Je serais certainement dans les bras d’une autre à l’heure qu’il est. » Il poursuivit sur le même ton, faisant glisser sa main le long de son bras. Maddox n’hésita pas à passer l’une de ses mains sous le haut de la jeune femme, venant lui arracher quelques caresses.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 13/1/2013, 20:56
Aspirant à une fin plus calme à une histoire bien plus sage, il t'observe et te réclame. pourtant tu soupires et tente de fuir, par une simple concentration t'éloigner de ce démon. il tourne autour de toi, attendant sa proie, soufflant de ses lèvres qui n'attende que toi. il se fou de tout, s'avance et t’effleure, sans aucune retenue il s'aventure le long de ta peau te caressant chastement et pourtant si intensément. tu résistes quelques secondes, mais tu faiblis, laissant ton visage se tourner avec délicatesse vers lui, manquant par un millimètre de rencontrer ses lèvres. alors tu t'amuses, provoquant une suite a ce début de partie, comme cherchant par ce moyen d'en finir. alors il te sourit et se rapproche d’avantage rompant cette distance empêchant un dérapage. ses lèvres trouvent le coin des tiennes, et même de ce baiser minime tes yeux se ferme. tu te surprends à espérer plus, vous imaginant loin de tout regard et jugement, l'un avec l'autre partageant un de ses instants si précieux et pourtant insuffisant. tu ouvres les yeux surprise de tes pensées, te baladant sur des chemins interdit, déjà accusé. – « Tu as ignoré toute la possible importance qu’il avait pour toi en décidant de porter ton attention sur moi, durant ces quelques minutes. Je sais qu’il ne t’intéresse pas autant que tu voudrais me le faire croire, princesse. » te murmura-t-il – « Il m’en faut plus que ça pour me faire tomber. Sinon… Je serais certainement dans les bras d’une autre à l’heure qu’il est. » jouez. voilà un début de partie si fort et destructeur qu'il t'en possède le cœur. il s'amuse et te détruit, sans même imaginer a quel prix. voilà des mois qu'il s'amuse, qu'il tente de te faire céder à cette tentation désiré, qui pourtant ne manque pas de te tenter. alors tu l'ignore, espérant n'avoir qu'avec lui des conversations qui se détériore. cette histoire est un crime qui à chaque regard t'impliques, pourtant tu n'arrives pas à le faire fuir, n'y à le haire, alors tu continues se jeu si dangereux, te compromettant dans ce mariage douloureux. tu ne le sais pas, et malheureusement cette histoire n'est pas aussi simple, devenue rapidement plus forte que d'habitude, comme une obsession une appartenance, une aberration.. il est ce fantasme, cette convoitise, cette tentation a lequel tu ne devrais même pas penser. il est ta faiblesse, cette blessure douloureuse au fond de ton être. ton regard se noyant dans le sien, sa main se baladant en ton sein, ne le lâchant pas du regard tu tentes avec détermination de le repousser d'une voix si peu animé. pourtant rien ne sort de tes lèvres, rien. alors tu soupires, te mordant la lèvres inférieurs a ses caresses destructrices. – « est ce alors ma seule faute d'être attiré par ta présence si séduisante ?! je doute sincèrement que la compagnie que tu m'offres n'ai d'autre ambition que d'attirer mon attention. certes face à un livre non animée tu gagnes sans même devoir m'embrasser. » susurras tu avec une certaine avidité. séductrice, tentatrice, te laissant bercé par cette présence complice. pourtant même de cette phrase aguicheuse, tu laissas grimper ta main sur la sienne la retirant avec délicatesse de ton chemisier quelques peu entrouvert. entrelaçant tes doigt au sien, laissant ton regard vagabonder dans le sien, laissant plané avec malice un sentiment aérien. là, si loin de tout, de tous ses regards ayant pu se poser sur vous, toute ses supposition lancé sur cette terrible relation, loin, simplement loin. c'est peut-être à ce instant que tu aurais dû comprendre le danger vous envahissant, de se regard si simple se dégageant tellement de sentiment.. pourtant rien de viens dérangé se bien être apaisant et serein. alors doucement tu te levais de ta chaise, faisant volteface tout en te collant a maddox là devant toi. c’était lui, simplement lui.. sa main dans la tienne, ton regard se posant un instant sur ce simple contact, remontant rapidement à ses lèvres pour enfin se nicher dans ses pupilles. là coller à lui tu rapprochas ton visage du sien, collant avec délicatesse ton front au sien. – « je ne parlais pas des battements insignifiants de paupières de demoiselles n'ayant encore aucunement comprit l'importance de t'avoir prêt de soin.. je parle bien de mon unique personne et de ce battement que je hausserais jamais te faire de peur que tu ne puisses plus retenir cette dernière barrière qui te sépare de mon être » murmuras tu avant de te mordre à nouveau la lèvre inférieur. tu étais sous son unique emprise, et cela faisait depuis votre rencontre ton malheur. tu n'avais aucunement le droit de le désirer ainsi, ou même de le provoquer de la sorte. fiancé et promise à un homme détestable, ne devant faire aucun faux pas.. pourtant il était ce faux pas que tu faisais chaque jour, voulant lui appartenir même si pour cela tu devrais souffrir.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 14/1/2013, 17:39
“ absinthe et maddox. ”
L’extrême frontière entre l’amitié et l’amour avait toujours été d’une finesse peu comparable pour de multiples personnes. Il ignorait jusqu’à quel point il pouvait aller, désirant connaître l’acte qui dévoilerait le passage entre ces deux états. Suffisait-il de caresses sensuelles ? D’un simple baiser intensifié par une passion accommodable ? De se rendre compte simplement d’être littéralement tombé amoureux ? Maddox l’ignorait. Mais là n’était pas la question. Il n’avait pas hésité à découvrir l’inconnu, à tenter de savourer ce qui les touchait lorsqu’ils étaient en présence l’un de l’autre. Ils se voulaient, se désiraient. Ça se sentait. Pourtant, ils ne franchissaient jamais la barrière. Comme une interdiction. Ou peut-être que quelque chose les arrêtait réellement ? Mais c’était le cas. Quelque chose les en empêchait. C’était également ce même quelque chose qui donnait, à leur relation, une dimension savoureuse, intense, incomparable. Maddox ne voulait pas prendre le risque de perdre ça. Sans doute parce qu’il n’avait pas envie que ça change, que ça se fane et s’oublie. Il voulait conserver la candeur de ces liens. Mais peut-être y avait-il plus à découvrir, à goûter, à savourer, à connaître ? Tant de suppositions. Sans réponse. C’était ce qui le laissait perplexe. Doucement, Absinthe avait tourné sa tête pour se retrouver face à lui. Ils s’étaient longuement toisés du regard, d’une façon ardente et intense. Sans nul doute. Elle en avait profité pour approcher ses lèvres des siennes et les agencer. Avait-elle voulu délibérément le provoquer pour le faire céder ? Il y croyait. Mais il ne sombrerait pas dans ces méandres douteux. Ainsi, Maddox avait pris un malin plaisir à s’imprégner de sa peau, se délectant de la moindre parcelle de son cou, la couvrant de baisers doux et sincères. Il était remonté, collant ses lèvres aux siennes, sans pour autant l’embrasser. Alors, tout ce qu’il avait pu lui délivrer, c’était un chaste baiser au coin de la lèvre. Ni plus, ni moins. Malgré tout, il n’en oubliait pas le fait que sa jolie Poufsouffle était fiancée. Tel était le comble de l’ironie pour leur histoire. Se pouvait-il laisser aller à briser ces liens si sacrés qui prévoyaient un mariage ingénu ? Pourtant, il savait qu’elle ne devait pas apprécier son futur mari plus que ça. Ou pas autant qu’elle le devrait, puisqu’elle préférait le tenter, le provoquer afin de commettre, peut-être, l’acte irréparable. Celui qui les plongeraient tous deux dans une relation infernale dont ils ne sortiraient pas de sitôt.
Le Serpentard laissa sa main effleurer sa peau, l’ayant, avant ça, passé sous ses vêtements. Il avait alors caressé son ventre, le bas de son dos, remontant peu à peu, comme il le désirait tant, se subjuguant lui-même. Pourtant, Absinthe semblait si faible qu’elle ne pouvait résister. Elle se mordilla alors la lèvre inférieure, continuant de le regarder, alors que leurs regards étaient ancrés profondément, comme si plus rien d’autre n’existait. – « Est-ce alors ma seule faute d'être attirée par ta présence si séduisante !? Je doute sincèrement que la compagnie, que tu m'offres, n'ait d'autre ambition que d'attirer mon attention. Certes, face à un livre non-animé, tu gagnes sans même devoir m'embrasser. » Lui susurra-t-elle. Plaçant sa main sur la sienne, elle la retira de son corps pour venir enlacer ses doigts dans les siens. Il esquissa un fin sourire, la voyant si avide d’un plaisir qu’elle ne pouvait avoir. Devait-il s’obstiner à lui résister pour plusieurs raisons ? Il n’en avait aucune envie, et là n’était pas son but. Au fond, la seule chose recherchée était masquée par d’autres excuses l’emballant dans un décor peu convenable. Il la voulait. Elle. Maintenant. Et il devait attendre, mais la patience n’avait jamais été son véritable point fort. – « Et si j’avais dû faire en sorte de capter ton attention de quelque chose de plus impressionnant, j’aurai certainement trouvé de quoi la détourner d’une autre façon que par un baiser. » Lui murmura-t-il. – « Peut-être que ce baiser sera délivré, lorsqu’une envie brûlante me transpercera l’échine, dans quel cas tu ne pourras faire autrement que d’en profiter avidement. » Il était venu lui susurrer ces derniers mots au creux de l’oreille, de façon intense et plus prompte, donnant ainsi une véritable dimension envieuse.
Elle se redressa alors, venant se mettre à sa hauteur. Leurs doigts toujours parfaitement enlacés, alors qu’il ne put s’empêcher de briser cet échange vif pour observer sa main dans la sienne. Elle vînt coller son front contre le sien, continuant à garder cette même distante entre leurs lèvres. Maddox ne pouvait s’y résoudre. C’était trop facile, et le jeu en valait largement la chandelle. – « Je ne parlais pas des battements insignifiants de paupières de demoiselles n'ayant encore aucunement compris l'importance de t'avoir près d’elles... Je parle bien de mon unique personne et de ce battement que je n’oserai jamais te faire de peur que tu ne puisses plus retenir cette dernière barrière qui te sépare de mon être. » Il l’attira alors contre lui et vînt la bloquer contre le mur de la bibliothèque, entre deux rangées de livres qui les cachaient du reste du monde, de l’endroit en tout cas. Collant d’avantage sur corps au sien, il la provoqua du regard, se servant de son autre main pour se laisser aller à la découverte de son corps. – « Penses-tu pouvoir réellement me faire craquer d’un simple battement de paupières ? » Lui demanda-t-il, avec un léger sourire charmeur aux lèvres. Il n’avait aucune envie de résister, juste de céder. Sa main libre vînt alors caresser doucement sa joue et jouer avec l’une de ses mèches brunes.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 15/1/2013, 10:50
Herbologie et botanique couchée sur la table ayant perdu leur compagne d'un soir. perdant chaque seconde d’avantage ton attention, ne pouvant plus trouver un intérêt farouche dans ta concentration. ce livre pourtant si cher à ton cœur venait rapidement de perdre la partie au profit d'un jeune homme beaucoup plus aguerrie. il tourne et vole ton admiration, s'amusant à te corrompre sans aucune hésitation. voilà votre jeu si dangereux, se perdant à chaque mouvement dans l'autre en oubliant chaque personnes vous entourant. il te fait chavirer, quand son être est proche de toi plus rien ne peux compter. il est cette brèche en toi que tu désir combler. tu le désir simplement uniquement lui, sans aucune complication sans aucun remord sans aucune réflexion. pourtant rien n'est aussi simple, il te possède et t'achève. il est le mal qui te possède, de ses caresses fines et légères, de ce regard brulant et pourtant éphémère. il ne t’appartiens pas, et tu ne pourras jamais lui être promise, comme un conte de fée qui finit mal, votre histoire pourtant si peu banale. la limite ne se franchit pourtant pas, vous laissant sur ce palier plein de question et d'admiration. le désir au bout des lèvres brulant votre être, pourtant tu ne pousses pas le vise restant a une distance presque factice. esclave de sa personne, caressant ta peau avec délicatesse, te faisant ce qu'il désir de ton être.. malheureusement tu te retrouves une part de conscience, plaçant ta main sur la sienne pour l'éloigner de ton esprit. – « Et si j’avais dû faire en sorte de capter ton attention de quelque chose de plus impressionnant, j’aurai certainement trouvé de quoi la détourner d’une autre façon que par un baiser. » te murmura-t-il avant d'ajouter rapidement – – « Peut-être que ce baiser sera délivré, lorsqu’une envie brûlante me transpercera l’échine, dans quel cas tu ne pourras faire autrement que d’en profiter avidement. » provocation, tentation ultime, il le sait, il a un avantage considérable sur ta personne, sachant pertinemment que d'un simple regard il trouverait le moyen de rompre toute tes convictions.. c'est ainsi que tu te lèves, sa main dans la tienne, vos doigts s'entrelaçant avec délicatesse, te collant à lui de la même manière, cherchant son regard d'une certaine manière. tu désirs bien plus de lui, un simple baiser ne saurait te suffire. voilà des mois que ce jeu te détruit, voilà des mois que tu te convint qu'il n'y a strictement rien dans cette relation au dilemme cornélien. pourtant tu le sais, cette relation mènera à ta perte, fuir encore tes sentiments la rend encore plus menaçant.. alors tu t'approches de lui dans un silence incessant prenant place à ses côtés attendant avec impatience qu'il trouve un moyen de t'évader. pourtant au lieu de se rapprocher et de te faire sombre il prend la main, t'attirant contre lui, te plaquant avec désir entre tous ses livres. le regard perçant et séducteur manquant d'un geste de transgresser cette barrière.. sa main pourtant le trahie de ses gestes, se baladant avec discrétion le long de ton corps dans une expression de désir brulant. – « Penses-tu pouvoir réellement me faire craquer d’un simple battement de paupières ? » provocation, tentation.. laissant son autre main grimper a ta joue, la caressant tendrement dans ce calme perçant. il sourit et te tente horriblement, pourtant tu ne dois lui céder de peur de te perdre dans cette avidité. alors tu tentes de t'échapper, malheureusement rien n'y fait, ton corps n'écoute plus ton esprit trop attentive aux caresses délivrés. tu te mord ainsi encore la lèvre inférieur, assise au bord de se vide ou tu espères un jour sauter a pique. pourtant tu te dois de lui résister et de ne pas lui offrir cette faiblesse tant désiré. c'est ainsi qu'une de tes mains grimpe au col de sa chemise, l'attrapant avec délicatesse tu l'attires vers toi dans un mouvement presque insignifiant. te rapprochant de son oreille tu laisses paraitre un souffle ayant perdu toute constance.. – « tu joues avec le feu woog.. tu sais pertinemment que le jeu en vaut la chandelle et que d'un geste de ta par ou de la mienne on pourrait chacun sombre dans des désirs qu'on ne pourrait même pas imaginer.. » murmuras tu avant d'y ajouter – « c'est si dangereux et pourtant on le désir tout deux.. alors fait attention à ce que tu me dis car je n'aimerais pas que tu te perdes dans le creux de mes reins » c'est ainsi que ta bouche se rapprocha de son oreille, là tu la laissas mordiller le lobe de la sienne avant de descendre dans son cou déposant des baiser les plus ardent qu'il pouvait te provoquer. tu étais en train de céder à cette tentation si dangereuse.. alors tu releva après quelques instant le visage pour retrouver le sien face à face. vous étiez en danger prêt à sauter ensembles dans ce tourbillons qui vous détruirait..
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 15/1/2013, 18:10
“ absinthe et maddox. ”
Ce qu’il désirait n’était rien d’autre qu’elle. Il se sentait intensément pris au dépourvu, mais agréablement surpris par sa facette imprévisible. Elle était totalement entrée dans son jeu, bien qu’il n’avait jamais douté de la substance constante que prendrait l’ampleur de leur simple flirt. Séduction imprégnée de gestes communs, délicats, abordés par une touche passionnelle qui semblait les dévorer. Maddox s’en sentait bouffer de l’intérieur par une ardente flamme qui le poussait à poursuivre sa conquête. Absinthe ne semblait pas prompte à le repousser, à se murer devant des barrières infranchissables desquelles il ne pourrait passer. Le jeune homme ne cessait de l’observer, ancrant son regard ténébreux dans le sien. Il y avait cette petite étincelle pétillante dans ses prunelles qui s’éveillaient. Il se contraignait dans ses avances, ne voulait la laisser, l’abandonner, la délaisser sur sa fin. Était-ce seulement permis de vivre une histoire aussi destructrice que la leur ? Il souffrait. Il souffrait d’un plaisir qui lui faisait ressentir un bonheur intense avant de se choir dans la banalité de ses études, de son quotidien. Mais ce n’était pas sa faute, à lui, d’aimer jouer avec le feu, de tenter l’impossible pour l’obtenir, alors qu’elle était fiancée à l’un de ses anciens amis. Il savait user de provocations et de ses charmes pour la convaincre, la persuader. Mais Absinthe était loin d’être abrupte. Elle était intelligente. Et assez maligne pour savoir qu’il ne faisait pas ça dans un but purement intentionnel que d’obtenir son attention d’un simple bouquin d’herbologie. Il y avait une dimension hautement spécifique à ce qu’il se passait. Tous deux le savaient. Maddox voulait simplement la faire craquer, obtenir un baiser duquel il s’extasierait pendant plusieurs semaines, mois, années. Un baiser qu’il n’oublierait jamais. Était-ce seulement un jeu ? Il ne se posait pas la question, aveuglé par la seule chose à laquelle il méritait d’être attentif. Tous deux, extrêmement proches, se redressèrent. Elle avait enfoui leurs mains. L’une dans l’autre. Entrelacées. Un peu comme deux amoureux transits qui ne pouvaient vivre loin de l’autre. Toute la chaleur de leurs corps se communiquait par cette simple pression invraisemblable qui en dévoilait davantage sur eux. Que dire ? Que faire ? Le Serpentard avait fini par l’attirer contre lui, venant la bloquer contre le mur de la bibliothèque et les multiples livres qui les entouraient partiellement. Il vînt caresser sa joue, remettant l’une de ses mèches brunes derrière son oreille.
Il était clair qu’il profitait de la situation ambigüe dans laquelle il l’avait mise, un peu plus tôt. Néanmoins, malgré cette chaleur enivrante qui le prenait aux tripes, elle sut saisir l’occasion et fit monter son autre main au col de sa chemise, l’attirant vers elle d’un geste minime. – « Tu joues avec le feu, Woog... Tu sais pertinemment que le jeu en vaut la chandelle et que, d'un geste de ta part ou de la mienne, on pourrait chacun sombrer dans des désirs qu'on ne pourrait même pas imaginer... » D’un côté, il ne pouvait qu’approuver ce qu’elle disait, et c’était bien en cela que c’était excitant. Jouer avec le feu avait une dimension excitante, stressante, fiévreuse qui lui donnait envie d’aller plus loin, de découvrir. Ulrich était un facteur majeur qui l’empêchait totalement de se lâcher. Mad en avait conscience. Elle était fiancée et se devait de respecter certains points qu’il n’appréciait pas forcément. Ainsi, il se demanda s’il allait subir le même sort, lui aussi. Peut-être finirait-il fiancé à une jeune femme inconnue qu’il ne porterait pas dans son cœur, et qu’il tenterait de s’évader de cette prison infernale. Il s’imaginait toutes les possibilités. Peut-être pourrait-il choisir et aimer celle qui en avait le mérite. Qui pouvait le savoir ? Pour le moment, il jouissait de son indépendance et de sa liberté. Mais il savait que son père lui retomberait dessus. Un jour ou l’autre. Une fois qu’il aurait marié Lennox à une sang-pur. – « C'est si dangereux et pourtant on le désire tous deux... Alors fais attention à ce que tu me dis, car je n'aimerais pas que tu te perdes dans le creux de mes reins. » Lui chuchota-t-elle à l’oreille. Elle intensifia ses paroles, venant lui mordiller le lobe de l’oreille, ce qui eût pour effet de lui procurer quelques frissons. Il resta néanmoins stoïque. Maddox profita également des baisers brûlants qu’Absinthe prit soin de déposer dans son cou. C’était doux, chaud, passionnel. Il en profita pleinement, avant de venir sentir, de nouveau, son regard se forcener aux siens. – « Jouer avec le feu est bien plus excitant que de se blaser dans l’ennui quotidien d’un mariage précoce. Sombrer ne m’inquiète pas. Me perdre en route, dans tes yeux ou quelconque autre endroit, me plairait davantage. Je ne crains point ce que tu t’évertues à repousse. » Finit-il par lui susurrer doucement, laissant son souffle s’écraser sur sa peau fine et douce. De sa joue, sa main glissa dans son cou, tout au long de son bras, venant se nicher à hauteur de son bassin. Elle passa alors sous sa jupe, venant en territoire inconnu auprès de la jolie Poufsouffle, caresser discrètement ses cuisses, sans se risquer à monter. Lui aussi avait un certain don pour provoquer, envoûter et troubler jusqu’à en avoir le souffle coupé. Et comme pour l'empêcher de se faire repousser dans l'immédiat, il vînt, de nouveau, peupler son cou de baisers doux, puis ardents.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 15/1/2013, 20:36
Delicat et passionnant, plume en main écrivant cette longue tirade sur votre fin. il se pourrait que cette histoire prenne des gout bien différent, changeant si soudainement. un début si peu certain, une simple amitié au détour de page de cahier, tournant les pages tout avait catégoriquement changé. attachement et sentiment s'ajoutant par pincé, vous rapprochant sans même y penser. maintenant vous en étiez à ce passage de dénouement, ce moment ou par un simple geste cette histoire changerait de fin. là de son regard envoutant tout se décliner pour une fin chancelante. rien n'était encore acquis, rien n'avait encore prit de véritable sens. pourtant beaucoup d’éléments avaient pris de l'importance, ce simple attachement devenant rapidement sentiment. alors tu te mis à douter, ce doute que toute jeune femme laisse planer. alors tu imaginas ce baiser, celui qu'il ne saurait te délivrer. ses lèvres trouvant les tiennes, dans un moment délicat et éphémères. cet instant que tu attendais depuis longtemps comme si par ce simple contact votre histoire trouverais sa fin. malheureusement il y avait eu cette promesse, sans mot n'y écrit, juste par un regard vous vous étiez compris. aucun baiser ne serait délivrer tant que tu serais promise à ton fiancé. pourtant vous aviez commencé à jouer, taquinerie et provocation, tout cela jouant a la perte d'un contrôle pourtant bien pensé. tu avais pourtant résister à cette tentation horriblement délicate, tu avais essayé de ne plus y penser.. pourtant il c'était rapprocher de toi d'une manière si dangereuse et aventureuse, se collant à toi, laissant ses lèvres se balader contre ta peau avant de laisser sa voix te susurrer quelques mots – « Jouer avec le feu est bien plus excitant que de se blaser dans l’ennui quotidien d’un mariage précoce. Sombrer ne m’inquiète pas. Me perdre en route, dans tes yeux ou quelconque autre endroit, me plairait davantage. Je ne crains point ce que tu t’évertues à repousse » lança-t-il à ton oreille, te déconcentrant de sa main baladeuse qui dans un mouvement studieux descendit le long de ton corps pour s'installer avec discrétion sous le tissus de ta jupe. sa main se laissa donc valser sur ta cuisse, passant et repassant se délectant des frissons t'absorbant. il ne s’arrêta pas là, s'amusant laissant ses lèvres rencontré à nouveau ta nuque pour y déposer baiser et passion ardente auquel tu ne put résister. envouté, esclave de son être tu ne pouvais te résilier à t'en défaire. si fragile, si manipulable entre ses doigts, perdant la partie à chaque fois. pourtant ses mots te revinrent à l'esprit. tu ne pouvais lui être promise en cet instant, et dans un élan tu repris sa main ayant trouvé refuge en ton bas ventre pour la remonter le long de ton corps et la laisser la non loin de ta poitrine. là tu reculas le visage d'une manière assez délicate, te mordant la lèvre inférieur par pure désir de chair. pourtant dans un murmure tu ajoutas assez fragilement – « tu pourrais faire de moi ce que tu désirs.. car en ce simple instant il met insupportable de te retenir.. pourtant je le dois.. étique ou pas.. comme tu l'as si bien dit même blaser dans l'ennui quotidien d'un mariage précoce je me dois de contrôler ce désir qui me brule à ne pas rompre la distance qui nous sépare encore.. » pourtant tu te mordit encore la lèvres inférieur, fuyant pour la première fois son regard, se posant sur tes mains poser contre son torse bien trop habillé.. alors tu décidas d'enfin perdre le contrôle du moins une part, sans vraiment savoir pourquoi tu te collas à lui laissant tes lèvres frôler les siennes, là au bord du précipice tu lui avouas – « tes lèvres si proche des miennes.. je les désirs du plus profond de mon être.. si un jour elles devaient se rencontrer sache que je m'y perdrais.. » ceux-ci sortit de tes lèvres tu te reculas, t'éloignant de son emprise pour rapidement reprendre place sur cette chaise ou le livre attendait ton retour. là tu tournas à nouveau la page, une main dans tes cheveux cachant ton visage. tu avais peur de lui, peur de ce contrôle, peur simplement d'en tomber folle amoureuse..
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 16/1/2013, 13:14
“ absinthe et maddox. ”
Maddox n’était jamais tombé amoureux. Il n’en avait jamais trouvé l’intérêt, bien qu’il était curieux de savoir ce qu’il pourrait ressentir le jour où ça serait le cas. Il était bien sûr sorti avec deux ou trois filles auxquelles il avait su trouver quelques points communs, accrocheurs ou qui lui paraissaient intéressantes, amusantes, rêveuses. Mais qu’importait. Il ne l’avait jamais été, n’avait jamais ressenti ces pseudos papillons dans le bas du ventre, les battements de son cœur s’accélérer à en tambouriner dans sa poitrine. Peut-être que cela allait changer ? Qu’en savait-il ? Que pouvait-il en savoir ? Maddox était trop occupé à observer toutes les nuances colorées des iris d’Absinthe. Il n’y pensait absolument pas. Cette fille le surprenait. Tous les jours un peu plus. Elle le faisait sourire, le tentait, s’imprégnait de lui alors qu’il faisait de même. Pourtant, ça n’avait été qu’une amitié purement intellectuelle à leurs débuts. Mais au fil de leurs conversations, ils avaient appris à se connaître et s’étaient grandement rapprochés. Au fur et à mesure, Maddox avait développé un quelconque attachement pour la jolie brune. Et ça s’était amplifié. Exactement comme c’était en train de le faire à l’instant où elle l’envoûtait une fois de plus. Comment était-il censé résister face à une telle beauté renversante, à cet air candide qui se voulait pourtant provocateur, à ce mordillement de lèvres, à cette proximité qui les avaient englobé tous les deux ? Maddox ne pouvait pas. Tout ce qu’il désirait, c’était de la faire craquer, de goûter à ses lèvres pulpeuses qui avaient frôlé les siennes à plusieurs reprises. Désespérément. Il s’en fichait pas mal de toutes celles qui lui couraient après, car il représentait un des plus beaux partis de Poudlard de par son nom de famille, sa famille, son sang. Le Serpentard ne s’y intéressait plus. Soudain, l’idée de devoir briser cette relation pour de simples fiançailles le titilla. Il n’avait aucune envie de se fiancer à une jeune femme qu’il ne connaissait pas, qui lui ressemblait. Pour l’honneur ou les lignées. Peu importait. C’était elle qu’il voulait. Absinthe Potter. Même si elle était promue à l’un de ses anciens amis, à Ulrich. Oui. Il le savait. C’était mal que de vouloir corrompre la fiancée d’un autre. Pourtant, il trouvait ça d’autant plus désespérant de ne pas tenter d’avoir ce qu’il désirait réellement. Déterminé, Maddox se laissait alors aller à accomplir certains vices, compromettant sa pseudo candeur qu’il ne possédait déjà plus depuis un certain temps.
Il en avait pleinement profité pour glisser sa main sensuellement sous sa jupe, arborant des caresses délicates sur ses cuisses. Mais il ne s’était pas arrêté là. Il avait ensuite enfoui son visage dans son cou, déposant d’ardents baisers envieux. Elle avait pu sentir son souffle s’écraser contre la douceur de sa peau, dans sa nuque. Il avait senti les frissons la parcourant, ce qui lui avait arraché un fin sourire, avant de se remettre à l’épousseter de baisers. Absinthe sembla subir son sort, oubliant peut-être qu’elle ne pouvait se laisser complètement aller. Pourtant, le jeune homme ne demandait plus que ça. Elle cédait. À petit feu. Lentement mais sûrement. Aussitôt, elle glissa son autre main pour venir chercher la sienne, l’arrachant à son occupation. Elle se retrouva alors à glisser sur ses côtes, puis dans son dos. Absinthe recula alors son visage, l’obligeant à se desservir de ses baisers pour l’écouter. – « Tu pourrais faire de moi ce que tu désires... Car, en ce simple instant, il m’est insupportable de te retenir... Pourtant, je le dois... Éthique ou pas... Comme tu l'as si bien dit, même blasée dans l'ennui quotidien d'un mariage précoce, je me dois de contrôler ce désir qui me brule à ne pas rompre la distance qui nous sépare encore... » Il savait à présent que la seule chose séparant leurs lèvres restait ces inepties nuptiales. Le regard d’Absinthe semblait fuir, alors que sa main grimpa sur son torse, par-dessus ses vêtements. – « La meilleure façon de résister à la tentation reste d’y céder. » Lui répondit-il en un souffle fiévreux.
Elle se mordilla la lèvre, laissant son regard vagabonder sur ce qui les entourait. Lui ne la quittait pas des yeux. Il voulait venir chercher ses prunelles sombres, pour que celles-ci viennent se reposer sur lui. Mais il ne le fit pas, alors qu’elle approcha ses lèvres des siennes, les effleurant sensuellement. – « Tes lèvres si proches des miennes... Je les désire du plus profond de mon être... Si un jour, elles devaient se rencontrer, sache que je m'y perdrai... » Et elle se détacha de son emprise, allant se rasseoir sur sa chaise. Elle tourna une page et passa une main dans ses cheveux, comme si elle cherchait véritablement à se cacher de l’envie qui lui tournait autour. De lui. Il se retourna alors, l’observant lire. Si elle lisait au moins. Il s’adossa alors contre le mur et continua de la regarder faire, esquissant un simple sourire. – « Il est pour quand le mariage, princesse ? » Lui demanda-t-il davantage afin de la provoquer, que pour réellement savoir la réponse. Ce n’était pas un sujet qui l’intéressait vraiment. Il aurait préféré savoir que tout avait été annulé pour quelques raisons que ce soit. Maddox ne portait plus vraiment Ulrich dans son cœur, surtout en sachant qu’Absinthe s’obstinait à mettre une barrière entre eux pour leurs éviter de faire des inepties monumentales.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 12:51
Miguel de Unamuno, un moldu écrivant des livres avait un jour écris "Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder." en ayant rédiger cette citation il avait touché un point fulgurant dans votre relation. cela faisait des mois que votre histoire avait commencer, des mois que vous discutiez derrière des pages déchirés, des mois qu'il s’avançait alors vers toi et de son souffle chaud et tentateur d'infliger cette rude douleur. cette lourde tentation traversant ton échine grimpant à tes lèvres pour mourir en lui. un besoin maladif de l'avoir prêt de toi, te blottit en son corps et de t'y perde en douceur. seulement, cette tentation devenait un danger, une faille qui te tyranniser. balader entre deux image, celle d'un désastreux mariage, et celle de cette relation si désirable. peut-être pensant trop au conséquence de tes actes, peut-être trop soucieuse de leur impact. perdu au bord du gouffre de tes sentiments, entre la fierté familiale et ton propre entendement. que choisir quand votre cœur se perd entre deux rivage ?! quand votre esprit prend le contrôle et empêche certain choix. dure était le choix, mettant déjà ton cœur en émois, te corrompant par un sourire, un regard pétillant, te rendant désirable et perdante. alors le choix était fait, du moins au fond de ton être tout était déjà décider. dans ses bras tu voulais naitre et mourir, te blottir en son sein et ne plus en partir. mais, là dans ce monde extérieur, se trouvait ton véritable bourreau, celui qui dans un geste te m'était à terre. te brisant le cœur et le corps à chaque rencontre, te forçant à porter cette foutue bague ne t'allant absolument pas. tu le détestais comme jamais tu avais détesté quelqu'un, certes regulus avait déjà une agréable avance sur ce barème et pourtant ulrich attisait ta haine. alors là debout face a cette horrible attirance tu te sentis faiblir de tout ton être. s'approchant encore de toi il laissa ses lèvres dire mot – « La meilleure façon de résister à la tentation reste d’y céder. »non. tournant les talons tu lui prouvais qu'aucune tentation ne devrait être céder. alors tu repris ta place, tournant une nouvelle page, cachant ton visage. là tu soupires un instant déconcerté et désespéré. il t'attire tellement, tel un aimant dont tu ne peux repousser l'attirance. esclave de son être, de chaque mot traversant ses douces lèvres. ridicule situation – « Il est pour quand le mariage, princesse ? » lança-t-il sous une certaine provocation. à peine cette phrase eu traversé ses lèvres que tu te figeas en silence. pourquoi posait-il cette question idiote ?! que cherchait il à provoquer par cette question ?! il t’énervais, pourquoi avait il besoin de rompre ce moment de calme par une question aussi irritable. tu soupiras, fermant ton livre d'une façon assez brutal, là tu te tournas vers lui, accoudé au armoire pleine de livre. là tu lui lança un regard glaciale comme pour lui faire comprendre que cette question n'était en aucun cas la bienvenue dans cette situation. – « quand nos études aurons prit fin. » avouas tu avant de te relever pour te rapprocher à nouveau de lui. cette fois tu ne t'installas pas en face de lui mais à son côté, coller aux carreaux froid de la bibliothèque. là tu soupiras à nouveau comme par dépits puis tu rajoutas – « j'ai presque envie de rater chacune des années à venir pour ne jamais voir ce moment s'assouvir. pitoyable n'est-ce pas ?! » interrogeais tu avant de faire volteface pour lui tourner le dos et observer en silence la vie au dehors de ces carreaux. pitoyable situation, mariage non désiré et pourtant dans l'obligation de le voir se réaliser. soupir encore a cette simple idée, préférant mille fois devoir lui céder.. là dehors des élèves s'amuser à courir dans la neige recouvrant le sol auparavant si vert. tu eus comme un mince sourire avant de te retourner à nouveau pour retrouver son regard, si pétillant si tentant. te rapprochant de lui tu t'installais contre lui, ton bras glissant le long du sien, trouvant sa main. pourtant tu n'y fit rien, la laissant simplement la toucher par instinct. là tu soupiras encore, avant de trouver son regard encore un fois t'y perdant, tout en savourant. là tu eu comme un petit sourire de gamine, timide et pourtant certaine de sa bêtise. – « si à ma place la tentation et l'obligation ce mener bataille, quel chemin prendrais tu pour te sortir de cette pagaille ?! » besoin de conseille ou simplement d'un avis. même si poser cette question à ta tentation t'offrirait surement une réponse sans véritable observation.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 17:58
“ absinthe et maddox. ”
L’ambiance survoltée et électrique semblait s’être apaisée lorsqu’elle s’était détachée de lui. Elle était allée s’asseoir sur sa chaise, et avait simplement tourné la page de son livre d’herbologie pour pouvoir le poursuivre. Maddox avait été amusé par sa réaction, car ça avait été la seule solution qui semblait s’être proposée à elle. S’en délectait-il ? Assurément. Il s’était alors appuyé contre le mur et l’avait observée de dos. Il aurait aimé pouvoir se rapprocher d’elle, venir lui caresser ses longs cheveux mordorés par les lumières de la bibliothèque, lui donner un simple baiser sur la joue ou lui prodiguer de simples caresses pendant qu’elle se mettait sérieusement à sa lecture. Mais il ne l’avait pas fait, préférant garder ces quelques mètres de distance, comme s’il avait eu envie de voir ce qu’elle allait faire. De voir si elle allait revenir vers lui par manque, par obligation, par envie. La testait-il ? Absolument pas. Maddox esquissa un fin sourire, alors qu’il comprit qu’elle tentait de le fuir. C’était assez amusant de voir un tel retournement de situation. Suis-moi, je te fuis. Fuis-moi, je te suis. Et ça n’était pas prêt de s’arrêter. Ils le savaient tous les deux. L’histoire, dans laquelle ils s’étaient embraqués, les éprenait plus vite qu’ils ne pouvaient le penser. Rapidement, il n’hésita pas à user d’une question provocatrice pour la sortir de son livre. Quand allaient-ils se marier ? Il n’en avait aucune idée. Il n’était pas bien sûr de vouloir le savoir tant cette idée lui déplaisait intérieurement. Évidemment, il se gardait bien de le lui dire, de le lui montrer, gardant un naturel déconcertant. La réaction d’Absinthe ne se fit pas attendre. Il la vit se raidir, redressant la tête hors de son bouquin. Elle le referma brutalement, d’un coup sec et bien donné. Mad se doutait qu’il avait touché une corde sensible, et là était le but premier de sa question méprisable. Digne d’un Serpentard. Elle se retourna alors vers lui, et lui balança un regard glacial qu’il savoura par un simple sourire provocateur et un regard charmeur. – « Quand nos études auront pris fin. » Finit-elle par lui répondre de façon assez désagréable. Maddox savait qu’il lui restait à peu près quatre ou cinq ans à Poudlard, avant d’en avoir réellement fini ses études. Ça lui laissait tout autant de temps pour la faire céder à ses avances, et également pour profiter d’elle.
Absinthe se redressa alors et retourna près de lui. Elle se posa à ses côtés, le regard fixé sur les carreaux incolores de la bibliothèque. Il resta appuyé et fixa ce qu’il se passait devant lui. Soit, pas grand-chose d’étonnant. – « J'ai presque envie de rater chacune des années à venir pour ne jamais voir ce moment s'assouvir. Pitoyable, n'est-ce pas !? » Enchérit-elle. Il trouvait ça plutôt désespérant. La situation était plus déplorable qu’il n’aurait pu le penser. Au point de se laisser redoubler chacune des années à venir ? C’en devenait critique. Maddox fit une légère moue, mais se reprit aussitôt. Elle lui fit alors volte-face. Il déposa son regard sur elle, comme elle le fit sur lui. – « Tu sais que t’es paradoxale ? Tu ne l’aimes pas, mais tu tiens trop à ça que pour te laisser aller. » Où était la logique ? Il l’ignorait. Certes, il savait qu’Absinthe faisait ça pour l’honneur familial. Mais ne risquait-elle pas de les décevoir davantage en ratant chacune de ces années ? Qu’est-ce qui était le pire ? Il l’ignorait. Maddox avait toujours pensé qu’elle avait fini par accepter son sort. Lui ne s’y était pas encore résigné. Maintenant, il savait que ça n’était le cas pour aucun d’eux deux.
Elle se retourna alors, et eût un léger sourire face à sa vision. Elle esquissa un léger sourire, avant de se rapprocher de lui et de venir chercher sa main. Il la laissa faire et passa son autre bras autour de sa taille pour la prendre dans ses bras. Maddox déposa un chaste baiser sur sa joue, la gardant tout contre lui. Un peu comme pour la rassurer. – « Si à ma place, la tentation et l'obligation se menaient bataille, quel chemin prendrais-tu pour te sortir de cette pagaille !? » Il n’en avait aucune idée, ne voulait pas même y penser. Peut-être que son jugement serait faussé par le fait qu’il la désirait plus que n’importe quoi. Mais s’il y réfléchissait davantage, il ne saurait se sortir de là. Honneur ou amour ? L’honneur aurait sans doute pris le dessus, parce qu’il avait toujours été très attaché à cette valeur et que son père l’avait éduqué comme ça. Mais était-ce pareil pour elle ? – « L’honneur reste-t-il, pour toi, plus important que tes propres sentiments ? » Lui demanda-t-il en guise de réponse. Le Serpentard plongea son regard dans le sien, cherchant la vérité qui pouvait s’y dissimuler.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 18/1/2013, 22:03
Charmante idée de fuir sur des chemins différents. excellente idée même de changer du tout au tout l'issue de cette histoire si peu intéressante. bague au doigt, mariage en blanc, sourire de vos parents mais quel idée de vouloir marier des enfants. cela t'échappais encore. pourtant tu lui étais bien promise, faire mine d'une bonne entente, de donner des nouvelles de votre couple a tes parents. mensonge et foutaise. lui, faisant encore le beau devant sa mère, lui chantant des louanges si éphémères. la fierté de ses parents et leur vision parfaite sur sa personne, l'unique raison de cette acceptation de fiançailles. toi de ton côté, un sourire si niait avait pris place sur ton visage quand il avait mis genoux à taire pour faire sa demande initiale. tu n'avais même pas pu accepter n'y refuser, puisque tes chaines t'avais été accroché. sans un mot, sans même un regard acquiesçant. bague au doigt sourire forcé, course dans les couloirs du château fuyant tes responsabilité comme tu aurais pu fuir la peste. malheureusement il arrivait toujours à te retrouver, te forçant à porter ce bijou immonde juste pour prouver que tu lui appartenais. pourtant dès qu'il avait le dos tourné elle retrouvais sa place dans ta table de chevet. ridicule situation, couple si imparfait que personne n'y faisait attention. ils étaient tous au courant de cette situation, mariage arrangé et tromperie enragé. homme à femme et s'amusant à chaque étage, fiancé modèle devant ses paternel et pourtant si infidèle. il avait trouvé ce jeu fascinant, jouer à tromper sa futur femme alors qu'elle se cacher entre les rangés de la bibliothèque. pourtant il n'était en aucun cas au courant, c'était bien entre la connaissance que tu trouvais ton essence. certain mot lui était rapidement venue au oreille, potter te trompe entre la botanique et l'herbologie. mais il n'y avait pas cru. comme la souffre-douleur que tu étais, pouvais bien trouvé refuge dans les bras d'un être désiré ! impossible. alors il n'avait rien dit te laissant faire et vagabonder sur ses pages, dans ses yeux est dans ses bras.. – « Tu sais que t’es paradoxale ? Tu ne l’aimes pas, mais tu tiens trop à ça que pour te laisser aller. » ajoutait il te sortant de ses pensées destructrices. souriant tu te rapprochais de lui, te blottissant quelques peu prêt de lui sans pourtant lui donner arme pour s'en servir. mais il trouva encore un faille, passant ses mains sur ta taille, te collant à lui pour un nouveau moment incompris. lover contre lui tu laissais ta tête s'installer contre la sienne, la dans ce silence de bibliothèque. simplement ensembles, comme si tout cela était d'un naturel évident. comme un couple se retrouvant au détour d'un rayon, discutant de chose et d'autre avant de se laisser fuir dans les bras de l'autre. voilà les rumeurs s'acharnant sur vous, ce sentiment d'un bien être que beaucoup aurait voulu connaitre. un instant, une bulle de confort, sans aucun problème, dans un silence palpable et original qu'il en devint rapidement instable. – « L’honneur reste-t-il, pour toi, plus important que tes propres sentiments ? » surprise de cette interrogation, comme si fuyant la première question. un petit sourire se posa sur tes lèvres, laissant tes mains grimper sur les siennes, laissant ton visage contre le sien comme dans un mouvement naturel. tu fermas quelques instants les yeux profitant de cette étreinte avant de remettre pied à terre et de tourner ton visage vers le sien. là au lieu de répondre machinalement tu déposas un baiser dans le creux de sa nuque avant de grimper vers son oreille pour laisser ton souffle lui murmurer quelques mots – « toute femme veut qu'un jour son cœur soit possédé par un seul être.. malheureusement le mien ne sait plus ou donner de la tête.. » tes lèvres descendirent à nouveau dans sa nuque avant de revenir contre son oreille d'une manière délicate et sensuelle – « j'ai comme un besoin de céder a cette tentation, mais en y cédant je perdrais surement la raison.. alors peut être que je reste caché derrière mon honneur pour ne pas sombrer dans ces sensations.. » finis tu par avouer avant de reculer ton visage pour qu'il se love à nouveau contre le sien. là de ses mains tu caressas les siennes avec douceur, fixant l'étagère vous faisant face. rien n'y personne ne comprendrait jamais le mal qui te possède, ce dilemme abominable qui consume tout ton être. céder a cette tentation et y perdre toute raison ou suivre ce destin tracé en risquant de t'y blesser..
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 19/1/2013, 10:56
“ absinthe et maddox. ”
Il se subjuguait devant l’emprise qu’elle pouvait avoir sur lui, désormais. Elle l’avait attiré dans ses filets, l’enfonçant dans ces méandres doucereux contre lesquels il allait souffrir. Il ne s’en rendait pas compte. Vil inconscient de ce qui l’attendait à s’éprendre d’elle. Il pouvait encore l’admirer, enfoncer son regard dans le sien pour y lire ses émotions. Il pouvait la provoquer, caresser son corps ou le couvrir de baiser. Le jeune homme était désarmé face aux charmes d’Absinthe. Elle le séduisait à chaque fois qu’elle décidait de poser son regard sur lui, et il s’en émerveillait comme un enfant à qui on faisait découvrir Poudlard pour la première fois. C’était toujours la même rengaine. Avait-il déjà pensé à se défaire de cette emprise ? Non. Bien sûr que non. Il ne voyait pas les chaînes qui enlaçaient ses bras, ses jambes, son corps tout entier. Maddox jouait à un jeu dangereux, dans lequel il se perdait. Petit à petit. Au fur et à mesure que son cœur s’imprégnait de la douce présence de cette jeune femme. Il aimait ça. Il aimait ce côté imprévisible, ce jeu de séduction qui ne pouvait aboutir à cause d’un titre et d’une bague. C’était spécieux, mais elle le fascinait. Absinthe était celle qui le mettait de bonne humeur en toute circonstance. Il suffisait qu’il aperçoive son sourire enfantin, son regard pétillant, les airs charmeurs qu’elle prenait lorsqu’elle voulait le tenter jusqu’à l’extrême limite, leurs conversations balayant tous les sujets qui leurs passaient par la tête. Il n’avait jamais ressenti ça pour une autre fille. Pas même pour Blue. Peut-être parce qu’avec la Serdaigle, il s’agissait purement d’une histoire amicale. Certes, il avait tendance à se cacher de l’affection qu’il lui portait parce qu’elle était une née moldue. Mais ça ne l’empêchait pas d’être tactile avec elle, de discuter ou de rigoler. C’était différent avec la Poufsouffle. Entre eux, il y avait une synergie déroutante de laquelle il ne savait quoi faire. Tentation et destruction. Ils étaient séparés par un mur invisible qui les empêchait de faire ce dont à quoi ils aspiraient. Combien de fois n’avait-il pas désiré l’embrasser pour enfin goûter au fruit défendu ? Et combien de fois s’était-il retenu de le faire ? Tout autant. Parce qu’il la respectait et respectait son choix, bien que futile à son goût, quand il prenait conscience qu’Ulrich faisait les yeux doux aux étudiantes qui lui plaisaient.
Elle s’était rapprochée de lui comme un besoin inexorable de la présence de l’autre pour être comblé. Il avait alors fait glisser ses mains le long de sa taille, l’attirant davantage contre lui. Oui. Maddox n’avait alors pas hésité à la prendre dans ses bras. Ce geste visait plus à la rassurer, à la consoler qu’à la tenter désespérément de craquer. Elle s’y était alors nichée, ramenant ses mains sur les siennes et sa tête contre la sienne également. C’était de ces moments desquels il voulait que ça continue perpétuellement. Absinthe vînt, après ça, déposer un baiser au creux de son cou. – « Toute femme veut qu'un jour son cœur soit possédé par un seul être... Malheureusement, le mien ne sait plus où donner de la tête... » Lui susurra-t-elle d’un souffle à l’oreille. Elle réitéra ses baisers dans sa nuque, remontant de nouveau auprès de son oreille. Il se laissait faire, impuissant devant l’emprise qu’elle avait sur lui. – « J’ai comme un besoin de céder à cette tentation, mais en y cédant, je perdrai sûrement la raison... Alors, peut-être que je reste cachée derrière mon honneur pour ne pas sombrer dans ces sensations... » Finit-elle par lui avouer, relevant son visage pour pouvoir poser son regard sur lui. Qu’était-il censé dire ou faire face à ça ? Elle le tentait irrésistiblement. Néanmoins, il ne semblait pas cillé. Il se décolla doucement d’elle, et lui attrapant la main, il la fit tourner sur elle-même. Ainsi, son torse se retrouva collé à son dos. Il laissa alors, de nouveau, ses mains venir l’encercler, en glissant le long de sa taille. Il la bloqua contre le rebord de la fenêtre, là où tous deux avaient une vue directe sur le parc de Poudlard. Maddox vînt déposer un doux baiser sur joue, tenté d’en faire davantage. Il posa sa tête à côté de la sienne, fixant les premières et deuxièmes années s’amuser d’inepties magiques. – « La plus belle des créatures se doit d’être courtisée en tout bien, tout honneur. » Murmura-t-il face à sa première remarque. Il poursuivit. – « Un proverbe moldu dit que la cœur a ses raisons, que la raison ignore. Mais dans quel raisonnement te perdrais-tu ? » Il esquissa un fin sourire, et observa alors les enfants s’amuser de simples sortilèges inoffensifs. Eux aussi avaient été candides par le passé. Puis, ils avaient grandi. – « Sois aussi libre et innocente qu’eux. » Lui souffla-t-il alors, les lui montrant.
Absinthe Potter
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 20/1/2013, 19:11
S
ombre était ses yeux, se posant sur toi, dans un silence religieux m'étant encore ton cœur en émois. simple et fragile, trouvant son regard sans même t'en apercevoir. envoutant et déroutant, cette attirance qui te possède et pourtant à lequel tu cèdes. le silence vous enrobe dans sa robe d'hiver, pourtant si peu glaciale presque estivale. debout et silencieux, attendant un signe ou un aveux. il le sait bien tu te perds à chaque regard, il te rend complétement dingue, esclave de ses mots de sa voix, de chaque geste qu'il te conçois. engendrant souffrance et désarroi, là entre ses bras tu exprimes enfin ce que tu désirs. alors tu le laisses faire, s'amuser à te tourner autour à te tenter à jouer de ses mains sur ta peau, laissant vagabonder ses lèvres dans ton cou et sur ta joue. il te tente et dans un sens cela t'amuse aussi, résister et ne pas céder. il est ton passetemps, ton obsession ton désir intérieur dont personne ne connait la douleur. souffrant de cette relation, espérant parfois dire non, mais, tu ne le peux attirer inexorablement dans ses bras comme aimanté sans y avoir le choix. il te regarde et te charme, là blottit contre lui il te désarme. la tête contre la sienne lover en son sein, silencieuse et certaine qu'il mènera à ta fin. alors tu laisses tes mains caresser les siennes, nicher sur tes hanches qu'il emprisonne. mais comme par supplice il se détacha de ce moment propice, te retournant calmement pour coller son tors à ton dos et te laissais apercevoir au dehors a quel point il y faisait surement moins chaud. le laissant prendre place contre toi, se nicher en ton dos pour faire grimper ses lèvres contre ta joue, il lova ensuite sa tête contre la tienne – « La plus belle des créatures se doit d’être courtisée en tout bien, tout honneur. » murmura-t-il encore à ton adresse avec délicatesse – « Un proverbe moldu dit que la cœur a ses raisons, que la raison ignore. Mais dans quel raisonnement te perdrais-tu ? » curieux et enchanteur, te demandant de lui susurrer à quel point il possédait ton cœur. ce n'était en aucun cas la première fois qu'il cherchait des aveux. trop fier de toi tu ne lui avais jamais offert ces paroles tendancieuses. tournant toujours autour de la vérité, lui cachant intentionnellement tes sentiments. mais, vipère malicieuse qu'il était, avait bien comprit qu'en ses bras tu ne résisterais pas. alors voyant que la réponse ne te brulait pas encore les lèvres il ajoutas – « Sois aussi libre et innocente qu’eux. » désignant les enfants jouant sous le feu. un sourire en coin s'installa rapidement sur tes lèvres, observant ici-bas les élèves. courant dans les parcs, ignorant tout de leur futur drame. baguette en main se chassant l'un l'autre sans même soupirais l'arrivé de leur fin. s'amusant dans l'interdiction de l’utilisation de la magie instaurer par Dolohov la harpie, laissant leur pas se fendre dans la neige, leur liberté et innocence levé vers le ciel. simple et pourtant si joyeux et enfantin, mettant à tes pensées un gout de parfum passé. alors tu souris de plus belle – « libre et innocente, je ne crois jamais l'avoir été comme ils le font. insouciant et naïf de leur avenir bientôt les consumant. » tu t’arrêtas un instant avec de te tourner face à maddox le regard brulant. – « j'ai surement trop peur de perdre le contrôle en cédant a cette tentation qui me brule depuis notre rencontre » laissas tu échappé avant de te tourner à nouveau vers les carreaux froid de la bibliothèque. reculant d'un pas tu laissas ton dos reprendre place contre ton torse, laissant pourtant tes mains loin de son corps. oserais tu un jour braver cette obéissance et lui céder ?! craquerais tu réellement pour cette tentation inavoué.. des question qui n'aurais surement jamais de réponse tu moins pas tant que certaine de tes certitudes camperaient tel une nouvelle étude. alors tu soupiras par dépit, lovant ta tête contre la sienne – « une vipère tel que toi perdant son temps prêt d'une pauvre fille comme moi.. que peut bien caché cette engouement à venir me parler alors que tout tes camarades s'amuse à me dénigrer ! » un ton calme s'était installé dans ta voix, une question posait de manière si ordinaire qu'elle aurait pu être légère comme l'air. pourtant il le savait aussi bien que toi, cette question était comme une provocation. un questionnement intéressé qui finirait surement dans une réponse instantanée.
C-A. Maddox Woog
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you. 20/1/2013, 21:06
“ absinthe et maddox. ”
Elle était une perle rare. Absinthe était, à ses yeux, magnifique, intelligente, déroutante. Elle représentait un peu sa perfection, bien qu’il avait encore du mal à se l’admettre. Tombait-il amoureux ? Il fallait croire que oui. Il ne voyait plus qu’elle, comme si elle était la seule à pouvoir lui offrir ce qu’il recherchait. Maddox ne s’en rendait pas même compte. Un peu comme un coup de foudre amical qui s’était transformé en un coup de foudre sentimental. Si on lui demandait, il nierait probablement l’évidence. Parce qu’il n’avait encore jamais pensé à la possibilité d’aimer la petite Potter. Et pour cause ? Il n’appréciait déjà pas ce James Potter, qui prenait la tête à tous ceux qui se mettaient en travers de son chemin. Pitoyable petit insecte qui ne demandait qu’à être écrasé. Maddox aurait pu le faire, lui, l’écraser, lui faire regretter de s’en être pris à quelques Serpentards. Mais il n’avait jamais jugé bon de s’intéresser à cet être insignifiant. Pourtant, sa cousine paraissait être tout son contraire. C’était ça qui l’impressionnait. Elle était belle, spontanée, souriante. Elle était juste elle. Il l’appréciait pour ça. Peut-être parce qu’il la sentait différente de toutes les autres étudiantes de Poudlard. L’atmosphère s’était calmée. La tension était redescendue. Il avait alors pris soin de s’approcher d’une autre façon qu’à son habitude. Nullement pour la tenter, la provoquer, lui donner envie de lui asservir un doux baiser. C’était beaucoup plus naturel, singulier, mignon. Ils agissaient comme étant un vrai petit couple, bien qu’il n’y pensait absolument pas. Ainsi, collé contre elle, il jeta un coup d’œil au dehors. Des élèves jouaient dans la neige hivernale du mois de décembre. Ils ne semblaient pas savoir ce qui les attendait. Ils ignoraient encore tout de la vie, ce qui était d’autant plus désespérant pour eux. – « Libre et innocente, je ne crois jamais l'avoir été comme ils le sont. Insouciants et naïfs de leurs avenirs bientôt les consumant. » Maddox était pourtant persuadé qu’elle avait dû être aussi candide qu’eux à leur âge. Peut-être n’était-ce qu’une fichue impression ? Il n’en savait pas grand-chose. Resserrant alors son étreinte, il se revoyait à leurs places. Libre, enfantin et pourtant si mature pour son âge. Poli à souhait. Garçon trop parfait, ajustant sa robe de sorcier. – « Je crois que tu l’étais bien plus que tu ne le penses. Et que l’on t’a arraché cette candeur bien trop tôt. » Finit-il par lui répondre.
Elle tourna alors sa tête. Il relâcha son étreinte et l’observa alors. – « J'ai sûrement trop peur de perdre le contrôle en cédant à cette tentation qui me brûle depuis notre rencontre. » Et elle se retourna de nouveau, venant se coller contre lui. L’une de ses mains glissa alors sous le haut de la jeune femme. Il effleura sensuellement son ventre, fit balader sa main dans son dos qu’il caressa également. De son autre main, il vînt déboutonner les premiers boutons de son chemisier, découvrant ainsi la fine fibre de tissu recouvrant ses seins. – « Perdre le contrôle ne peut être qu’une bonne chose pour une demoiselle dont l’avenir semble méticuleusement tracé. » Il poursuivit. – « Comme un léger goût d’aventure, de surprise. » Lui susurra-t-il tendrement à l’oreille, comme pour tenter de réveiller son âme enfantine qui ne demandait qu’à être libérée de ses chaînes. Il laissait ses mains chaudes parcourir son corps. Impossible de les empêcher de continuer leur activité tant il aimait ça. Il voulait arracher un soupire, des gémissements, la faire regretter de le faire attendre alors qu’elle en avait autant envie que lui malgré tout.
Il ne savait pas pourquoi il était attiré par elle. C’était juste… Indéfinissable. C’était elle. C’était comme ça. Il ne pouvait pas lutter contre ça. – « Une vipère telle que toi perdant son temps près d'une pauvre fille comme moi... Que peut bien cacher cet engouement à venir me parler, alors que tous tes camarades s'amusent à me dénigrer ! » Était-il seulement comme tous les autres ? Non. Bien sûr que non. Maddox ne supportait pas l’idée que l’on puisse s’en prendre à elle. Ou peut-être était-ce l’idée qu’Ulrich ne la défende pas qui le mettait hors de lui. Dans un cas comme dans l’autre, ça avait le don de l’agacer. Il se détacha alors d’elle et fit deux pas en arrière. Que répondre à ça ? Il ne voulait pas répondre. Il ne savait pas pourquoi c’était elle et pas une autre. Mais c’était comme ça. Rien n’y changerait. Maddox vînt alors prendre ses affaires nichées sur la table, depuis tout à l’heure. – « Je vais rejoindre mes camarades qui adorent tellement te torturer… Il faut les comprendre. T’es irrésistible, Potter. » Esquissant alors un fin sourire, il se retourna et se dirigea vers la sortie, sans prendre la peine de se retourner. Pouf. Comme ça. Il la laissait tomber en quelques sortes. Il ne pouvait plus tenir. Il voulait l’embrasser.
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Sujet: Re: ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you.
ABSINTHE (+) I would just like to find a rallying point to you.