A WINDOW TO THE PAST.
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 wilhelmina + let me hate you.

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serpentard
Hermès Lawburry
Hermès Lawburry
I swear I'm up to no good

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MessageSujet: wilhelmina + let me hate you.   wilhelmina + let me hate you. Empty24/12/2012, 16:46


LET ME HATE YOU

wilhelmina + let me hate you. Tumblr_m2is80NlrL1qdz3mzo2_r2_250la journée a été longue pour hermès qui sort à peine de la salle commune des serdaigle. il vient de sortir du lit d'une septième année très entreprenante. il a pris son pied quelques minutes plus tôt et il se sent repu. il doit être aux alentours de dix-huit heures et le couvre-feu est dans une heure, hermès a largement le temps de faire un petit tour dans le château avant de retrouver les cachots pour la nuit. les soirées d'hiver, en angleterre, sont glaciales et celle-ci n'est pas une exception. sortant de la douche, les cheveux encore mouillés et ébouriffés, il frissonne. il ne porte qu'un tee-shirt moulant et un jean simple, rien qui puisse le protéger du froid. il marche tranquillement, prenant son temps. il ne risque rien, pour le moment et il compte bien profiter de cette heure qu'il lui reste avant de devoir s'enfermer dans sa salle commune jusqu'au lendemain matin. il descend un à un les étages, passant de la plus haute tour du château au cinquième. il passe par la salle de trophées de quidditch, admirant, comme à chaque fois qu'il passe devant, les récompenses diverses et variées qui y sont entreposées. hermès redescend encore d'un étage. le quatrième. le panthéon de la connaissance. il passe devant les portes, fermées, de la bibliothèque. ce niveau est celui préféré des serdaigle, notamment celle qu'il a réussi à choper aujourd'hui. il était allé la chercher jusqu'au rayon des livres de potions. elle n'avait pas résisté plus de cinq minutes. hermès sourit à cette pensée. la petite serdaigle coincée s'était révélée être une vraie tigresse. soudain, alors qu'il avance encore dans le couloir, dépassant la bibliothèque, il entend les portes s'ouvrirent. une jolie blonde en sort, tout sourire, portant un vieux livre épais et poussiéreux entre ses bras. oooh, quelle agréable surprise ! un sourire carnassier étire les lèvres fines d'hermès. pile au bon moment, au bon endroit. elle ne l'a pas encore vu, dos à lui. elle se dirige vers les escaliers qui mènent aux étages supérieurs, seule. accélérant le pas, le serpentard la rattrape sans difficultés. « coucou, toi. » ce n'est qu'un murmure, mais il sait qu'elle a entendu. elle se retourne, lentement. elle appréhende sa réaction, il le sait. à l'instant même où il a ouvert la bouche, elle l'a reconnu. wilhelmina lui fait face et hermès n'hésite pas une seconde. il lui prend le bras, sans aucune douceur, et la plaque contre le mur. « alors, willy, tu t'es perdue? » il rit. cette fois encore, il ne la laissera pas partir tranquillement. il glisse sa main dans la sienne et se rapproche toujours plus. « je t'ai manqué, pas vrai? » lui susurre-t-il à l'oreille. puis, sans même la prévenir, il l'entraîne avec lui, maintenant ses doigts entre les siens. une salle abandonnée, parfait. il ne sait pas quelle heure il est, mais il ne veut pas que dolohov ou un professeur vienne le déranger alors qu'il fait mumuse avec wilhelmina. à peine la porte fermée et verrouillée par de multiples sorts, il la plaque une nouvelle fois contre le mur, se collant à elle. la tête de la gryffondor heurte violemment la pierre froide, mais il s'en fiche. il l'aime comme ça.



Dernière édition par Hermès Lawburry le 29/1/2013, 21:21, édité 4 fois
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gryffondor
C. Wilhelmina Malefoy
C. Wilhelmina Malefoy
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MessageSujet: Re: wilhelmina + let me hate you.   wilhelmina + let me hate you. Empty17/1/2013, 19:40


wilhelmina & hermès - salle abandonnée.
wilhelmina + let me hate you. Tumblr_meny5qKJ3I1qd7fc3o5_250Tu tournes la page de ton livre et soupires. Tu es là depuis deux heures déjà, et après maintes et maintes recherches tu n'as toujours pas trouvé ce dont tu avais besoin. Tu imaginais bien que le grimoire dont tu allais avoir besoin allait être difficile à trouver, parce qu'il possédait de nombreux sortilèges dont seuls certains sorciers pouvaient se vanter de maîtriser. Des sortilèges de niveau supérieur en somme. Tu avais toujours cherché à être la meilleure dans tout les domaines que tu entreprenais, afin d'être parfaite. Autant pour toi que pour ta famille. Tu refermes le livre que tu tiens dans tes mains, exaspérée. Tu pestes contre toi même car tu sais que ton frère aurait trouvé en deux temps trois mouvements le livre dont tu avais besoin. Car il était le meilleur. Celui qui était parti dans la bonne maison, qui avait suivit le bon cursus. Oh, tes parents étaient fiers de ton choix d'études, cependant, ils auraient sûrement préférés que tu suives les même études que ton frère. Pour entrer en compétition. C'est ce que tu imagines. Tu te lèves et vas ranger le grimoire poussiéreux. Tu tapotes doucement tes lèvres, réfléchissant à la solution la plus appropriée pour trouver le précieux grimoire que tu souhaites. La solution ne te prends que quelques secondes à t’apparaître. Tu coures entre les étagères, ta baguette en main. Et tu t'arrêtes enfin devant l'étagère où tu penses se trouver l'objet de tes tourments. Tu lèves ta baguette dans les airs et prononces une simple formule. Plusieurs manuscrits se mettent à léviter dans les airs, avant de reprendre leurs places initiales et de laisser virevolté, celui dont tu as besoin. Satisfaite, tu ranges ta baguette et pestes contre toi-même pour ne pas avoir pensé à cette manière de faire quelques heures plus tôt. Tu te diriges vers une table et t’assoies, ouvrant de grands yeux devant les nombreuses incantations aussi difficiles à déchiffrer qu'à comprendre les effets. Tu visualises des tas d'occasions d'utiliser ces tout nouveaux sortilèges qui s'ouvrent à toi et à ton esprit, s'introduisant au fur et à mesure et que tu lis chacun d'eux. Tu ne vas pas pouvoir profiter longtemps de cet ouvrage. Alors tu prends ton sac et te diriges vers la bibliothécaire. "excusez-moi. est-ce qu'il serait possible que je puisse emprunter ce grimoire?" Tu lui montres l'ouvrage et attends impatiemment sa réponse. Elle ne prend même pas la peine de regarder le manuscrit et acquiesce, usant de magie pour inscrire ton emprunt dans un sorte de livret. Tu lui souris chaleureusement, avant de récupérer ton si précieux objet et de sortir de la bibliothèque un sourire lumineux sur le visage. Le couvre feu va bientôt sonner, alors tu te décides à retourner dans ta salle commune, pour profiter des nombreux secrets que cet ouvrage peut t'offrir. Tu empruntes les escaliers, la tête haute. Tu souris au peu d'élèves que tu croises, ceux avec qui tu possèdes certaines affinités, tu regardes cependant les autres avec un air froid et hautain. Tu frémis cependant, et t'arrêtes. Ce n'était qu'un murmure, un sifflement. Pourtant, il a réussi à atteindre ton oreille et faire battre ton coeur rapidement. Non pas par plaisir, mais surtout parce que tu commences peu à peu à être effrayée. Tu te retournes lentement, inspirant doucement et profondément. Tu passes une main dans tes cheveux et essaies de reprendre contenance, tentant tant bien que mal de cacher cette crainte qui t'habite. Tu n'ouvres pas la bouche pour parler. Tu n'en as pas l'occasion. Il attrape ton bras et, brusquement, te plaque contre le mur. Ton coeur bat plus vite. Il se met à rire. Tu commences à ouvrir la bouche mais sa réplique t'en empêche. T'as t-il manqué? Tes sentiments sont mitigés. Tu as commencer à prendre quelque peu goût de ces altercations, mais tu en es toujours effrayée. Beaucoup plus qu'au début. "hermès je.." Il ne te laisse pas finir ta phrase et t'entraîne avec lui. Sa main dans ta main. Il trouve une salle abandonnée et te jette dedans, avant de fermer la porte avec de nombreux sortilèges. Sortilèges que tu pourrais déjouer si tu en avais le culot. Mais à ce moment présent, tu sais que tu n'en aurais pas le courage. Il te plaque une nouvelle fois contre le mur, et ta tête heurte les pierres froides. C'est douloureux. Tu pensais que ton corps s'en serrait habituer après de nombreuses épreuves comme celle-ci, mais ce n'est pas le cas. Tu reprends ton souffle, avant de lâcher le grimoire sur le sol. Tu remarques qu'une page s'est déchirée. Tu n'as pas encore le temps de t'en préoccuper. "hermès, ce n'est pas le bon moment.." Tu sais que cette phrase va tomber dans l'oubli, qu'elle n'aura servie à rien. Tu te sens impuissante face à lui, et tes excuses sonnent comme celles d'une enfant. Son corps chaud contre le tient, tu sens grandir en lui une envie violente. Tu déglutis et tentes de ne pas perdre la face. Au fond de toi, tu aimes ce contact et cette situation. Et tu aimerais aussi qu'il presse son corps encore plus contre le tient.
code by apache.


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serpentard
Hermès Lawburry
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MessageSujet: Re: wilhelmina + let me hate you.   wilhelmina + let me hate you. Empty29/1/2013, 21:19


LET ME HATE YOU

wilhelmina + let me hate you. Tumblr_m2is80NlrL1qdz3mzo2_r2_250« hermès, je… » non, il n’y a pas de place pour la discussion. le serpentard entend le livre de willy tomber sur le sol poussiéreux de la salle, alors qu’une page se déchire. même le petit rat de bibliothèque qu’il garde précieusement entre ses bras n’en a que faire. il aime avoir l’exclusivité, il aime qu’on ne pense qu’à lui, comme à cet instant précis. « hermès, ce n’est pas le bon moment… » hermès ne l’écoute même pas, bien trop occupé à scruter les yeux bien trop innocents de la jeune gryffondor. il se fiche pas mal de ce qu’elle peut dire, il sait que même si elle pouvait partir, elle ne le ferai pas. elle aime ça autant que lui. il enferme les fins poignets de la blonde entre ses mains et les ramènent au-dessus de sa tête. il n’utilise pas sa force et d’un seul mouvement, elle pourrait se dégager et il ne doute pas qu’elle est assez intelligente pour déjouer rapidement les quelques sortilèges qu’il a posé sur la porte. il ne la sous-estime pas, mais il apprécie de savoir que même si elle le peut, elle ne bouge pas d’un centimètre. la voir se débattre inutilement, pour donner l'illusion qu'elle souhaite être partout sauf ici, le fait rire doucement. de toutes les filles qu'il connait,willy est bien celle qu'il préfère le plus. un coup, elle souffle le chaud, un coup, elle souffle le froid. un jour, oui, un jour, non. tellement indécise et pourtant, elle change rarement d'avis. hermès se colle un peu plus à elle, faisant frissonner sa peau glacée au contact de celle chaude et douce de la gryffondor. il sourit gentiment, faisant glisser ses doigts sur les avant-bras de sa captive. contrairement à d'habitude, il essaye d'être doux, car il lui est reconnaissant de bien vouloir jouer le jeu. il n'y a qu'elle qui arrive à le détendre comme elle le fait et même s'il vient de prendre son pied, il se sent déjà d'attaque à en faire profiter willy. « hm, je ne te demande pas ton avis, malefoy... » murmure-t-il, sachant pertinemment qu'il n'en a pas besoin. ses yeux, la façon qu'elle a de haleter alors qu'il se rapproche un peu plus d'elle, sa peau qui frissonne... ne sont que des indices qui prouvent qu'elle ne veut pas être ailleurs qu'ici. délaissant ses poignets, il pose la pulpe de ses doigts sur la joue de la jeune fille. son souffle s’écrase sur le visage impatient qu’il a devant lui. bien qu’il a du mal à l’avouer, hermès sait qu’elle a un certain potentiel auprès des autres garçons de son âge. il n’ignore pas comme elle le fait les regards insistants que certains lui lancent en reluquant son derrière sans aucune gêne. et cela l’amuse de savoir qu’il n’y a que lui qui a un véritable pouvoir sur elle. personne n’aura jamais autant d’influence sur willy que lui-même. « cela fait déjà une semaine que je ne t’ai plus vu, willy, tu ne veux plus me voir ? » il sort sa voix innocente et son sourire d’ange, qui dénotent complètement avec son attitude de tous les jours. alors qu’il murmure ses mots à l’oreille de la jeune fille, il connait déjà la réponse : non. ce n’est pas elle qui l’évite, mais bien lui. comme il aimerait l’entendre dire qu’elle cherche sa présence dès qu’il entre dans une pièce et qu’elle aime quand il la plaque aussi durement contre un mur de pierre. il la sent encore frissonner, la température de la pièce ayant brusquement chuté. il invoque une couverture avant de la passer sur ses épaules, enveloppant contre lui le corps fin de willy. il referme ses bras autour de sa taille, les protégeant de la fraîcheur de l’hiver. « voilà qui est mieux, malfoy… je sais que tu n’es jamais contre un peu de chaleur. » il rit, fier de sa blague vaseuse, faisant référence aux nombreuses heures que chacun avait passé dans le lit de l’autre. ou contre une porte. ou contre un mur. ou sur le sol. bref, sur toute surface place permettant d’accueillir leurs ébats… plus ou moins tendres. il n’a jamais aimé la discrétion, encore moins quand il s’agit d’afficher à toute l’école qu’il se tape une des plus belles de toutes et, pour une fois, celle-ci est consentante. willy rougit sous les allusions perverses de hermès qui ne se gêne pas d’en rajouter en posant une main baladeuse sur le postérieur ferme et rebondi de la jeune femme. il sourit. « tu ne vois pas d’inconvénients à ce que je me mette… comment dire… à l’aise ? » puis il ajoute son autre main, tout aussi viscieuse, à côté de la première. autant prendre ses aises sur les choses qui lui appartiennent.

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