Une salle poussiéreuse, des livres parsemés dans toute la salle. Oui c’était bien ma salle de classe. Je devrai faire la poussière dans ma salle mais cela n’est qu’un simple de détails. On pouvait voir des balais un peu partout ainsi que les balles célèbres du Quidditch : Le souaffle, le cognard et bien sûr le vif d’Or. Même si ses objets n’existaient pas à une certaine époque dans la nôtre, on nous vivions, il était normal de voir ses balles toutes importantes les unes que les autres pour jouer à ce très célèbre sport qui est le Quidditch. Moi je ne pouvais pas m’en passer, j’avais besoin de les avoir près de moi comme si ses balles indiquaient que je jouais encore mais non je ne jouais plus. Un simple accident, un stupide accident provoqué par une personne stupide. Et pourtant ses objets signifiaient des choses importantes pour moi. Comme la première fois où j’avais marqué un but dans le rond de but ou encore la première fois que notre jeune attrapeur avait attrapé le vif d’or. C’était des souvenirs comme ça dont j’avais besoin pour ne plus penser à cet incident.

Comme si la poussière ne suffisait la salle était aussi dans la pénombre, l’obscurité de cette salle était telle que parfois mes élèves arrivaient à trébucher sur les tables rangée en rang d’oignon. Bref tout commençait à s’installer dans ma tête, j’allais leur faire un cours sur le début du Quidditch peut-être même que leur faire une petite peur en leur posant des questions bien personnel sur leurs envies de faire du Quidditch et pourquoi ils voulaient tous être dans ce cursus-là. Personne n’allaient s’ennuyer avec moi enfin peut-être je ne savais pas comment ils allaient réagir face à mon cours. Certains pourraient se dire « Oh de l’histoire ça risque d’être ennuyant tout ça ». Mais j’essayais d’inventer des petits débats pour que chacun prenne place à ce cours. Le cours allait bientôt commencer, je regardai ma salle tout en inspectant s’il n’y avait rien d’anormal dans la salle. Une fois j’avais retrouvé des crabes de feu dans la salle qui se cachaient sous les tables. Encore les âneries de certains élèves. Mais cette fois, je ne vis rien comme si les élèves avaient été calmes. Je m’installai sur le bureau de ma table, je n’aimais pas m’asseoir sur une chaise, je trouvais ça ridicule. Quand j’étais élève, j’avais du mal à rester assis.

Les élèves commencèrent à rentrer dans la salle, je saluais bon nombre d’entre eux. Le Quidditch attirait tout de même, une bonne ribambelle de monde. J’avais ouvert ce cours à ceux qui voulaient en savoir plus sur le Quidditch, je trouvais ça dommage d’ouvrir un cours juste pour un seul cursus donc j’avais donné quelques directives à Albus Dumbeldore, en lui disant que mon cours ne serait pas une spécificité d’un cursus mais que j’ouvrais mon cours à tout le monde. Je voyais les têtes fatigués de mes élèves, les pauvres ils avaient des journées chargés et finir avec mon cours ne devaient pas les arranger des masses.

« Bonjour à tous, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Emrys Milles, votre professeur d’Histoire du Quidditch. Si nous sommes dans les cachots c’est que notre très chère Dolohov n’a pas trouvé d’autres salles pour mon cours mais passons. Aujourd’hui vu les têtes que je vois, je ne ferai pas un cours long et pompant de toute façon je vais essayer de ne pas vous perdre. Même si je vois qu’au deuxième rang nous avons déjà un élève qui n’a pas dormi cette nuit. Bon en tout cas vous aurez droit à un petit débat sur le Quidditch et puis au prochain cours, nous rentrerons enfin dans le vif du sujet. Donc aujourd’hui, je ne veux pas voir ni vos plumes ni vos encriers. Vos livres d’Histoire du Quidditch ne sont pas utile dans mon cours. De toute façon tout ce que le Ministère conseille comme bouquin sont des choix bizarres. Allons mes enfants pourquoi le Quidditch vous-plaît-il tant ? »

HRP : Rappelons qu’un débat dérive souvent et si vous voulez mettre le souk vous pouvez de toute façon Emrys s’en amusera sûrement.

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