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| REMUS ∞ my universe will never be the same. | |
| Auteur | Message |
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Remus J. LupinI swear I'm up to no good Messages : 338 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: REMUS ∞ my universe will never be the same. 19/11/2012, 22:56 | |
| remus john lupin lost and insecure, you found me NOM : Lupin, celui de mon paternel. "Loup", en latin. Ce qui est quelque peu ironique lorsque l'on connait mes petits problèmes de fourrure... PRÉNOM(S) : Remus, John. Le premier prénom est plutôt original je vous l'accorde ; il s'agit de celui de mon grand-père maternel, décédé plusieurs mois avant ma naissance. Ma mère a absolument voulu me nommer ainsi, en souvenir de l'homme qu'il était. Quant au second, John, je ne sais pas vraiment d'où il vient. Un nom passe-partout. AGE : 19 ans. Dans quelques mois, je changerai de dizaine et j'aurais vingt ans. Le temps passe à une vitesse étonnante : j'ai l'impression qu'hier encore, je faisais mes premiers pas à Poudlard. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis né en avril, le dix pour être plus précis. C'était à Fulham, la ville où je vis aujourd'hui encore. ASCENDANCE SORCIÈRE : Sang mêlé. Ma mère est une moldue qui n'avait jamais eu aucun lien avec le monde magique jusqu'à sa rencontre à mon père. Quant à ce dernier, lui-même a des ancêtres moldus. ORIGINES : Je suis né en Angleterre de deux parents anglais. Je suis donc moi-même anglais. BAGUETTE : 23.8 cm de bois taillé dans un bouleau, qui contient une plume d'hyppogriffe. Rigide et incurvée, elle est idéale pour la défense contre les forces du mal. Si j'ai bien retenu ce que m'a annoncé Ollivander lorsque je l'ai achetée. PARCOURS SCOLAIRE : Je suis actuellement en neuvième année, je ne suis donc pas prêt de quitter Poudlard ce qui est un point positif puisque j'aime cette école et ce que j'y fais. Mon avenir est incertain, il est donc rassurant de se sentir à sa place ici. Concernant mon cursus, j'ai choisi l'enseignement magique et la culture, pas uniquement parce que cela me passionnait - je passe du temps à aider mes camarades à faire leurs devoirs - mais également parce que c'est sans doute le parcours qui pourrait m'offrir le plus grand choix d'emploi plus tard. POINTS FORTS : il paraît que je suis intelligent - c'est ce qu'on me dit, mais je considère juste être extrêmement travailleur. Toujours prêt à aider autrui - essayez de dire non à James et Sirius lorsqu'ils vous demandent de l'aide pour leurs devoirs, c'est mission impossible. POINTS FAIBLES : Il est extrêmement difficile de savoir ce que je pense, je ne suis pas du genre à me confier à n'importe qui et le mystère autour de ma personne a tendance à en énerver plus d'un. Je suis aussi très influençable ; il n'est pas rare que mes amis arrivent à me convaincre de faire quelque chose - et cela signifie souvent enfreindre le règlement de l'école. Je me définirais également comme étant quelqu'un de pessimiste.PATRONUS : Un loup. Je n'ai pas été étonné la première fois que j'ai réussi à produire un patronus. Après tout, quel autre animal aurait pu apparaître pour quelqu'un comme quoi ? EPOUVANTARD : Une simple et bête pleine lune. Forcément. La lune est mon bourreau, une prison dont le seul échappatoire serait la mort. PARTICULARITÉ MAGIQUE : J'ai été transformé en loup-garou lorsque j'avais huit ans. Une bête histoire. Croyez-moi, ce n'est pas facile tous les jours.
: dance like a hairy troll CORDELIA DOLOHOV, T'EN PENSES QUOI ? T'AIMES SA COUPE DE CHEVEUX ? Dès que j'ai vu cette femme mettre un pied à Poudlard, j'ai eu un mauvais pressentiment. Un frisson, une boule au ventre. Il fallait se méfier d'elle. Garder ses distances. Et le fait de voir James revenir de retenue la main en sang me conforta dans mon idée. Je n'ai aucune confiance en cette femme. Parfois, j'ai l'impression qu'elle me traque. Parfois, lorsque son regard se pose sur moi, j'ai l'impression qu'elle connaît ma vraie nature. Et cela m'effraie. T'ES PLUTÔT QUIDDTICH OU CLUB DE LECTURE ? Lecture. Le Quidditch, c'est le truc de Sirius et James. Je ne déteste pas le Quidditch. J'aime regarder mes amis jouer, mais ça s'arrête là. Ma première leçon de vol a été catastrophique, alors me faire jouer au jeu préféré des sorciers? Très peu pour moi. Je suis bien mieux lorsque je suis entouré de livres - même si mes amis ont souvent la bonne idée de m'interrompre en pleine lecture, déclarant que j'ai mieux à faire que de me casser les yeux sur des bouquins qu'ils jugent inintéressants.
| | ÇA REPRÉSENTE QUOI LA NATURE DU SANG SORCIER, A TES YEUX ? Strictement rien. Sang pur, sang mêlé, sang moldu ; quelle importance? Les grandes familles de sorciers ne pourront pas éternellement continuer à faire perdurer la pureté de leur sang ; on a bien vu ce que ça a donné chez les Rosiers, c'est pas joli-joli... Et puis... est-ce que ma "maladie" aurait été acceptée si j'étais né sang-pur? J'en doute. J'aurais eu le droit aux mêmes réactions.
LES COURS, L'AVENIR, TU VOIS ÇA COMMENT ? L'avenir est flou, l'avenir est noir. Ma nature fait que je peinerais à trouver un travail, à me poser. Alors, je profite de l'instant présent. Je profite de Poudlard et des gens que j'y ai rencontré. Les cours que j'y suis me plaisent, c'est le plus important. J'aurais le temps de m'inquiéter pour le reste plus tard et je préfère ne pas y penser maintenant. Même si je dois avouer que le futur me fait peur.
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et sinon ? Clara's et Shannon, vous craignez. Ouais, parce que je devais pas reprendre ce compte à la base et qu'elles ont su me convaincre. Bref. Moi c'est Laetitia, 20 ans, Suisse. (a) Me voici donc avec Andrew Garfield et Remus Lupin :) Et les présentations n'ont jamais été mon fort
Dernière édition par Remus J. Lupin le 21/11/2012, 09:41, édité 2 fois |
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Remus J. LupinI swear I'm up to no good Messages : 338 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 19/11/2012, 22:57 | |
| boogie like a unicorn Ta curiosité était un vilain défaut. Ta mère te le répétait à longueur de journée et pourtant, tu ne l'écoutais jamais. Tu aurais mieux fait de rester dans la salle commune de Gryffondor avec tes amis, ce soir-là. Aller te balader dans les couloirs de l'établissement, mais quelle idée... Pourtant, tu n'avais pas prévu d'aller te promener ce soir-là. Tu devais dormir, te reposer. Mais le sommeil n'était jamais venu ; alors tu étais sorti pour te changer les idées. Mauvaise idée, mon garçon. Les couloirs de Poudlard ne sont plus sûrs la nuit et, lorsque tu avait entendu les pas de Dolohov se presser dans ta direction, tu t'étais jeté dans une pièce adjacente, prenant bien le soin de verrouiller la porte derrière toi. Une petite pièce, peu éclairée. Pourtant, tu arrivais parfaitement à discerner le coffre qui se trouver contre un mur, dans la pièce. Tu te demandais ce qu'il y avait dedans. Mais cela ne te regardait pas ; tu n'ouvrirais pas le coffre. Quoi que... Juste jeter un oeil. Personne n'en saurait rien et ça permettrait de satisfaire ta curiosité. De toute manière, tu avais le temps. Dolohov devait toujours traîner dans le coin, il fallait bien faire passer le temps en attendant qu'elle aille voir ailleurs... Une fois de plus, ta curiosité l'emportait. Tu ouvrais le coffre. Et sitôt, tu le regrettais. Le coffre était vide. Ou presque. La pleine lune en était sortie et trônait fièrement à quelques mètres du sol. Ton regard était fixé sur l'astre, ton corps était incapable de bouger. Tu était paralysé, tétanisé. La pleine lune. Ton pire cauchemar. Tu la fixais avec une telle intensité que tu en oubliais presque de respirer. C'était un épouvantard, mais tu avais complètement oublié l'existence de cette créature. Tu avais tout oublié, tu ne te souvenais plus de rien. Tu étais incapable de penser. Ton corps tout entier tremblait ; cela te rappelait des souvenirs atroces, des événements passés que tu aurais préféré ne jamais vivre. Riddikulus, pensa-t-il soudain. Il s'en souvenait. Il devait lancer ce sort sur la créature pour sortir de ce cauchemar. Sa main refusait toutefois d'aller chercher sa baguette dans la poche de sa robe. Coincé, piégé. Appeler à l'aide? Il n'était pas fou non plus; il ne voulait pas voir la hapie débarquer. Et puis il n'était même pas sûr de réussir à crier dans son état. Tu n'étais plus qu'une enveloppe vide, Remus Lupin. Ton âme t'avait quitté. Comme si tu étais mort. Tu ne pouvais rien faire, tu ne pensais à rien. Excepté à cette pleine lune et aux mauvais souvenirs qu'elle te rappelait.
Onze ans déjà. Onze ans que ce cauchemar durait. Et tu te souvenais de ce jour-là comme si c'était hier. Au fond, tu savais que jamais tu ne pourrais effacer cette journée de ta mémoire. Ton souvenir le plus marquant. Le plus traumatisant. Tu avais huit ans, à l'époque. Tes parents t'avaient proposé d'aller à la campagne pour le week-end ; tu adorais tes parents, tu adorais la campagne. Et c'était toujours un plaisir pour toi d'aller passer un week-end loin de Fulham. Cependant, tu n'étais pas le même à l'époque. Tu étais plus turbulent, moins docile. Une fois la nuit tombée, tu avais quitté le chalet où vous logiez pour aller observer les étoiles - tu étais fasciné par ces points lumineux dans le ciel. C'était la pleine lune ; ce n'était donc pas une soirée idéale pour étudier l'astronomie - d'autant plus que tu ne l'avais jamais vue si brillante - mais ce n'était pas grave. Il faisait doux et tu étais bien, couché ici. Et tout à coup, du coin de l'oeil, tu vis une ombre et un frisson te parcouru. Et l'instant d'après, un immense loup était sur toi, ses crocs plantés dans ton cou. Tu crias, tu hurlas. Tu appelais à l'aide mais ta voix s'affaiblissait peu à peu. Aujourd'hui encore, tu te souvenais de la douleur qui t'avais assommé ce soir-là, lorsque tu t'étais fait mordre. Une douleur que le temps n'avait pas réussi à estomper. Comme un poignard dans le coeur. Et sur le moment, tu étais persuadé que tu allais mourir. Et au fond, peut-être aurait-ce été préférable.
Mais tu n'étais pas mort. Sinon, tu ne serais pas là aujourd'hui, devant cet épouvantard. Tu fermais les yeux, tu essayais d'oublier la pleine lune, de penser à autre chose que ce jour, où ton existence a été brisée. Mais tu n'y arrivais pas. Tu ne pouvais pas penser à autre chose. Tu te souvenais maintenant de ton réveil, à l'hôpital Ste-Mangouste de Londres. Les murs étaient blancs, immaculés. Et en te réveillant, tu avais cru être arrivé au paradis. Ce n'était pas le cas. Ta mère était assise sur un fauteuil, dans un coin de la pièce. Assoupie. Tu voulus te lever, mais tu en étais incapable. Tu avais mal. Trop mal. Que s'était-il passé? Avais-tu rêvé? Sans doute. Tu serais mort à l'heure qu'il est si cette histoire avait été réelle. On ne survit pas à une morsure aussi profonde. Alors que tu observais ta mère, tu la vis ouvrir les yeux. « Remus ! Tu... tu vas bien ? » De l’inquiétude dans ses yeux. Elle était morte d'inquiétude. Alors tu secouas la tête malgré la douleur, affirmant que oui, ça allait. Mais ce n'était pas le cas. Tu avais mal partout, tu étais fatigué, exténué. Ta mère te crut cependant. Mais tu voyais dans ses yeux que quelque chose n'allait pas. Et lorsque le médicomage arriva, tu compris. Tu n'étais plus le même, tu étais... différent, maintenant. Tu n'avais pas rêvé. Ce loup se nommait Fenrir Greyback et il t'avais mordu juste ce qu'il fallait pour te laisser la vie sauve. Ce fut un choc pour toi lorsque tu compris ce que cela signifiait. « Donc... J'en suis un maintenant, moi aussi ? » La réponse ne vint jamais, le médicomage ne voulait pas te l'avouer. Mais ce silence était pour toi une confirmation de ta crainte. On avait fait de toi un loup-garou. Tout avait changé. Même ton père était parti. Il aurait énervé Greyback, qui se serait vengé sur toi. Alors il est parti. Sans un mot.
La vie n'avait pas été facile après cela. Heureusement, tes amis répondaient présents pour toi et ils te supportaient,t'accompagnant dorénavant à chaque pleine lune. Cette pensée réussi à t'arracher un faible sourire et tu ouvris finalement les yeux pour faire face à cette pleine lune. Tu tremblais encore, mais tu t'étais plus ou moins calmé. Comme tu avais retrouvé l'usage de tes bras, tu plongeas ta main gauche dans ta poche pour attraper ta baguette et tu la levas vers l'épouvantard d'un air hésitant : « Riddikulus ! » La pleine lune n'était plus là. À la place, il y avait un souaffle qui se dégonflait peu à peu. Tu poussas un soupir de soulagement et tu te laissas tomber sur le sol. Exténué, crevé. Cette soirée t'avait presque autant fatigué que la pleine lune. Cela faisait un moment que tu n'avais plus pensé à la soirée où ta vie avait basculé, même si la douleur était toujours bien présente. Tu passa tes doigts sur le creux de ton cou, où tu avais été mordu. Tu ne sentais rien ; les marques avaient disparues avec le temps.
Dernière édition par Remus J. Lupin le 20/11/2012, 11:20, édité 6 fois |
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Remus J. LupinI swear I'm up to no good Messages : 338 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 20/11/2012, 09:16 | |
| when you feel so tired but you can't sleep SUJET UN : Énième cérémonie de répartition. Vous regardez d'un sourire narquois les futurs disciples de l'école de sorcellerie tandis que votre voisin d'à côté prend un malin plaisir à raconter des bêtises à leur sujet. Mais...Et vous, c'était comment votre cérémonie de répartition ? Racontez nous un peu comment ça s'était passé, histoire de rire un peu aussi. « Mais regardez-le ! » Un sourire narquois s'était installé sur les lèvres de James Potter, son regard détaillait un à un chaque nouvel élève qui pénétrait dans la Grande Salle. Un silence presque religieux ; vos voix s'étaient tues lorsque les nouveaux étaient arrivés. La cérémonie de répartition était toujours un grand moment ; il s'y passait toujours quelque chose dont vous vous souveniez des années plus tard. Tu te rappelais encore de cette fille - il y a quelques années - qui avait éclaté en sanglot lorsque le Choixpeau avait décidé de l'envoyer à Poufsouffle plutôt qu'à Serpentard, où étaient allés la majorité de ses ancêtres. Ou encore ce garçon, d'origine né-moldu, qui avait hurlé d'effroi lorsque le Choixpeau s'était mis à chanter. Un sourire se dessina sur tes lèvres alors que tu te tournais vers le garçon désigné par James. Il semblait nerveux, il tremblait. Tu devinais déjà que sa répartition allait être un vrai spectacle. Tu te rappelais pourtant qu'un jour, vous aviez été à leur place. Même si c'était difficile à croire, vous n'aviez pas toujours été les Maraudeurs, ces garçons qui aiment jouer des tours à autrui. « C'est dommage qu'elle n'ait pas quelques années de plus, celle-là. » fit remarquer Sirius. « Je suis sûr qu'elle deviendra canon. » Tu levais les yeux au ciel, amusé. Sirius ne changerait jamais. Peter et James non plus, d'ailleurs. Et les choses étaient bien telles qu'elles étaient. Tout en observant un garçon un peu rond monter sur le tabouret, ta propre répartition te vint à l'esprit. Des années étaient passées depuis, mais tu te souvenais de tes premiers pas à Poudlard comme si c'était hier. ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦Le plafond était fascinant. Tu en avais lu des choses là-dessus et ton père t'en avait parlé lorsque tu étais plus jeune, mais tu était loin de t'être imaginé cela. C'était magnifique et ton regard se perdait dans les étoiles alors que tu suivais tes camarades vers le fond de ce qu'ils appelaient la Grande Salle. Une immense pièce où il y avait ce fameux plafond magique. Tout ce que tu voyais t'émerveillais. Trois ans plus tôt, tu t'étais résigné. Tu étais malade, tu étais maudit. Et jamais tu ne mettrais un pied à Poudlard. Et pourtant, tu avais reçu cette lettre. La lettre. Celle qui t'annonçait ta rentrée à Poudlard. Surpris, heureux. Mais aujourd'hui, tu avais la boule au ventre. Avais-tu vraiment ta place, ici ? Lorsque vous vous arrêtiez devant la table des professeurs, tu jetais un regard autour de toi. Une petite rousse jacassais, émerveillée, en pleine conversation avec un garçon aux cheveux mi-longs - gras dirais-tu quelques années plus tard. Un garçon un peu perdu qui jetais des regards inquiets tout autour de lui. Sa présence te rassurait - tu avais eu l'impression d'être le seul à être nerveux, il fallait croire que ce n'était pas le cas. Les noms commencèrent à être appelés. La première s'avança et manqua de trébucher en montant sur l'estrade, ce qui déclencha un fou rire chez deux garçon - un fou rire que les regards noirs lancés par les professeurs ne suffirent pas à calmer. Serdaigle. Et un tonnerre d'applaudissement s'éleva de l'une des quatre longues tablées lorsqu'elle se leva pour aller les rejoindre, tout en fusillant du regard ceux qui s'étaient moqués. Bientôt, ce fut au tour de l'un des deux coupables de prendre place sur le petit tabouret. Le verdict fut un peu plus long à venir que les précédents mais le choix du Choixpeau se porta sur Gryffondor. Et c'est avec un grand sourire qu'il se dirigea vers les siens. Les élèves se suivent et bientôt, c'est à ton tour. Avant de t'approcher de l'estrade, tu tiras tes manches sur tes mains pour camoufler les quelques cicatrices que tu avais sur ton corps - regrettant de ne pas pouvoir cacher cette marque qui apparaissait sur ton front - et puis tu te lanças. Un professeur à l'air sévère déposait le Choixpeau sur ta tête, lorsqu'une voix s'invita dans ton esprit. Intéressant, très intéressant... Tu possèdes de nombreuses qualités qui plairaient à Rowena Serdaigle. Serdaigle. Ce ne serait pas un mauvais choix. Tu n'étais pas sûr d'avoir les qualités requises pour y entrer, mais pourquoi pas après tout... Mais je vois autre chose. De la bravoure, de la force. ...Vraiment? Tu ne voyais pas du tout en quoi sa description te correspondait. M'enfin cela faisait plusieurs siècles qu'il faisait ce job, peut-être commençait-il à devenir sénile. GRYFFONDOR ! Cette fois, la voix avait résonné dans la Grande Salle. Lorsqu'on retiras le Choixpeau du sommet de ton crâne, tu te levais, les jambes tremblantes, pour te diriger vers la table des rouge et or. [...] Ton regard était rivé sur ton assiette alors que tu mangeais tranquillement. Autour de toi, les conversations étaient animées et pourtant, tu préférais rester dans ton coin. Tu ne voulais pas te mêler aux autres. Tu ne pourrais pas être toi-même parce que tu avais ce secret qu'il fallait à tout prix protéger. Ta mère te l'avait bien dit. Tu ne devais pas parler de toi à tes camarades. Parce que tu étais un loup et que s'ils venaient à l'apprendre, tu serais expulsé. À côté de toi, il y avait celui qui semblait aussi nerveux que toi, il y avait ces deux garçons qui avaient éclaté de rire lorsque la fillette était tombée. Tous trois avaient une discussion animée. Et lorsque l'un d'entre eux se tourna vers toi avec un large sourire, tu détournas les yeux. Tu étais encore loin de t'imaginer qu'à la fin de l'année, vous seriez inséparables. |
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Rita SkeeterI swear I'm up to no good Messages : 150 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 20/11/2012, 15:47 | |
| Y é soui cité sour la fiche dé misterr Remous. (dans les remerciements en plus, je suis bien ) |
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Lily EvansI swear I'm up to no good Messages : 107 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 20/11/2012, 17:11 | |
| Ah ben bravo ! Quelle force morale Re-bienvenu en Remus hein |
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Sirius BlackI swear I'm up to no good Messages : 364 À Poudlard depuis le : 08/11/2012
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 20/11/2012, 17:27 | |
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Remus J. LupinI swear I'm up to no good Messages : 338 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. 20/11/2012, 19:41 | |
| Non mais ça va les floodeurs. J'vous hais. Merci. maismaficheestnulle. |
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Contenu sponsoriséI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: REMUS ∞ my universe will never be the same. | |
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| | | | REMUS ∞ my universe will never be the same. | |
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