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 do you want to touch my tralala ∞ theodore.

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serdaigle
Billie Eynsforth
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MessageSujet: do you want to touch my tralala ∞ theodore.   do you want to touch my tralala ∞ theodore. Empty12/2/2013, 19:30


DON'T BE SO SHY DARLING.

do you want to touch my tralala ∞ theodore. Tumblr_mgj2l3xgft1qlphjho8_250SPLAAAAASH. la plupart des élèves présents dans le hall sursautèrent en entendant l’eau tomber sur le sol parfaitement ciré. il était l’heure du déjeuner et billie en était sûre, dans moins de dix minutes, toute la grande salle serait en effervescence devant la nouvelle blague que l’on avait fait à la paria, celle que l’on n’aime pas sans savoir pourquoi. la jeune serdaigle pouvait même entendre les rires s’élever parmi ceux qui avaient assisté à la scène au premier rang. il ne lui restait plus que deux solutions : rester ici pendant que ses camarades se foutaient ouvertement de sa gueule, ou courir vers les escaliers et grimper jusqu’à se réfugier dans un endroit où elle pourrait être seule et pleurer toutes les larmes de son corps, une nouvelle fois. puis, alors que la foule commençait doucement à s’agiter, alors que ceux du fond cherchaient à se rapprocher d’encore plus près pour apprécier la vue d’une pauvre fille complètement trempée en plein milieu du hall bondé, billie releva brusquement la tête, décollant ses cheveux mouillés de ses joues rouges, jetant un regard timide tout autour d’elle. elle était passée de pâle, à très pâle, puis écarlate en seulement quelques minutes. elle n’osa pas lever les yeux en l’air pour voir d’où sortait cette vague d’eau qui l’avait frigorifié, la faisant frissonner. elle devait bien s’y attendre, de toute façon. Cela faisait plus d’une semaine que personne ne lui avait rien fait. elle avait maintenant son explication : les autres l’avaient laissé tranquille pour mieux l’humilier par la suite. ce n’était pas surprenant, mais billie avait vraiment cru qu’ils en avaient tous fini avec ces conneries. visiblement, elle n’aurait pas dû et les rires gras de ceux qui s’amusaient de la situation résonnaient dans sa tête. la jeune serdaigle essuya ses joues avec sa manche, ce qui fut plus qu’inutile quand elle sentit que son visage était encore plus mouillé qu’auparavant. ses cheveux bouclés pendaient lamentablement sur son crâne. voilà, c’était le mot : lamentable. elle ressemblait à une toxico sdf qui avait élu domicile en plein milieu du hall de poudlard. charmant. ne souhaitant plus laisser ces abrutis de camarades se moquer ouvertement d’elle, billie fit brusquement demi-tour, partant en courant vers les escaliers. elle grimpa des dizaines de marches, sans s’arrêter, avant de s’arrêter net au second étage. de là où elle était, elle ne percevait plus les bruits du rez-de-chaussée et à cette heure ci, personne ne trainait dans les couloirs. elle était enfin seule. le souffle court, elle se dirigea lentement vers les toilettes des filles, préférant se cacher quelques minutes afin d’éviter les pauvres cons qui auraient l’audace de venir lui chercher des noises, même après cette humiliation. heureusement pour billie, elles étaient désertes et par chance, mimi geignarde ne les avaient pas encore inondé. épuisée par sa course, uniquement vêtue de son uniforme trempé, la jeune serdaigle s’appuya sur le rebord d’un lavabo, le seul encore en bon état. elle sentait son pouls pulsait rapidement dans sa carotide alors qu’elle se laissait le temps de reprendre son souffle. les joues rouges, autant à cause de cette soudaine activité que de la gêne éprouvée, elle ne se reconnut pas tout de suite dans le miroir brisé. certes, elle ne prenait pas vraiment soin de son apparence, mais elle faisait toujours en sorte d’être présentable, même si certains aimaient lui rappeler qu’elle était à vomir. là, ses cheveux étaient emmêlés et désordonnés, son teint était blafard et ses vêtements, en plus d’être mouillés, étaient froissés. billie passa ses mains sur son visage pâle avant de l’asperger d’eau chaude. celle qu’elle avait reçu sur le dos était glacée et elle tentait tant bien que mal de se réchauffer. et pour ne pas en rajouter, elle n’avait pas sa baguette. depuis que dolohov avait interdit de pratiquer la magie en dehors des salles de cours, elle la prenait le moins possible, préférant la garder bien cachée dans son dortoir plutôt que de risquer de se la faire voler, une nouvelle fois. comme elle aurait aimé l’avoir sur elle à cet instant précis, elle aurait pu, d’un seul mouvement de poignet, faire sécher ses vêtements et être au sec. relevant la tête vers le miroir, elle comprit enfin. ces rires gras, ces remarques acerbes, ces gloussements… bien sûr qu’ils avaient tous apprécié que billie reçoive de l’eau glacée sur elle. sa chemise blanche était devenue transparente, laissant apercevoir son soutien-gorge rouge, et sa jupe noire collait à ses formes. ainsi, elle ressemblait à une vieille prostituée. « ma fille, je sais que tu te fiches totalement de ton apparence, mais il est temps de remettre un peu d’ordre dans tout ça. » oui, elle parlait toute seule. c’était le seul moyen qu’elle avait trouvé pour ne pas rester dans un silence pesant à longueur de journée. billie attacha ses cheveux dans un chignon flou, après les avoir essoré, dégageant sa nuque gracile. elle remit ses vêtements en place, désespérant de ne pas pouvoir les faire sécher, mais c’était toujours mieux que rien. elle ne pouvait malheureusement rien contre la transparence de sa chemise, mais le résultat était plus satisfaisant qu’avant. alors qu’elle essayait tant bien que mal de rendre invisible ses dessous rouges, billie entendit la porte d’entrée grincer. elle se retourna brusquement, alors qu’elle ne s’attendait vraiment pas à voir débarquer theodore diggory dans les toilettes des filles.



Dernière édition par Billie Eynsforth le 24/2/2013, 16:35, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: do you want to touch my tralala ∞ theodore.   do you want to touch my tralala ∞ theodore. Empty13/2/2013, 20:59

❝ do you want to touch my tralala ❞
Tu avais passé deux heures à la bibliothèque dans le coin que tu avais fait tient et où tu pouvais travailler tranquillement. Tu avais désormais terminé tes devoirs et tu avais avancé sur tes cours de créatures magiques. Tu détestais le fait que Poudlard ne puisse pas avoir quelques dragons parce que tu savais déjà que tu passerais ton temps avec eux. Tu allais déjà voir régulièrement les hippogriffes du professeur de soin aux créatures magiques. Sentant ton paquet de cigarette dans ta poche, tu te dis que tu avais encore le temps d’aller en fumer une à l’extérieur avant de rejoindre tes amis pour manger un morceau avant de te lancer dans une après-midi remplie de cours. Tu détestais déjà cette demi journée rien que d’y penser. Enfin, ce n’était qu’un détail. Ramassant tes affaires, tu les glissais dans ton sac et mettait ta baguette dans ta robe de sorcier pour ne pas que Dolohov puisse la voir parce que tu n’étais pas certain que tu pouvais prévoir une nouvelle manière d’aller la récupérer comme tu l’avais fait la dernière fois. Alors que tu descendais les escaliers pour aller dans le Hall, tu vis une foule d’élèves en cercle autour de quelque chose ou plutôt de quelqu’un avec un peu de chance. Comme tout le monde, tu t’approchais et en jouant des coudes, tu vis alors devant tes yeux la petite Billie toute trempée de la tête aux pieds en train d’être humiliée comme personne n’aimait l’être. Mais n’avait-elle pas l’habitude ? C’était toujours elle la cible, peu importait la maison, c’était la cible préférée des gens cherchant à humilier les autres mais toi ce n’était pas ton genre. Tu n’en venais là que quand tu vouais une haine complète à la personne et en l’occurrence ce n’était pas le cas avec Billie, tu la connaissais à peine comme à peu près toutes les personnes dans ce hall certainement. Elle ne parlait presque jamais, elle était comme une ombre, elle était dans le paysage et pourtant personne ne la connaissait vraiment. Tu connaissais son prénom par hasard et certainement que pendant ses premières années au château, elle avait eu la malchance de se retrouver être la cible de quelques farceurs et que depuis elle ne pouvait plus toucher terre. Bien entendu, elle finit par bouger et tout le monde la laissa passer. Tu ne la connaissais pas mais d’après ce que tu avais entendus dans les couloirs, c’était une véritable coincée, timide en plus de ça et prude, tout ce que tu détestais chez une fille on est d’accord parce que cela voulait dire qu’elle venait avec des principes et pour coucher avec une fille qui a des principes, ça prend des mois ! Non, trop de travail pour si peu de plaisir il fallait l’avouer. Mais bon, tu voulais savoir si c’était vraiment la réalité, avec les rumeurs que l’on entend dans les couloirs, il ne faut pas tout croire. Se faufilant à travers la foule, tu décidais alors de la suivre sans qu’elle ne fasse attention. Elle se mit ensuite à courir et tu finis par la perdre devant les toilettes des filles. Bien sûr elle était rentrée … Cependant, tu te posais quelques minutes la question de savoir si tu allais la suivre à l’intérieur ou non parce que tu doutais que si Dolohov te trouvait à l’intérieur elle soit très contente. Déjà qu’elle détestait qu’une fille et un garçon soient trop proches … Enfin, ce n’était pas non plus comme si cela t’empêchait de coucher avec une fille le plus souvent possible. Des filles qui n’avaient pas froid aux yeux, il y en avait plus d’une à Poudlard. Ne voyant personne dans le couloir, tu finis par décider d’entrer et tu fermais le verrou de la porte derrière toi, autant ne pas risquer que des élèves rentrent et aillent voir Dolohov … Quand tu te retournais, tu te retrouvais devant une Billie toujours trempée et chose que tu n’avais pas remarqué dans l’entrée, ses sous-vêtements ressortaient à travers sa chemise et tout ce que tu pus penser c’est qu’elle était drôlement bien fichue. Un vrai quatre heures à vrai dire mais tu préférais ne pas te faire d’idée, si les rumeurs étaient vraies, ce serait une perte de temps. Un sourire en coin sur les lèvres, tu sortis ta baguette en disant : « Alors Eynsforth, on a oublié le sortilège pour se sécher maintenant ? » Sans prononcer aucune formule à haute voix, tu fis bouger ta baguette et rapidement les vêtements de la demoiselle furent complètement secs et elle devait avoir un petit peu plus chaud. « Mieux non ? » Tu rangeais ta baguette et t’approchais tout près de la demoiselle avant de lui demander : « Pourquoi une si jolie belle demoiselle se prend-elle une bombe à eau sur la tête ? Une raison particulière ? »
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serdaigle
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MessageSujet: Re: do you want to touch my tralala ∞ theodore.   do you want to touch my tralala ∞ theodore. Empty24/2/2013, 14:12


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do you want to touch my tralala ∞ theodore. Tumblr_mgj2l3xgft1qlphjho8_250l'occasion était trop bonne, bien entendu. s'il n'avait pas pu se moquer d'elle pendant qu'elle se trouvait encore dans la grande salle, il avait fallu qu'il suive billie jusque dans les toilettes des filles, alors qu'il n'en avait pas le droit, pour continuer à remuer le couteau dans la plaie. theodore, gryffondor de son état, n'était en fait pas si différent de ceux qui s'amusaient depuis des années à lui rendre la vie dure et qui appartenaient, généralement, à serpentard. comme quoi, la maison ne faisait pas tout. et si on résumait la situation, la petite serdaigle qu'elle était se retrouvait coincée dans des w.-c. abandonnés où personne ne mettait jamais les pieds du fait de la présence indésirable de mimi geignarde, sans baguette magique et avec un garçon qui n'hésiterait surement pas à profiter de la situation. elle était trempée, humiliée, rouge de gêne et surtout, dans une impasse si theo n'était pas décidé à la laisser partir. ce qui n'allait surement pas arriver de si tôt, pensa-t-elle. à cette heure-ci, personne ne devait traîner dans les couloirs de l'école, la grande salle devait être remplie et les élèves trop occupés à remplir leur estomac. elle était donc soumise à la bonne volonté (ou non) du gryffondor et ce n’était pas pour la rassurer. « alors eynsforth, on a oublié le sortilège pour se sécher maintenant ? » et il osait même se foutre d'elle. s'il était déjà arrivé à billie d'oublier une formule, elle ne s'en souvenait pas. ce jour n'était surement pas encore arrivé et elle en était plutôt fière, alors elle ne permettait pas à cet idiot de la rabaisser à ce propos. pourtant, ce qu'elle pensa à cet instant précis resta bien enfouie à l'intérieur de sa tête et tout ce qu'elle osa dire, ce fut : « je... je n'ai pas ma baguette. » stupide. oui, billie était stupide. tout ce qu'elle trouvait à répliquer à un type dans le genre de theodore diggory, c'était qu'elle ne possédait rien pour se défendre si jamais l’idée lui venait de la maltraiter un peu. elle avait l’impression d’avoir déjà vécu cette situation des centaines de fois, mais ni l’habitude, ni l’envie de pouvoir riposter ne l’avaient poussé à avoir toujours sa baguette sur elle. billie avait trop peur de se faire pincer par dolohov, qui avait interdit l’usage de la magie en dehors des salles de classe, qu’elle avait décidé de ne plus la prendre quand elle n’en avait pas besoin en cours. ce jour-là, elle n’avait que potions et divination, deux matières qui ne nécessitaient pas l’utilisation d’une baguette. bien malgré elle, billie n’était toujours pas capable de faire de la magie sans ce précieux objet, ce qui aurait été bien utile dans ce genre de situation. face à elle, cependant, theodore n’eut qu’à faire un simple mouvement du poignet pour que la jeune serdaigle se retrouve complètement sèche. ma fille, tu as intérêt à travailler sur ce point, un gryffondor arrogant te surpasse et ce n’est pas bon, pas bon du tout. « mieux non ? » c’était toujours mieux que rien, en effet. seulement, elle ne l’aurait avoué pour rien au monde et billie se contenta d’hocher la tête en guise de remerciements. le moment n’était guère propice à ce genre d’effusions et elle n’était pas sûre que theo l’ait suivi pour l’entendre faire des politesses. « pourquoi une si jolie belle demoiselle se prend-elle une bombe à eau sur la tête ? une raison particulière ? » une bombe d'eau glacée, s’il-vous-plaît. ce n’était qu’un minuscule et infime détail, bien entendu. elle sentit ses joues rougir au compliment qui, à coup sûr, n’en était pas vraiment un. personne ne lui en faisait jamais, alors pourquoi lui le ferait ? comme une idiote, elle tenta de se persuader que le gryffondor avait abusé de la bierraubeurre. billie en était rendue à penser que cette question n’était en fait qu’une simple question rhétorique. tout le monde savait les raisons d’une telle humiliation et tout le monde y participait. elle pouvait compter sur les doigts d’une seule main les personnes prêtes à la défendre et à la soutenir. bien peu de gens, en résumé, comparé aux nombres d’élèves qui eux, s’amusaient d’elle. deux ou trois personnes ne pouvaient résister face aux quatre maisons réunies et même les professeurs semblaient impuissants (ou indifférents, au choix). cherchant un peu d’assurance qu’elle savait parfaitement inexistante au fond d’elle, elle répliqua : « j’aurais pensé que tu serais le premier au courant. les raisons de cet acharnement ? il n’y en a aucune. je m’y suis faite. » celui ou celle qui avait fait ça ne devait même pas savoir pourquoi il avait lancé cette bombe à eau, alors comment pouvait-elle le savoir elle-même ? à force, avec l’habitude, plus rien ne la surprenait et l’idiotie de ses camarades ne l’étonnait même plus. « tu veux en rajouter une couche, c’est ça ? vas-y, je t’en pris, plus rien ne me surprend. » alors qu’elle faisait face à theo, billie se retourna prestent, ne montrant plus que son dos. les bras croisés sur sa poitrine, et malgré sa dernière question, elle n’attendait qu’une chose : qu’il parte et la laisse tranquille.

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