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| Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'avais de l'eau, je la boirais. + kasia & matthew | |
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Matthew O'RyanI swear I'm up to no good Messages : 225 À Poudlard depuis le : 07/01/2013
| Sujet: Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'avais de l'eau, je la boirais. + kasia & matthew 28/1/2013, 20:55 | |
| kasia & matthew - Hate is a strong word but I really, really, really don't like you Un défi. Voilà ce que Matthew cherchait. Les cours qu’ils donnaient durant les 7 premières années étaient toujours à peu près identique, dans le sens où son but était de faire découvrir progressivement les bases de la métamorphose. Domaine vaste. Mais, dès la 8ème année, il pouvait faire ce qu’il voulait. Enfin ce qu’il voulait, c’est un bien grand mot. Disons que son programme était plus libre malgré la nécessité d’obtenir l’approbation de Dolohov (il avait donc établi son programme durant l’été & avait demandé l’approbation avant la rentrée) seulement, s’il avait une soudaine envie de changer un cours de son programme, il le faisait sans vraiment réfléchir à ce qu’elle pouvait dire. De toute façon, il n’apprenait pas à pervertir ses élèves & ne voyaient pas ce qu’elle pouvait lui reprocher dans ce cas-là Et récemment il avait eu une idée qu’il trouvait lui, personnellement, très intéressante. A la base l’ancien auror avait imaginé un scénario farfelu pour ses élèves du cursus sécurité magique, ceux de 10ème année. C’était quelque chose d’un peu dingue & compliqué à réaliser mais, cela aurait pu donner l’un des meilleurs exercices pratique qu’il a jamais vu. Pour tout dire, c’était un exercice qu’on lui avait fait faire durant sa première année au ministère de la magie. Il suffisait de récupérer une grande salle & d’en faire une sorte de salle de combat, avec des murs se déplaçant, quelques créatures pas bien dangereuses étant donné qu’il s’agissait de 10ème année et qu’il ne voulait pas non plus les envoyer à l’infirmerie, puis mettre 3 ou 4 sorciers, soit seul soit en équipe de deux, le principe étant d’utiliser uniquement des sortilèges de métamorphose pour aller d’un point A à un point B.
L’idée était géniale selon l’ancien auror, il trouvait que c’était un bon moyen de voir les défauts des différents sorciers & surtout de connaître leur réaction dans des situations inhabituelles. Malheureusement, lorsqu’il avait présenté l’idée à Dolohov, elle avait failli s’étouffer avec son thé, puis avait copieusement traité O’Ryan de divers non qu’il n’avait pas compris parfaitement étant donné qu’elle était rouge & ne reprenait pas sa respiration. « Je crois que ça veut dire non … » avait-il dit sur le coup avec un petit rire, avant de s’excuser & de s’éclipser. Apparemment, il n’était pas là pour encourager les élèves à se battre mais, leur apprendre des notions essentielles. Or, c’était des notions essentielles selon lui, si ses élèves n’étaient pas capables de se débrouiller une fois en mission, ils seraient foutus en moins de temps qu’il en faut pour réparer un os. Matthew avait donc dû revoir ses plans & simplement mettre les élèves en situation mentalement & de leur demander comment ils procéderaient ainsi que les 3 sorts (maximum) de métamorphose qu’ils utiliseraient.
Se levant difficilement le samedi au alentour de onze heure, il lui fallut quelques minutes pour se réveiller parfaitement & s’habiller confortablement, au lieu de son habituel jean/chemise/veston/cravate, il portait un jean/tee-shirt/grosse veste pour pouvoir supporter les courants d’air du château, bref il était habillé avec les premiers habits qu’il avait trouvé. Passant par les cuisines pour grignoter deux ou trois trucs, il était suivi par la cinquantaine de parchemin qui faisait léviter derrière lui, devoirs qu’il devait corriger. Sans grand étonnement, il n’y avait pas grand monde dans la bibliothèque, la plupart des élèves profitaient du début du week-end au lieu de travailler, saluant rapidement Bonnie, il continua son chemin jusqu’à une table où il savait qu’il serait tranquille pour les prochaines heures. Certaines personnes trouvaient bizarre de voir le jeune professeur venir travailler dans la bibliothèque, après tout il avait son bureau ainsi que la salle des professeurs pour ça, en réalité il avait toujours aimé travailler à la bibliothèque & huit ans après la fin de ses études à Poudlard, cela n’avait pas changé. Et puis comme ça, il était à côte de tous les bouquins traitant de la métamorphose, il pouvait les récupérer rapidement s’il en avait besoin. Matthew était plongé dans ses corrections, évitant de donner un Troll, il notait parfois certaines des réponses parfaitement stupides ou totalement loufoques que pouvait sortir ses élèves. C’était un cahier qu’il gardait précieusement, certaines réponses étaient juste … tellement drôles qu’il ne voulait pas les oublier. Et encore aujourd’hui certains de ses élèves avaient fait preuve d’une imagination sans faille.
Alors qu’il avait pratiquement fini de corriger l’une des dernières copies, il entendit quelqu’un arriver, supposant qu’il s’agissait de Bonnie l’informant que s’il voulait manger dans la grande salle, c’était maintenant, il continua d’écrire sans regarder son interlocutrice. Remettant juste ses lunettes en place. « Je sais, je sais. Mais, je récupérerais quelque chose tout à l’heure dans les cuisines. » Logiquement il n’avait pas spécialement le droit même si ce n’était pas interdit, c’était plus qu’il était mal vu de déranger les elfes de maisons alors qu’ils s’occupaient déjà du repas du soir. C’était aussi qu’il n’avait pas vu l’heure tourner & qu’il n’avait imaginé qu’il puisse déjà être 16h. « En attendant, il faudra que je te fasse lire certaines réponses qu’on m’a rendu. » Dit-il en désignant le cahier à côté de lui.
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O. Kasia CromwellI swear I'm up to no good Messages : 32 À Poudlard depuis le : 13/01/2013
| Sujet: Re: Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'avais de l'eau, je la boirais. + kasia & matthew 30/1/2013, 22:33 | |
| Si j'avais vraiment une tumeur je la nommerais Matthew. Matthew, la petite écorchure qu'on a sur le palais et qui ne peut cicatriser que si on cesse de la lécher. Mais on ne peut pas. Je le devinai toujours passant la porte. Il s'avançait lentement dans la neige, jusqu'à attirer mon attention. Jusque là, je ne bouge pas, je ne bronche pas. Chaque geste m'est comme facturé une fortune. Peut-être un organe pour chacun. Alors j'attends. Et je ne peux m'empêcher de m'agiter à son approche. C'est une griffure, une brûlure, une égratignure, jusqu'à ce que je finisse écorchée comme un vulgaire morceau de viande laissé face à un trio de vautours affamés. Ma peau s'effondre en lambeaux, tout comme lui s'évapore dans l'air au moindre contact de nos peaux. C'est comme s'il était allergique à moi, comme si j'étais la peste à son corps.
Lentement, je rouvre mes yeux et bâille. Une nouvelle journée commence, et plutôt mal avec les nombres rouges de mon réveil. Je frappe dessus une fois, puis deux, et finis par le débrancher pour ne plus l'entendre piailler. J'oublierai volontiers de le rebrancher ce soir. D'un mouvement peu certain, je me lance dans une exploration du sol, du bout des doigts. J'y trouve des bouquins, intéressants bien que très encombrants, de la poussière, une paire de lunettes, encore un peu de poussière et ma baguette, au fond. Tout ça est étrange et commence à m'inquiéter ; je n'ai jamais en trente ans supporté de laisser la poussière s'installer chez moi, et la voilà qui prend possession des lieux. Ma baguette, d'habitude laissée à portée de main, semblait s'être perdue au fin fond de la moquette. Je la frottais un instant contre le matelas du lit pour en dégager toute la poussière et soupirai. Je crois bien avoir du faire et refaire une dizaine de fois le même mouvement maladroit avant de réussir à allumer la lumière depuis le lit. Eh bien, voilà qui donne envie. Vous me direz, je n'ai pas à me plaindre de mes journées en tant que prof. La plupart des élèves, voire même du personnel ne me connaît que vaguement. Je suis un peu la sert-à-rien, avec une matière proposée en option dans le cursus de justice magique et pas ailleurs. On ne peut pas dire que je croule sous le travail. Pourtant, un emploi qui ne me laisse pas le temps de vivre ne m'aurait pas déplu. Il faut dire qu'à part mon ancien fiancé – l'évaporé à mon contact, qui ne me contacte d'ailleurs plus depuis un an passé – je n'ai pas des masses de contacts. Je dois avoir quelques connaissances ça et là, mais aucune personne, je pense, à qui me confier ou avec qui m'amuser. Triste vie que celle d'adulte.
Ça en devient difficile à croire même pour moi, et pourtant, j'étais quelqu'un de populaire pendant mes études à Poudlard. J'étais Poufsouffle, mais avec une grande gueule, et je ne prenais jamais parti pour ma maison en particulier, plutôt pour qui je pensais juste. J'étais une sorte de nomade, qui allait et venait. Un jour du côté des verts, le lendemain des bleu. Rien que le fait que l'on ait voulu me ranger dans une case ne me plaisait pas. J'étais quelqu'un de calme d'ordinaire, qui pouvait vite s'énerver mais intériorisait. Au mieux, j'assassinais par les mots. Je les ai toujours trouvés plus efficaces que n'importe quel sort. Et avec le temps, je me suis plus ou moins calmé. Je ne m'énerve quasiment plus. Je grince des dents tout au plus. Autre point changeant, je suis devenue exigeante ; vis-à-vis de moi-même et des autres. Je ne sortirai plus avec les cheveux en pagaille, ou des vêtements dont on doute de la propreté. Sans passer pour la mégère de service avec ses lunettes, son tailleur et son chignon haut, je préfère avoir l'air présentable en toutes occasions. Ça n'est qu'une question de bonnes manières, c'est impoli d'avoir à faire à quelqu'un qui a l'air de sortir du lit. Pourtant, j'avoue avoir un faible pour ce genre de personnes. Mal coiffées, avec des cernes jusqu'au menton, une barbe de quelques jours et des chaussures différentes d'un pied à l'autre. J'imagine que je cherche en l'Autre tout ce que je ne suis pas.
Après une semaine complète à faire le même rêve – cauchemar, chimère, appelez ça comme vous le voulez – j'estime avoir le droit de me lâcher un peu. J'envoyais valser ma longue robe noire, que je trouvais trop … trop. Je sortais un jean bleu pâle – celui qui me fait des jolies fesses, tant qu'à faire – et un chemisier ample couleur anis. Je faisais juste attention à ce que personne ne puisse avoir de vue sur ma poitrine si j'avais à me pencher – quoi que ça puisse être très utile, mais il sera toujours temps de faire sauter un bouton ou deux – et enfilais une paire de chaussures. À talons, toujours – vous sentez la complexée par sa taille là ?
Sans surprise, j'allais directement à la bibliothèque. L'endroit est agréable et sent les vieux livres. On y est tranquille, pour lire, rêvasser ou même écrire ; c'est sans aucun doute, à mon sens, l'endroit le plus indispensable à l'école. Je ne pourrai pas y rester tout le temps sans ça, je crois. Seulement, c'est sans surprise aussi que d'autres professeurs – un, tout du moins – y était déjà. Depuis combien de temps, allez savoir, de toute façon ce mec est à moitié fou. Il pourrait bien y être depuis deux mois sans s'en être rendu compte – c'est un né moldu, allons, il ne faut pas trop lui en demander le pauvre garçon. J'avançais dans les allées, parcourant les livres du regard. Rien de bien intéressant. J'avais dans l'idée d'emprunter pour quelques heures les Contes de Beedle le Barde. Comme un souvenir du passé, un petit signe de main amical – ou dans la gueule – à la moi qui dévorais ces contes-là, petite. Je fouillais de fond en comble le rayon où ils étaient censés se trouver, allant jusqu'à sortir mes lunettes – je les prends toujours, au cas où – pour regarder sur les étagères les plus hautes. Rien. Mais penser que j'allais abandonner serait mal me connaître ; je suis bornée comme pas deux. Bien plus bornée qu'une choucroute est vomitive – c'est vous dire. Je réfléchissais au fil des allées à où il pouvait bien être, et laissais mes pensées chavirer et danser entre les gros et vieux livres. J'atterrissais finalement à quelques mètres de O'Ryan, la créature que je voulais le moins approcher du monde tout entier. Plus que m'énerver, il me dégoûte. Il est si.. moldu. Je m'efforçais, en m'approchant, de penser tous les trois pas à quelques chose de positif. 1, 2, 3. Ce soir, je dors. 4, 5, 6. Et je dégage toute cette poussière sous le lit. 7, 8, 9. Eh, il a de beaux cheveux. Je me surprenais à m'arrêter net derrière lui, comme si j'allais m'exclamer Eh O'Ryan, 'faut qu'on parle mon gars. et finir par lui casser la gueule, comme dans les mauvais films américains. À la place, je soupirais. Putain, et en plus il ouvrait sa bouche. « Je sais, je sais. Mais, je récupérerais quelque chose tout à l’heure dans les cuisines. » Tu peux bien crever de faim que je m'en tamponne l'oreille avec une babouche. « En attendant, il faudra que je te fasse lire certaines réponses qu’on m’a rendu. » Tu parles, je m'en fous pas mal de tes morceaux de papier, je veux juste le livre, là. Je me penchais derrière lui, passant ma tête juste à côté de la sienne, et murmurais à son oreille un banal « Bouh. » Il était évident qu'il n'avait pas prit la peine de regarder qui se trouvait en réalité derrière lui. Ah, Matthew, si naïf, à ton âge. « Tu sais que je pourrais te dénoncer pour voler dans les cuisines, O'Ryan ? C'est pas très sérieux, tout ça, vraiment pas. » Je lâchais un petit rire avant de me redresser, et attrapais la copie au sommet de la pile. J'y jetais un rapide coup d'oeil avant de la reposer sur la table en bois, dans un grand bruit que je n'attendais pas. J'enlevais immédiatement ma main et le regardais, un sourcil haussé. « Par ailleurs, se moquer de ses élèves et de leurs copies n'est pas un acte très juste non plus, tu sais ? Je doute que ce soit très apprécié. Même si, soyons d'accord, nous le faisons tous. » Je m'étirais doucement et attrapais le livre au centre de la table du bout des doigts, le ramenant à moi. « Alors, professeur, quel était leur dernier devoir ? Est-ce que tu les as fais se métamorphoser en rat, ou bien en ornithorynque ? » |
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Matthew O'RyanI swear I'm up to no good Messages : 225 À Poudlard depuis le : 07/01/2013
| Sujet: Re: Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'avais de l'eau, je la boirais. + kasia & matthew 31/1/2013, 18:06 | |
| kasia & matthew - Hate is a strong word but I really, really, really don't like you « Bouh » A ce simple son, Matthew su immédiatement que ce n’était pas Bonnie qui se trouvait derrière lui. Il aurait pu reconnaître la voix de la bibliothécaire parmi des dizaines, non des centaines d’autres. Déjà fatiguée par la conversation qui allait avoir lieu, le jeune professeur lança un regard à l’attention de ces deux dernières copies qu’il n’allait décidément pas corriger immédiatement. Il était partagé entre l’idée de partir sans dire un mot à son interlocutrice & celui de rester & de l’ignorer totalement. La deuxième option semblait tellement mieux, elle finirait bien par partir, tout du moins il l’espérait, car s’il y avait bien une personne qu’il n’appréciait pas au château, c’était Kasia Cromwell. Elle était tout simplement détestable. Au bien sûr, la première fois qu’il l’avait vu, il était tombé sous son charme, naïf qu’il était, il l’avait abordé & avait essayé de la connaître (et plus si affinité). On peut dire que sa chute avait été brutal, le silence de la jeune femme était glacial, son désintérêt total pour la personne qui se trouvait à côté d’elle, et qui lui adressait la parole, était vexant. Les apparences sont trompeuses. Cette délicieuse créature au premier regard n’était rien qu’une … Comment la décrire … Mégère. Et pourtant elle était derrière lui, prête à lui parler, il se doutait qu’elle n’était là que pour se moquer de lui, de son statut de né-moldu. Et s’il la détestait viscéralement, il n’allait pas s’abaisser à son niveau. Enlevant lentement ses lunettes, il se frotta les yeux, se préparant à subir un moment des plus désagréable. Il envisagea même de récupérer sa baguette qui se trouvait à quelques centimètres & de lui lancer un sort bloclang pour être tranquille. Mais non, il ne pouvait pas. Il souhaité rester civiliser, enfin il essayait le plus possible de l’être. La regardant prendre une des copies qu’il venait de corriger, il la laissa parler, après tout elle n’était pas venue vers lui pour simplement lui dire « bouh » non, elle avait sans aucun doute quelque chose à dire. Matthew resta de marbre quand elle attrapa le livre qui se trouvait au milieu de la grande table, elle l’avait frôlé pour réussir à le récupérer, & même ce simple geste avait tendance à l’énerver. Kasia semblait s’amuser de la situation, comme s’il y avait quelque chose de drôle. Il été pourtant soulagé de voir qu’elle n’avait pas prit son cahier mais, simplement le livre qui avait été là depuis son arrivée. Car même s’il notait dans un coin les réponses les plus invraisemblables, il en profitait également pour dessiner, gribouiller, écrire deux ou trois idées, bref si cela ne le gênait pas que Bonnie ou certaines personnes le regarde, il n’aurait pas aimé l’idée qu’elle pose ses doigts dessus.
« Tu pourrais effectivement. Seulement si tu avais lu le règlement de Poudlard dans son intégralité, tu saurais qu’il n’est pas interdit d’aller dans les cuisines. Il est mal vu de déranger les elfes mais, il n’y a aucune interdiction de s’y rendre. » Soupirant longuement, il se tourna enfin vers la personne qui arrivait à l’énerver par sa simple présence. Il n’avait peut-être jamais lu le règlement durant sa scolarité mais, c’était l’une des premières choses qu’il avait faite en arrivant à Poudlard en tant que professeur. De même que récupérer le maximum de livre spécialiser sur la métamorphose afin de faire un programme le plus structuré possible & surtout voir jusqu’où il pouvait aller. « Et même s’il est mal de se moquer de ses élèves, affirmer en fin de devoir sur les animagus que de toute façon, s’il voulait il pouvait devenir animagus panthère. Ce n’était pas la chose la plus intelligente pour conclure. » Affirmer haut & fort à son professeur que devenir animagus était une aussi simple que boujour, et surtout sortir qu’il pouvait choisir son animal, c’était l’une des choses les plus stupides qu’il ai pu lire, c’est pour ça que Matthew lui avait mis sans attendre un Troll, le devoir avait été moyen mais, la conclusion terrible. Kasia lui demanda quel était le dernier devoir qu’il avait donné, et proposa la transformation en rat. Il eu une envie de lui répondre avec froideur qu’il n’avait pas souhaité agrandir la famille Cromwell mais, il se retint. Soupirant longuement de nouveau, il utilisa le même ton glacial qu’il avait utilisé depuis le début de la conversation, il ne voulait pas qu’elle puisse imaginer qu’il parlait avec elle pour le plaisir. Il lui répondait pas politesse, rien d’autre. Aussi froid que devait l’être Dolohov au lit, il continua & répondit simplement par l’intitulé du devoir qu’il avait donné « Les 3 meilleurs sortilèges de métamorphose pour se défendre dans une situation de combat & pourquoi. » L’ancien auror la regarda feuilleter son bouquin, c’était un livre de gamin, pour sorcier, qu’il avait lu quelques années auparavant, ce livre était bien différent de ceux que sa mère lui lisait quand il était petit et il s’était d’ailleurs demandé ce qu’aurait été sa vie si sa mère le lui avait lu quand il n’avait que 2 ou 3 ans, au lieu du petit Prince (livre qu’il avait conservé & qui se trouvait d’ailleurs dans sa chambre). « Et toi, tu es là pourquoi ? Tu essaies de recruter des élèves pour ton cours ? » C’était bas, même très bas ce genre de remarque mais, il ne pouvait se retenir que dans certaines limites. Il était humain après tout. Il était obligé de laisser passer quelques petites piques. « Mais Cromwell, je ne voudrais pas polluer ton air, ma respiration de né-moldu pourrait être toxique, qui sait. » Bon ok, il n’avait aucune envie de retenir ses piques, il se faisait même une joie de les lui envoyer, un petit sourire s’étira d’ailleurs sur ses lèvres à la fin de sa phrase. Si elle voulait qu’il soit gentil, elle n’avait qu’à ne pas être aussi stupide & ouvrir les yeux sur les idioties qu’elle pouvait croire. Comme le fait que les né-moldus sont inférieurs. Si elle n’était pas une femme, il aurait sûrement fini par se battre version moldu avec. Et l’aurait d’ailleurs envoyer à l’infirmerie. Mais, bon elle était une femme & il n’allait pas aller là. « Attends ...» Il lui effleura la main et la fixa pendant quelques secondes. « Ah non, il ne semble pas que tu sois en train de mourir dans d'horribles souffrances. C'est dingue ça. » Il ne se foutait pas de sa gueule, mais presque. En tout cas c'était plus fort que lui ... Bon en fait, il se moquait un peu d'elle mais, surtout de ses idées.
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| Sujet: Re: Je te déteste pas, mais si tu prenais feu et que j'avais de l'eau, je la boirais. + kasia & matthew | |
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