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| We don't have the power - Alice Lincoln | |
| Auteur | Message |
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Charles S. DavidsonI swear I'm up to no good Messages : 35 À Poudlard depuis le : 06/01/2013
| Sujet: We don't have the power - Alice Lincoln 14/1/2013, 00:09 | |
| Alic & Charles “We don't have the power ” L'hiver avait déposé sa froideur sur le château, la neige ne tombait pas encore beaucoup, mais bientôt elle serait là, recouvrant de la moindre particule de neige les alentours de l'école d'un manteau blanc. L'hiver était une saison que Charles n'aimait pas beaucoup. Elle lui rappelait bien trop de souvenirs douloureux. Ce n'était pourtant pas une saison désagréable pour tout le monde. L'hiver annonçait Noël, il annonçait les longues heures devant la cheminée à regarder la neige tomber, les batailles de boules de neiges et les fêtes de fin d'années. Des fêtes familiales dont Charles se passait volontiers depuis la mort de son frère, qui avait eu lieu cinq ans auparavant. Il ne rentrait pas chez lui pendant les vacances de Noël, cela ne servait à rien, il n'y avait plus personne qui était d'humeur à faire la fête ni même lui. Il préférait se concentrer sur ses études et il avait justement de quoi faire.
La semaine avait été enrichissante, tout ce qu'il apprenait ,il essayait de le reclasser dans un cahier pour mieux se retrouver lors des examens. Il ne se perdrait pas ainsi dans toutes les notes qu'il avait prises et pouvait aussi ajouter des choses en plus qu'il lisait dans les livres. Il avait l'impression d'avoir quelque chose à prouver, de devoir être le meilleur et montrer ainsi à son père qu'il n'était pas un raté comme il le croyait. Il le faisait aussi pour lui pour ne pas trop penser à tous ces soucis qui ne cessaient de le tourmenter. Il sortait tout juste d'un cours et avait laissé les autres partir devant. Il n'aimait pas être parmi la foule, son don d'empathie se manifestait trop souvent et il avait envie d'un peu de calme. Il ferma la porte de la classe derrière lui et se dirigea non pas dans la salle commune où la bibliothèque qui auraient tout deux étaient trop remplis pour lui. Le poufsouffle marcha donc un moment avant de se décider à s'installer sur le rebord d'une fenêtre dans un couloir du cinquième étage.
Le jeune homme était presque sûr d'être un moment tranquille. Il ne faisait pas très chaud dans les couloirs, même ceux des étages. Il avait gardé sa cape sur lui et s'était installé sortant son fameux cahier de notes. Il sorti et ouvrit le livre qu'il avait emprunté à la bibliothèque sur le cours qu'il venait d'avoir, à savoir « la sécurité magique depuis le moyen âge.» Il avait déjà commencé le livre et retrouva rapidement la page qu'il cherchant notant tout de suite une indication de plus dans son livre à l'aide de sa plume. Lorsqu'il travaillait ainsi il sentait beaucoup moins son don d'empathie lui faire face, il était concentré sur un objectif et redevenais un élève comme un autre.
Il savait pourtant qu'il était loin d'être comme les autres, il avait quelque chose en plus qui lui permettait de ressentir les sentiments des autres et c'était très souvent déroutant. Il ne savait jamais vraiment ce qu'il devait faire s'il devait aider les personnes qui le demandaient sans qu'ils ne s'en redent vraiment compte ou s'il valait mieux ne rien faire, il finissait toujours par craquer et essayer de faire quelque chose, mais c'était à ses risques et périls. Il aurait aimé pouvoir être toujours comme à cet instant, dénué de tout sentiment et être entièrement concentré sur lui-même. Le jeune homme tellement dans son travail n'entendit d'ailleurs pas tout de suite les pas qui s'approchaient vers lui.
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Dernière édition par Charles S. Davidson le 20/1/2013, 10:26, édité 1 fois |
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Alice C. LincolnI swear I'm up to no good Messages : 123 À Poudlard depuis le : 01/01/2013
| Sujet: Re: We don't have the power - Alice Lincoln 16/1/2013, 00:17 | |
| © made by Islande
Charles & Alice
We don't have the power
« Voilà, fini ! » Ma voisine me lança un regard mauvais et reposa sa plume sur son parchemin à peine entamé. Il faut dire que Seisyll, le professeur de potions et poisons, y avait été fort : « Les propriétés de l’ellébore en potions, détail des effets bénéfiques et maléfiques ». Trois parchemins remplis. Pour demain. Alors que nous avions eu cours ce matin. J’adore ma vie.
Quoi qu’il en soit, je ramassai mes affaires sous ses regards assassins et je quittai la bibliothèque. J’étais décidée à me reposer, pour une fois que j’avais terminé de bonne heure ! Le couloir du quatrième étage était vide, la moitié des élèves était en cours, l’autre devait être plongée dans des livres et parchemins pour répondre aux exigences des professeurs de Poudlard. Mais loin de m’effrayer, je me dis que cela me permettrait d’être un peu tranquille. J’avais des envies d’évasion et c’est naturellement que je regardai par les fenêtres. Le grand parc étendu devant moi semblait lui aussi désert… Pas étonnant avec le froid qu’il faisait. De la neige recouvrait la cime des arbres, et bientôt l’école toute entière serait recouverte de son manteau hivernal. Je souris. L’hiver, la neige, tout cela annonçait de joyeux moments et c’est avec nostalgie que je repensais aux fêtes familiales, passées avec mon frère, mon oncle et ma tante. Mon oncle n’a jamais eu beaucoup d’argent, mais il nous donnait bien plus avec son amour que ce qu’il aurait pu nous offrir avec des gallions. Cette pensée vers ma petite famille me rappela que j’avais promis d’écrire à ma tante toutes les deux semaines, et que le délai arrivait bientôt à échéance pour cette fois-ci. Je détachai mon regard du paysage serein qu’offrait le parc et me dirigeai vers les étages supérieurs.
Mon oncle et ma tante ne disposant pas d’une grande fortune, je n’ai jamais eu d’animal de compagnie, et je n’ai même jamais osé demander à avoir un hibou, bien que plus le temps passait et plus je me disais que cet achat devenait nécessaire. Je m’étais souvent juré de m’en acheter un avec mon premier salaire. Mais pour le moment, j’étais tributaire des volatiles de l’école et je devais monter tous les étages pour parvenir en haut de la tour où se trouvait la volière. L’escalier menant du cinquième au sixième étage décida cependant qu’il serait drôle de me jouer un mauvais tour. Parfois, je détestais Rowena Serdaigle pour avoir inventé ces escaliers farceurs. Les premiers temps, c’était fascinant et plutôt amusant. A la longue et au bout de onze ans, j’en avais marre de devoir rebrousser chemin et aller à l’autre bout pour emprunter l’autre escalier. Sans parler des risques d’arriver en retard en cours. C’est résignée que j’entamai la traversée du couloir du cinquième étage.
J’aimais cet étage. Il était toujours calme, ou presque. En effet, il n’y avait aucune salle de cours à cet étage. Juste la salle des trophées de Quidditch. Et derrière la quatrième porte à gauche de la statue de Boris le Hagard se trouvait la salle de bain des préfets, tant convoitée, et à juste titre. J’adorais aller m’y prélasser. Un des avantages pour assumer la lourde tâche de préfète. Mais alors que je me croyais seule à ce niveau de Poudlard, j’entendis des bruits de pages, de feuilles qui se tournent, et le bruit significatif de la plume grattant le papier. Piquée dans ma curiosité, je tendis l’oreille pour déterminer la provenance de ces sons. Les nombreuses mises en situation en cours de défense contre les forces du mal avaient aiguisées mon ouïe et je me plaisais à l’entraîner au quotidien. Je laissai les bruit me guider jusqu’à un recoin, orné d’une fenêtre. Et c’est là que je découvris un jeune homme, assis sur le rebord, plongé dans un livre et grattant frénétiquement le papier d’un carnet avec sa plume. Les yeux emplis de malice, une idée traversa mon esprit et je m’approchai le plus silencieusement possible, jusqu’à me placer presque derrière lui.
« la sécurité magique depuis le moyen âge… Ca a l’air intéressant dis-moi ! » Lançai-je d’un ton fort, un sourire dans la voix, alors que je remarquai les nombreuses notes que Charles prenait sur son carnet.
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Charles S. DavidsonI swear I'm up to no good Messages : 35 À Poudlard depuis le : 06/01/2013
| Sujet: Re: We don't have the power - Alice Lincoln 20/1/2013, 10:31 | |
| Alic & Charles “We don't have the power ” Le jeune homme absorbé par sa lecture sursauta en entendant la voix d'Alice. Ils se connaissaient depuis environ deux ans et avaient tout deux développés un certain « respect»l'un pour l'autre. Il aimait beaucoup Alice chez qui il se retrouvait souvent. Elle était l'une des rares avec qui il se sentait réellement bien et presque normal. La jeune femme avait pratiquement le même caractère que lui et il n'avait pas autant mal à l'approcher à lui parler sans que son don n'intervienne, c'était l'une des rares personne avec qui il pouvait rester plusieurs heures sans que son don ne se manifeste. Il lui était reconnaissante pour ça alors que techniquement elle n'y était pour pas grand-chose, mais c'était toujours agréable de se sentir normal. Il lui sourit et lui fit de la place à ses côtés en lui répondant :
« Salut Alice, je ne t'ai pas entendu arrivée. Oui c'est pas mal comme sujet, c'est un peu complexe par moment, mais c'est sans doute l'un des cours que je préfère.»
Le moyen âge était une époque qui le fascinait depuis toujours. Les légendes les plus grandes étaient pratiquement nées à cette époque et toute la significative de la magie découlait de ces périodes parfois bien sombre pour les sorciers, lorsqu'il lisait la vie de certains sorciers de l'époque il se disait que la leur n'était finalement pas si mal. Ils avaient tout de même beaucoup moins de restrictions que leur ancêtre médiévaux.
« Comment va-tu depuis la dernière fois?»
Leur dernière rencontre devait remonter aux dernières jours de classes avant leur départ en vacances. Charles n'avait pas vraiment discuté avec beaucoup de monde depuis la rentrée, il s'était surtout appliqué à reprendre un rythme de travail correct qui lui permettrait d'avoir de bons résultats pour les examens qui à ses yeux avaient une grande importance. Ce n'était pas simplement son avenir qu'il jouerait, il prouverait aussi à son père qu'il n'était pas un moins que rien et qu'il avait la capacité de réussir autant que son frère avait pu le faire. Son frère avait été un brillant élève et avait toute l'admiration de son paternel et même de certains professeurs qu'il avait eu alors c'était toujours difficile de se faire sa propre histoire et prouver que lui aussi était bon élève. Il avait choisi exactement la même voix que son frère comme pour continuer là où lui n'avait pu le faire. C'était d'ailleurs en demandant un renseignement à Alice sur la filière de la justice magique qu'ils avaient commencés à sympathisé. Le poufsouffle ne regrettait aucunement son choix et il lui arrivait encore de demander conseil à Alice qui avait toujours une bonne parole et une parole sage.
« Et ce début d'année ? Tout se passe comme tu le souhaite ? »
Le jaune et noir sourit à la demoiselle plutôt content de faire une petite pause dans son travail.
Codage fait par .Jenaa
Dernière édition par Charles S. Davidson le 19/2/2013, 10:17, édité 1 fois |
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Alice C. LincolnI swear I'm up to no good Messages : 123 À Poudlard depuis le : 01/01/2013
| Sujet: Re: We don't have the power - Alice Lincoln 21/1/2013, 19:26 | |
| © made by Islande
Charles & Alice
We don't have the power
Alors que je traversais le couloir du cinquième étage pour atteindre les escaliers qui me mèneraient à la volière, je fus attirée par des bruits de feuilles. Dans un coin, je découvris Charles, un poufsouffle également, plongé dans la lecture d’un livre, un carnet et une plume à la main. Reconnaissant là un ami, je m’approchai discrètement, décidée à le surprendre. Ce que je réussis sans mal tant il était absorbé par sa lecture d’un livre sur la sécurité magique au Moyen-âge. Il sursauta avant de me sourire et de me faire une petite place à côté de lui.
« Salut Alice, je ne t'ai pas entendu arrivée. Oui c'est pas mal comme sujet, c'est un peu complexe par moment, mais c'est sans doute l'un des cours que je préfère.»
Je m’assis sur le rebord, à ses côtés et je pus remarquer ses nombreuses notes, toutes plus détaillées les unes que les autres. Des informations se croisaient, mêlant les choses dites en cours et celles lues dans les livres, et je ne pus m’empêcher d’admirer ce travail approfondi que Charles était en train d’effectuer.
« Tu aimes l’Histoire ? C’est vrai que c’est intéressant, savoir d’où on vient, comment on en est arrivé là… Et toutes les grandes choses et les grands sorciers qui ont contribué à faire le monde qu’on connaît aujourd’hui ! Ca se voit que tu aimes ça. »
Je lui avais dit ça en signalant de la tête son carnet noir d’encre, un sourire amusé flottant sur mon visage. J’appréciais l’enthousiasme du jaune et noir. Je me souviens qu’il était venu me voir pour s’informer sur les différents cursus, et surtout sur celui de la sécurité magique, vu que j’y effectuais déjà ma huitième année. De fil en aiguille, j’avais découvert un garçon attachant, très sensible et qui, comme moi, aimait aider les autres. C’était peut-être ça qui nous avait rapproché au fond, plus qu’autre chose. Ce n’était pas toujours bien vu de se mêler des affaires des autres, même si cela partait toujours d’une bonne intention. Et j’avais finalement découvert qu’il était différent de tous les autres.
« Comment vas-tu depuis la dernière fois ? Et ce début d'année ? Tout se passe comme tu le souhaite ? »
Je laissai mon regard vagabonder et se perdre dans le paysage visible au travers des carreaux de la fenêtre. Je n’allais pas mal, malgré la fatigue qui commençait à s’accumuler. Et mes pensées volèrent vers Franck… Mon meilleur ami. Celui que j’aimais. Les choses évoluaient entre lui et moi, et même si j’avais parfois peur, j’en étais heureuse. Et c’est avec un sourire que je regardais Charles avant de lui répondre avec ma bonne humeur habituelle.
« Je vais très bien. Mon année est chargée, les profs nous couvrent de devoirs en tout genre, ils nous assomment d’évaluations surprises, mais tout se passe bien. Je suis juste vraiment fatiguée et j’aimerais avoir de vraies vacances, des vacances pendant lesquelles je pourrais ne rien faire d’autre que m’amuser, voir mes amis et ma famille. »
Je fis une pause, repensant à la lettre que je devais envoyer à ma tante restée à Londres.
« Et toi alors ? Comment ça se passe, les cours, les amis, la famille… ? »
C’était sorti tout seul, je n’avais pas réfléchi. Charles ne parlait presque jamais de sa famille, et je ne voulais pas l’embêter. Alors envieuse de garder de la bonne humeur dans la conversation, je lui souriais avant d’essayer de détourner la conversation.
« Tu t’en sors en maléfices et envoûtements ? Moi ça a toujours été ma bête noire, c’est effrayant. Je prie Merlin avant chaque interrogation ! Par contre si tu as un souci en défense contre les forces du mal, n’hésite pas à venir me voir, je pourrais t’aider. »
Je lui souriais toujours et attendais une réaction de sa part, croisant les doigts pour ne pas l’avoir mis mal à l’aise.
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Charles S. DavidsonI swear I'm up to no good Messages : 35 À Poudlard depuis le : 06/01/2013
| Sujet: Re: We don't have the power - Alice Lincoln 19/2/2013, 10:19 | |
| Alic & Charles “We don't have the power ” La vie réserve parfois de drôle de surprises, elle nous surprends souvent et parfois fait rencontrer des personnes qui au départ n'avaient pas pour but de se parler, comme pour Charles et Alice au détour d'un couloir. Il étudiait du mieux qu'il pouvait, voulant en quelque sorte faire aussi bien que son frère, qui n'était plus de ce monde. Il voulait que ses parents soient fière de lui et se donnait du mal pour réussir. Il aimait bien ce qu'il faisait, même si au départ il avait pris cette voix pour faire la même chose que son frangin. Il avait apprit à apprécier les matières qu'il étudiait au fil des lectures et de tout ce qu'il avait pu apprendre.
« Oh oui j'aime bien savoir un peu tout ce qui est arrivé avant aujourd'hui, c'est assez étonnant d'ailleurs de voir à quel point on peut retrouver des traces du passé.»
Il se souvenait de sa rencontre avec Alice, elle l'avait aidé quand-il cherchait encore sa voix. Elle l'avait conseiller et il l'avait écouté. C'était aussi une très bonne élève, du moins il la voyait comme cela et elle était agréable et gentil avec lui, puis c'était bien l'une des rares personnes avec qui il pouvait parler sans changer d'humeur, sans changer de comportement. C'était bien de pouvoir être soit-même un peu de temps. Il aimait vraiment la compagnie de la jeune femme. Le jaune et noir écoutait ce qu'elle avait à dire, les années supérieures lui donneraient sans doute du fil à retordre, mais il n'avait pas peur de passer par là. Il savait de toute façon qu'il n'aurait pas trop le choix et qu'il devrait monter dans les années.
« J'imagine que tes heures de cours sont peu espacé. J'ai assez hâte d'en être au même niveau que toi, j'aurais prouvé que je peux arrivé jusque là, c'est tout ce qui m'importe pour le moment. Il est vrai que des vacances ferait un grand bien à tout le monde je pense. Je t'avouerais qu'il m'arrive de temps en temps de m'endormir en cours à force de travailler tard le soir, mais je m'habitue bien.»
Charles n'aimait pas tellement parler de sa famille, il avait toujours un petit goût d'amertume et de remords lorsqu'il en parlait. Il ne voulait pourtant pas froissé son amie et choisit donc de lui répondre quand même, il avait lancé la conversation après tout, c'était normal qu'elle lui repose la question.
« Oh de ce côté là c'est toujours la même chose. J'ai un peu l'impression d'être à part, je m'entends bien avec certaines personnes, mais les gens ont parfois du mal à comprendre mon don d'empathie, ce n'est pas évident tous les jours, quant à la famille … rien n'a changé non plus.»
Il n'en dit pas plus ne voulant pas s'attarder sur le sujet. Il avait vraiment du mal à en parler et c'était très rare qu'on le voit se plaindre, qu'on sache même qu'il avait eu un frère, pourtant celui-ci avait été bien plus populaire que Charles et parfois c'était dur d'entendre des personnes, ou des professeurs en parler. La question suivante lui plut beaucoup plus. Il était en mesure de lui répondre et le fit avec enthousiasme.
« Oh oui je m'en sors assez bien. Ça m'amuse bien de tenter des nouveaux sorts, certains ne marchent d'ailleurs pas toujours, mais généralement ça fonctionne. J'ai une bonne baguette à vrai dire, on s'entend parfaitement bien, elle me fait des petits caprices de temps en temps, mais j'aurais du mal à m'en passer.»
Il se trouvait bizarre lui-même de parler de sa baguette comme si elle était vivante et pourtant c'était presque le cas, sans baguette il ne serait plus vraiment un sorcier, il avait toujours eu un peu de mal avec les sortilèges informulés alors sa baguette magique avait vraiment toute son importance.
Codage fait par .Jenaa |
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