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| Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone | |
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Auteur | Message |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 15:26 | |
| priam jasper aindréis “Son absence a envahi tout mon horizon, comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine..” NOM : Aindréis. Nom de jeune fille de sa mère, son unique nom à vrai dire puisqu'elle n'a jamais été mariée à son grand regret. Si son père l'avait reconnu, il porterait sans doute le nom de Sawyer. PRÉNOM(S) : Priam, sa mère ayant une passion toute particulière pour la mythologie grecque. Jasper, en hommage à son ami d'enfance dont la vie lui a été tragiquement volée. AGE : Trente ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Onze août de l'année 1950 dans une maternité Moldu dans le coeur de Londres. ASCENDANCE SORCIÈRE : Sang-mêlé de part son paternel qu'il n'a jamais connu. Il ignore donc l'origine exact de son sang ORIGINES : Anglais de pure souche BAGUETTE : Sculptée dans du Chêne rouge mesurant 22cm, on entend souvent des ignorants dire qu’une baguette de chêne rouge est le signe infaillible du tempérament emporté de son propriétaire. En réalité, le partenaire qui lui convient le mieux est capable de réactions d’une rapidité exceptionnelle, ce qui en fait une parfaite baguette de duel. En son coeur on y décèle de la poudre de diamant, le summum de la défense magique. Un élément puissant et noble. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. Coureur de jupons pendant un temps mais profondément encré dans sa solitude à ce jour. SITUATION PROFESSIONNELLE : Professeur de Défenses contre les Forces du Mal. MAISON/PARCOURS SCOLAIRE EFFECTUE :Il a eu la chance de rejoindre la maison de Rowena Serdaigle où il a suivit le cursus enseignement magique, bien qu'au fond son rêve le plus cher aurait été d'être joueur professionnel de Quidditch. POINTS FORTS : Rapide, agile, ingénieux, persévérant . POINTS FAIBLES : Impulsif, torturé. PATRONUS : Une panthère noire, animal bien solitaire. EPOUVANTARD : Le corps de son frère jumeau. PARTICULARITÉ MAGIQUE : Aucune.
dance like a hairy troll CORDELIA DOLOHOV, T'EN PENSES QUOI ? T'AIMES SA COUPE DE CHEVEUX ? Faisant partie du corps enseignant de Poudlard j’ai pu croiser à plusieurs reprises la nouvelle secrétaire de l’éducation, et bien que le courant ne passe guère entre nous, j’approuve en grande partie les décrets qu’elle a imposés. Adepte de la discipline, du travail acharné, et du silence de plomb pendant un cours, j’ai la gâchette facile quand il s’agit de distribuer des heures de colles. Alors qu’une personne vienne instaurer un nouveau règne de droiture dans l’enceinte du château n’est pas un mal à mes yeux. Il est temps qu’on les recadre, et qu’on leur sert la ceinture à ces mollusques !
T'ES PLUTÔT QUIDDTICH OU CLUB DE LECTURE ? Sans hésitation, le quidditch ! Il en va de soit puisque j'ai été l'un des meilleurs poursuiveurs de Serdaigle, capitaine de surcroît et j'étais destiné à devenir l'un des meilleurs joueurs de tous les temps avant que le destin ne vienne s'en mêler. Aujourd'hui encore j'admire ce magnifique sport ne loupant aucun match se déroulant à Poudlard ainsi que ceux de la coupe du monde de Quidditch. Il est vrai que d'y assister est une vraie torture à mes yeux, ressentant un véritablement manque dans chaque parcelle de mon être mais il m'est impossible de rayer totalement ce rêve brisé.
| | ÇA REPRÉSENTE QUOI LA NATURE DU SANG SORCIER, A TES YEUX ? Rien. Rien du tout. Il serait hypocrite de ma part de porter un jugement sur la nature du sang alors que moi-même je suis un sang-mêlé ou un né-moldu. J'ignore totalement mes véritables origines, mon père est-il un sorcier c'est un mystère. Je me fiche pas mal de le savoir à vrai dire. Le sang n'a aucune importance, et à mes yeux un sang pur n'est pas plus doué qu'un Né-moldu, il y a beaucoup d'exemples à donner. Et qu'aucun élève ne s'avise d'avoir un mot de travers à ce propos et il comprendra très vite ce que veut dire l'expression "tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler"
L'AVENIR, TU VOIS ÇA COMMENT ? Il y a bien longtemps que mon avenir a sombré. J'ignore ce qu'il adviendra dans le futur mais une chose ne changera jamais; mon amour pour mon frère, la culpabilité et le remord. Rien ne pourra me sortir de cette solitude dans laquelle je me suis encré profondément depuis bien longtemps déjà. Alors je dirais que d'ici quelques années je me vois bien en professeur complètement aigri, le chagrin m'ayant totalement dévoré de l'intérieur comme de l'extérieur. Des tendances pessimistes ? Oui je l'avoue. Ma vie ne sera jamais heureuse. Alors l'avenir pour moi n'est qu'un point sombre.
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boogie like a unicorn Chapitre premier. Une tempête de neige sévie depuis déjà plusieurs jours dans le Sud-Est du Royaume-Unis. Les toitures et les trottoirs sont recouverts de cette poudre blanche et glacée, quant aux routes elles sont devenues gadouilleuses et glissantes par le passage des automobilistes assez courageux pour traverser ce blizzard. C’est le matin de Noël, et les deux jumeaux sont encore endormis dans le salon, cachés derrière un canapé usé par les années. Si cette scène parait incongrue il s’agit tout simplement de l’espoir pour deux jeunes garçons de six ans d’apercevoir le Père-Noël et le coincer la main dans le sac, mais malgré toute la patience et l’énergie fournie pour tenir éveillés Priam et Adonis ont finis par sombrer dans un sommeil profond où les rêves d’enfants deviennent réalités. Ne les trouvant pas dans leurs lits, Meredith leur mère, descend les escaliers à pas de loup pour rejoindre le salon, pensant prendre ses fils par surprise à ouvrir leurs cadeaux. Mais à son grand étonnement, les paquets au pied du sapin n’ont pas bougé d’un pouce et sont restés intacts. Et c’est un léger ronflement, ou plutôt une forte respiration, qui attire son attention vers le vieux sofa. C’est avec amusement que la jeune femme découvre les jumeaux allongés l’un contre l’autre comme pour se réchauffer, plongés dans un sommeil lourd. Le regard pleins de tendresse en les admirant dans cette position, elle se en vient à se remémorer de vieux souvenirs douloureux. Huit années plutôt et tout juste majeur, Meredith est tombée amoureuse d’un homme plus âgé et pour compliquer la situation, marié. En réalité cette histoire relève d’une complexité qu’elle ignore totalement. Godric – c’est ainsi qu’il se nomme – est un sorcier et pas des moindres puisqu’il est issu d’une famille de sang purifié depuis plusieurs génération. Un monde magique, que la jeune femme n’a jamais soupçonné une seule seconde bien quand y réfléchissant bien cet amant a eu parfois des comportements qu’on peut qualifier de bizarre. Même si au fond elle a toujours su que cet homme n’a jamais ressenti une once de sentiment à son égard, elle a espéré du plus profond de son cœur qu’un jour elle sentirait son cœur battre à tout rompre comme le sien l’a fait chaque fois qu’il a posé son regard sur elle, chaque fois que ces mains ont touché sa peau douce, que ses lèvres ont emprisonné les siennes. Oh oui elle a espéré, mais même les rêves les plus chers ne se réalisent jamais, quand bien même on a tout tenté. Jamais elle n’a eu une explication, une raison à cette soudaine disparition mais en analysant bien la situation, la grossesse accidentelle de Meredith a peut-être été la cause de cette fuite, un vrai lâche. Et bien que ce soit la raison principale pour laquelle Godric ait rompu tout lien avec la jeune femme, il a également reconsidéré cette relation à cause de ses origines puisque étant un sorcier de sang-pur il ne peut trahir sa famille ni l’empoisonner de ce sang de moldu en poursuivant cette liaison, et en acceptant les enfants qui en ont découlé. « Maman ? » Meredith, plongée dans ses pensées et les yeux dans le vague, n’a pas remarqué que ces deux fils sont réveillés, leurs regards interrogateurs rivés sur elle. Ne sachant pas depuis combien de temps ils l’observent ni quelles émotions ont pu passer sur son visage, elle arbore très vite un sourire radieux pour effacer tout soupçon ou inquiétude de la part de ses garçons. Les trouvant encore trop jeune, jamais elle n’a abordé le sujet concernant leur père et étonnamment ils ne l’ont pas questionné à ce propos mais ça ne saurait trop tarder. « Le Père-Noël est passé les garçons ! » Comme prévu, les jumeaux se sont levés en un seul bond pour courir jusqu’au sapin. A cet âge, il est très facile de distraire un enfant et de lui faire oublier en un rien de temps un malaise comme celui que la jeune femme vient de vivre. « Ado’ regarde, regarde ! Une luge ! » Le jeune Priam, qui vient de déchirer le papier du plus gros cadeau, semble émerveillé en voyant l’objet rouge flamboyant. Un large sourire se dessine sur son visage, découvrant une dentition quelque peu chaotique en raison de l’absence de ses deux incisives centrales, ses yeux brillent de mille feux comme si le plus beau jour de sa vie s’offre enfin à lui. Avant ces six derniers mois, Meredith a été comme une grande partie de la population anglaise voire mondiale, au chômage. Ces six dernières années ont rimé avec sacrifices, car malheureusement elle n’a pu subvenir aux envies de ces deux garçons, ce qui d’ailleurs lui a toujours brisé le cœur. Mais les choses ont changé maintenant qu’elle occupe un poste de professeur dans une faculté de Londres, et voir le visage de Priam et Adonis s’illuminer est le plus beau cadeau qu’on puisse lui offrir. « Oh maman, on peut aller l’essayer ? » « S’il te plait ! » disent-ils en cœur, en parfaite harmonie. La mère n’a jamais su dire non à ses jumeaux, elle a toujours craqué devant leurs bouilles attendrissantes, déjà une il est difficile de résister mais quand en plus il y en a deux identiques, c’est un combat perdu d’avance. L’état de surexcitation de ces deux-là fait rire Meredith, un doux son mélodieux que ces petits bonhommes adorent entendre. « Et votre petit déjeuner ? Vous abandonneriez votre bol de céréale – j’ai d’ailleurs acheté celles que vous préférez – pour aller glisser sur la neige ? Vous, petits estomacs ambulants ? Je n’ose y croire ! Bon très bien, enfilez vos chaussures, vos manteaux et en route moussaillons » finit-elle par dire devant l’impatience des petits, avec un sourire amusé. Et en moins de temps qu’il en faut pour le dire, Priam et Adonis sont parés pour affronter le froid et la neige en tenant de chaque côté les poignées de leur nouveau jouet. Du mieux que les petites jambes peuvent leurs permettre, ils courent comme s’ils avaient le feu aux fesses impatient de réaliser une bonne glissade.
Après quelques minutes de marche – rapide la marche – la mère et ses enfants arrivent dans le grand parc de Londres qui est lui aussi couvert par ce manteau blanc. Encore trop tôt pour s’y aventurer, ils se retrouvent tous les trois avec tout l’espace nécessaire pour jouer. Les deux enfants jouent, rient aux éclats, envoient des boules de neiges sur leur mère qu’ils aiment tant, exercent de superbes glissades du haut de la colline qui surplombe le paysage, font de magnifiques et mémorables gamelles aussi. Le temps passe et rien ne semble fatiguer ces deux terreurs, même le froid glaciale ne les arrête pas. Epuisée de courir à droite et à gauche, Meredith finit par s’asseoir sur un banc frais un bouquin à la main. « Ne vous éloignez pas les garçons » dit-elle en les observant se chamailler pour savoir qui va prendre la luge. Priam et Adonis sont des enfants adorables écoutant toujours les directives de leur mère, évidemment ils testent parfois les limites. Mais à l’heure actuelle, l’excitation et l’adrénaline l’emportent sur les deux jeunes enfants qui sans écouter l’avertissement grimpent la colline en trainant leur nouveau jouet derrière eux. Du coin de l’œil, elle les observe mais au moment où elle rive ses yeux sur son livre les garçons en profitent pour prendre la descente de l’autre versant, qui conduit droit au lac. L’inattention de Meredith n’a duré que quelques secondes, et quand elle lève de nouveau son regard vers ses fils, elle ne voit que trop tard les deux silhouettes glisser ensembles vers un danger imminent. Paniquer, elle court à toute vitesse le sang affluant sur son visage, son cœur battant à en rompre la poitrine, et arrivée sur la butte, les jumeaux sont toujours installés sur leur luge au milieu du lac gelé. « Ne bougez pas ! » leurs crie-t-elle, en sachant qu’ils n’ont aucune conscience du danger dans lequel ils se sont fourrés. Et en effet, n’écoutant pas une nouvelle fois leur mère, les deux compères se lèvent toujours enclin à l’adrénaline mais à peine ont-ils posé un pied sur la glace qu’un craquement assourdissant résonne dans le parc et avant que quiconque ne puisse agir, les deux garçons passent au travers. L’eau est glaciale, saisissante, comme si des centaines de coups de couteaux transpercent leurs petits corps chétifs, le courant les entraine sous la glace les empêchant ainsi de se raccrocher au bord du trou par lequel ils sont passés et la seule chose à laquelle s’agripper est leur main qu’ils saisissent en les cramponnant de toutes leurs forces. Le froid les tiraille, l’eau s’insinue dans leurs poumons leur brûlant au passage la gorge. La terreur les envahie, et bien qu’ils ne sachent pas nager ils remuent comme ils peuvent leurs jambes dans l’espoir de retrouver la surface. Et au moment où Priam et Adonis sombre peu à peu, une chose étrange se produit comme si quelque chose les attirait dans un tourbillon et sans comprendre quoi que ce soit en une fraction de seconde les deux jeunes garçons s’évaporent ne laissant sur leur passage que quelques bulles d’airs. Meredith a assisté impuissante à la scène et un cri strident s’échappe de sa bouche. Tout s’est passé si vite, aussi bien la chute que la disparition des jumeaux dans l’eau, et au moment où elle accourt vers le trou qu’ils ont formés - ignorant tous les risques qu’elle court – les jumeaux réapparaissent comme par magie au bas de la colline atterrissant ainsi dans la neige. La mère, ne cherchant d’abord aucune explication, rebrousse chemin les yeux ruisselant de larmes pour les prendre dans ses bras en s’agrippant à eux, consciente qu’elle a bien faillit les perdre pour toujours. C’est ainsi que les pouvoirs de Priam et Adonis se sont manifestés, prient par la peur et l’espoir de regagner la surface ils ont transplané.
Chapitre second. Le soleil commence tout juste à percer les nuages, étincelant. Les rayons dans les vitraux du dortoir forment des reflets multicolores dansant contre les murs. Une petite danse d’opérette qui ne tarde pas à venir me titiller dans mon sommeil et m’éblouir me tirant ainsi d’un rêve plutôt agréable. M’étirant de tout mon long et baillant à m’en décrocher la mâchoire, j’ouvre un œil puis l’autre. Quelques ronflements subsistent encore, alors que mon regard s’attarde un moment sur le lit voisin où Adonis gigote encore sous l’effet de ses songes. Le jour où nous avons reçu la lettre cachetée des armoiries de Poudlard et nous révélant ainsi notre vraie nature, semble si loin. Sept années que nous foulons les couloirs de ce grand et somptueux château et après tout ce temps à côtoyer nos semblables, à étudier et pratiquer la magie j’ai au fond l’impression de toujours avoir baigné dans cet univers. Malgré l’absence de notre mère - et il est certain que sa présence nous manque – Ado’ et moi avons su nous faire une place de choix depuis notre arrivée dans la très noble maison de Rowena Serdaigle. Une soif d’apprendre nous habite jour après jour, une envie certaine de réussite nous propulse quasiment au sommet des plus brillants élèves de notre promotion, sans parler de notre cote de popularité. Non seulement nous sommes jumeaux de par notre physique, il faudrait nous connaitre intiment pour déceler une éventuelle différence, mais nos caractères sont si semblable que l’on nous confond sans cesse. Avec une joie de vivre inébranlable, dotés d’un humour plus qu’apprécier et d’une personnalité bien encrée nous avons su nous faire estimer de nos camarades, et bien évidemment engendrer la jalousie chez certain. Comme les deux doigts de la main, nous sommes inséparables que ce soit dans les bons ou mauvais moments, nous partageons tous ensembles, même les heures de colles. Car même si nous sommes des élèves modèles en ce qui concerne nos résultats scolaires, il nous arrive très souvent de nous embarquer dans des histoires qui nous conduisent régulièrement dans le bureau de notre directrice. Oh, nous n’agissons jamais par pur méchanceté, ce sont seulement des jeux de gamins un peu tête brûlé qui veulent en mettre pleins la vue. Par chance, notre intelligence et notre compétitivité sauve notre mauvais comportement. Car oui, Adonis et moi faisons partit de l’équipe de Quidditch comme poursuiveurs et capitaine pour ma part. Nous sommes bons même très bons, puisqu’il y a quelques semaines nous avons été contactés par le capitaine de l’équipe des Flèches d'Appleby. Bien qu’Adonis ne soit pas très enthousiaste pour devenir un jour professionnel, il voue une vraie passion pour ce sport magique. Quant à moi, non seulement j’en suis également passionné mais je ne vis que pour ça, souhaitant devenir un des plus grands joueurs de tous les temps, et ce contrat prouve que cette ambition n’est sans doute pas déraisonnable. Et tiens, en parlant de Quidditch il est temps de se préparer pour le match de ce matin qui nous oppose aux Poufsouffles et sans trop de vanité ce match est gagné d’avance pour notre équipe alors aucune raison de s’en faire. Attrapant d’un geste vif mon oreiller je l’abat sur la tête de mon frère assez brusquement « Allez debout fainéant ! On a un match a gagné ! » Alors que Adonis laisse échapper un long grognement de frustration, je me lève vivement pour enfiler ma tenue au couleur de notre armoirie. Et alors que je tente de mettre un peu d’ordre dans ma tignasse, j’observe du coin de l’œil mon frère qui est extrêmement lent contrairement à son habitude. « Y’a un truc qui te défrise ? » m’inquiétais-je tout de même. « Je suis barbouillé c’tout. Je gère. » Il enfile maladroitement ces habits de joueur encore tout endormit, et tanguant à moitié comme s’il a perdu son équilibre. Depuis quelques temps, Ado’ fréquente un élève de septième année également mais de Poufsouffles, et joueur de notre équipe adverse. Cette amitié ne m’a jamais plu car il n’est pas de ceux qu’on désigne de fréquentable, et dernièrement nouveau joueur des jaunes c’est un très mauvais perdant et je me suis toujours demandé si ce rapprochement soudain n’est pas lié à de la manipulation pure et simple. Et voir mon frère à moitié drogué au petit matin, à quelques heures du match ne me fait plus aucunement douté. Enervé, j’attrape une sacoche soigneusement caché sous mon lit et en sort un bézoard volé dans le bureau du professeur de potion quelques jours plus tôt. « Je m’étais dit que ça servirait un jour, j’ai eu une bonne intuition. Tiens prends ça » dis-je en lui lançant la petite pierre. « Encore une fois j’avais raison, que ça te serve de leçon d’être aussi naïf ! Bon sang, il faudra que je te tienne la main encore combien de temps ? Ouvre les yeux sur tes fréquentations ! Je ne serais pas toujours là pour te guider, grandit un peu » Son état et sa naïveté m’horripile sérieusement, et c’est sur cette fausse note que je sors de la salle commune en laissant Adonis derrière moi.
Durant le petit déjeuner, je n’ai pas adressé la parole à mon frère ce qui d’ailleurs nous arrive que très rarement mais ma colère étant trop présente j’ai préféré l’ignorer pendant un temps. Une chance, la rancune n’est pas un de mes défauts, et une fois sur le terrain toute cette histoire sera déjà bien loin. Dans le vestiaire, les railleries concernant l’équipe adverse vont bon train et l’humeur de chaque joueur est au beau fixe sachant qu’il est quasiment impossible que nous perdions ce match. Il est l’heure, et nous sortons sur la pelouse bien verte au milieu des hauts gradins d’où les élèves applaudissent notre entrée. Une fois chaque élève monté sur leurs balais à seulement quelques mètres du sol, l’arbitre sonne le coup de sifflet de départ en lançant le souaffle dans les airs. Le temps est parfait, un léger vent d’Est nous facilite même la tâche en nous poussant dans le dos vers les buts adverses. Au bout d’un quart d’heure de match, nous menons de cinquante à dix, une légère avance qui ne nous inquiète pas puisque nous possédons le meilleur attrapeur de l’école dans notre équipe et il y a peu de chance que le cancre binoclard des Poufsouffle attrape le vif d’or avant nous. Les balais sont rapides, les passes également ce qui rend le match assez difficile à suivre même pour nous les joueurs. Une demi-heure que nous cessons de nous envoyer le souaffle ne loupant quasiment jamais les buts, car il faut l’avouer leur gardien n’est pas si mauvais que le reste de l’équipe. Le match se déroule à merveille notre équipe étant en tête, mais sans doute trop peu sur nos gardes et trop prétentieux nous n’avons que pas assez considéré les batteurs jaunes. Car au moment où je file à vive allure vers les anneaux, un des batteurs m’envoie un cognard pour me dévier de ma trajectoire. Trop concentré sur les buts, je ne fais plus attention à rien et encore moins à ce projectile qui fonce droit sur moi. Adonis, lui, n’a rien loupé de la scène et c’est alors précipité pour se mettre en travers du chemin du cognard afin que celui-ci ne m’atteigne pas. L’objet heurte alors de plein fouet mon frère jumeau et c’est le craquement de son crâne qui me sort de ma concentration. Choqué et pris de court je ne fus pas assez rapide pour l’attraper alors qu’il glisse de son balai inconscient. Et c’est au bout d’une chute d’environ cinquante mètre que le corps de mon frère s’écrase sur le sol alors que tous les élèves se sont tus en observant la chute. Très rapidement, l’arbitre, l’infirmière et quelques professeurs se précipitent vers lui alors que je descends en piquer pour sauter de mon balai à quelques mètres du sol. Un genou à terre j’attrape sa main laissant aux adultes le soin de l’examiner mais au bout de quelques secondes il est indéniable que l’état d’Adonis est grave, très grave.
Les heures semblent interminables alors que j’arpente le couloir en faisant les cents pas. Ne sachant l’envergure des blessures d’Adonis, le directeur de Poudlard ainsi que l’infirmière l’ont aussitôt envoyé à Sainte-Mangouste où il peut recevoir tous les soins possibles. La boule au ventre, je ne cesse d’observer la porte de la chambre où il se trouve attendant qu’enfin un médicomage en sorte porteur de bonnes nouvelles. Mais le mal être que je sens grandir dans tout mon être m’indique totalement le contraire, car depuis notre naissance nous sommes liés par un lien invisible qui nous fais ressentir chaque douleur, chaque émotion de l’autre. Mais au lieu de discerner quoi que ce soit, je ressens un vide profond s’agrandir peu à peu comme si on m’avait privé de quelque chose. Soudain pris par des bouffés de chaleur, une sueur froide dégoulinant sur mon front, je sens mes jambes perdre pied et avant même de pouvoir me raccrocher à quelque chose mon corps s’écroule sur le carrelage froid prit de convulsions. Je suis allongée sur ce quelque chose de dur et douillet à la fois, une lumière juste au-dessus de moi tente de m’aveugler, des voix viennent à moi mais semble si loin que la conversation reste très confus. Et alors que j’ouvre les yeux, battant rapidement des cils pour m’habituer à la clarté, peu à peu les souvenirs me reviennent comme un boulet de canon. Me redressant rapidement dans le lit sur lequel on m’a allongé, j’attrape la première main qui me vient qui appartient à une jeune infirmière. « Adonis ! Où il est ? Où est mon frère ? » Dis-je d’une voix tremblante, la panique m’envahissant en me rendant compte que le vide ressentit plutôt est toujours présent et d’autant plus intense. Mes yeux supplient la jeune femme, ma main se cramponne à elle comme une perdue mais avant que l’infirmière ne pipe mot, un médicomage entre dans la chambre le visage grave et mal à l’aise parait-il. « Mon garçon, vous avez fait un malaise mais rien de bien méchant. Vous allez surement vous sentir… » « Je me fiche de mon état ! » Le coupais-je, cette fois totalement hors de moi. « Mon frère ! Où est-il ?!!! » Dis-je sur un ton bien plus agressif et totalement désespéré. « Uhmm, les dégâts portés par le cognard sont plus important que nous le pensions… Son cœur bat mais… son cerveau ne semble plus fonctionner... On ne peut rien faire pour lui, je suis navré… » Ces paroles résonnent dans ma tête, une sueur froide me surprend alors une deuxième et je me laisse partir dans un nouvel évanouissement, souhaitant ne pas me réveiller.
Chapitre troisième. « Et voici votre bureau Professeur » annonce Dumbledore, avec une assez grande fierté et un soulagement dans sa douce voix. Et alors que le directeur de Poudlard ouvre une lourde porte en chêne massif, j’avance de quelques pas dans la pièce indiquée. Ni trop grande, ni trop petite. Un espace bien suffisant à mon goût où se dresse un magnifique bureau taillé lui aussi dans du chêne, dans un style baroque et derrière celui-ci un magnifique fauteuil au tissu imprimé semblant bien confortable. Quelques étagères remplissent tout un mûr où quelques livres y sont déjà entreposés. A l’opposé, un unique tableau représentant un vieil homme dont le nom m’échappe totalement. « Voici l’accès à vos quartiers personnels et vous êtes libre de convenir du mot de passe avec notre ami » dit le professeur Dumbledore en désignant l’homme sur le tableau. Pour toute réponse j’acquiesce dans un léger mouvement de tête, mes pensées étant bien loin de ce bureau, de Poudlard. Me remémorant tout ce qui a pu me conduire ici, à choisir ce poste de Professeur de Défenses Contre les Forces du Mal. En réalité mon souhait le plus cher n’a rien à voir avec ce qui m’attend ici, rêvant de chevauché un balai le souaffle casé sous le coude en direction des anneaux et acclamé par un public déchaîné comme il y a bien des années quand je n’étais encore qu’un élève. A l’époque je ne vivais que pour le Quidditch, la célébrité et la fortune mais le destin en a voulu autrement. A la mort de mon frère jumeau, qui sans hésité à donner sa vie pour moi, je me suis juré de lui en être redevable pour le reste de mon existence. Et bien que mes choix puissent sembler incongru, stupides et incompréhensibles c’est en vivant la destinée qu’aurait dû être celle d’Adonis que je tente d’honorer son sacrifice. Bien que le Quidditch ait été une passion pour lui, il n’avait guère l’envie d’en faire son futur métier préférant de loin enseigner son savoir, et il excellait dans une matière en particulier, les Défenses contre les Forces du Mal. Je n’ai jamais compris cet engouement, je ne le comprendrais sans doute jamais. Qui sait. Bien que très proches, nous avions des rêves bien différents et à l’époque comme aujourd’hui je compte bien réaliser tout ce à quoi aspirait mon défunt frère. C’est ainsi que j’ai choisi le cursus de l’enseignement magique, au grand étonnement de tous. J’étais douée, je m’appliquais à l’être en permanence et je changeais au fil des années. Mes amis m’ont vu m’éloigner brusquement, préférant la solitude à la compagnie des autres. Me renfermant totalement, le trou béant qu’Adonis a laissé dans ma poitrine m’a rendu presque hostile, tourmenté, en colère. Je ne suis plus le jeune homme que j’ai pu être, j’en ai oublié ce que c’est que d’être heureux, de rire et de profiter de la vie. Aujourd’hui j’ai trente ans, après plusieurs années d’études supérieures me voilà enfin au bout du chemin que j’ai tracé. Professeur Aindréis, c’est officiel. Je me suis battu avec acharnement pour ce poste tant convoité, rien n’aurait pu se mettre en travers de mon chemin. L’amour pour mon frère me donne presque des ailes, et je suis prêt à tout pour lui, pour honorer sa mémoire. Un bruit me fait sortir aussitôt de mes lugubres pensées, un regard par-dessus mon épaule me fait comprendre que c’est le léger claquement de la porte qui m’a fait revenir à la réalité. Le Professeur Dumbledore s’en est allé, comprenant qu’un moment de paix m’est indispensable pour que je prenne mes marques dans ma nouvelle maison. Je m’approche alors du bureau, déposant dans un angle un vieux cadre qui quelques secondes avant se trouvait dans ma sacoche. Une photo, représentant deux jeunes garçons arborant fièrement leur uniforme aux couleurs de Serdaigle. « Pour toi, mon frère… » dis-je dans un souffle, une larme roulant sur ma joue.
Des petites choses Priam est un prof stricte aimant la discipline et l'ordre durant ses cours, ainsi que dans les couloirs du château - Peu apprécié pour sa personnalité, cependant il a un certain nombre de groupies à ces genoux, malgré lui - Personne encore n'a fait le rapprochement avec le terrible accident de son frère jumeau qui a fait la une des journaux treize ans plus tôt - Plusieurs trophées à son nom sont installés dans la vitrine destinée au Quidditch - A l'époque, Priam était un bon vivant ayant toujours le mot pour rire, très sociable et toujours entouré. En fait, tout le contraire de ce qu'il est aujourd'hui - En perdant son frère, c'est son âme et sa personnalité qui sont parties avec lui - Avant cet accident, il vivait une histoire passionnelle depuis plusieurs mois avec une élève de Serpentard, depuis il n'a plus eu une seule relation sérieuse mais uniquement des aventures -
Solitaire – mystérieux – indépendant – torturé – cultivé – intelligent – malin – réfléchit – septique – manipulateur – doué – froid – distant – neutre – réservé – rancunier – franc – sympa à ses heures – lunatique – sarcastique – maniaque – imprévisible – passionné – très peu loquace – rigoureux – persévérant – discret – vieux-jeu – stricte – nomade
et sinon ? Bonjour, je m'appelle Maëlyse et là comme la coutume l'exige vous devez répondre tous en choeur "Bonjour Maëlyse" Aheum bref, on me surnomme bien souvent Mael, parfois Lily mais si vous avez des surnoms tordus à me donner je suis tout à fait pour, c'est fun c'est good Ce smiley m'a manqué Oui, j'étais sur l'ancienne version de awttp, j'y jouais pendant un temps Priam le sexy prof d'étude des balais. J'ai gardé le prénom mais pas la célébrité qui aujourd'hui est Chris Hemsworth, quoi que j'hésite encore mais je sais pas avec qui Si vous avez des propositions je suis toute ouïe mais pour l'instant mon choix me semble pas trop mal Sinon que dire sur ma personne, ah oui j'ai vingt quatre ans et je m'approche dangereusement du quart de siècle, la loose En ce qui concerne ma présence, et bien ce sera selon mon emploi du temps quoi que je n'ai pas les empêchements que beaucoup peuvent avoir avec les examens les cours et tout le reste puisque je ne suis plus étudiante mais bel et bien une adulte dans le monde cruel du travail Donc en semaine je serais présente tous les jours en ce qui concerne le flood, les blabla etc.. pour ce qui est de rp je dirais une fois par semaine peut-être plus on verra. Bref, je suis assez active quand la motivation est là ^^ Bon je crois qu'on a fait le tour, je ne vais pas non plus raconter ma life bien que vous mourrez d'envie de tout connaître j'en suis persuadée
Dernière édition par Priam J. Aindréis le 30/12/2012, 23:27, édité 17 fois |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 15:27 | |
| +1 au cas où |
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 15:33 | |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 15:45 | |
| Un fraise tagada Hmmm oui oui pourquoi pas mais je préférais un lien en échange Parce que Jones quoi Et merci. |
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 15:58 | |
| Bienvenue |
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 16:17 | |
| Non il ne faut pas hésiter à garder Chris. Il est parfait. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! |
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Bonnie S. ArtonI swear I'm up to no good Messages : 559 À Poudlard depuis le : 15/09/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 16:45 | |
| PRIAM, quel prénom. bienvenue parmi nous, n'hésite pas si tu as la moindre question. |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 17:04 | |
| Isobel - Oui je suis bien de ton avis, il est parfait Tout comme ton avatar, je ne connais pas du tout la célébrité que tu as choisis mais elle est sublime En tout cas, merci =) Bonnie - Merci Et s'il le faut je n'hésiterais pas à te harceler |
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Messaline BurkeI swear I'm up to no good Messages : 151 À Poudlard depuis le : 30/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 17:10 | |
| Bienvenue |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 17:11 | |
| Merci |
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 17:21 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions n'hésite pas |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 17:58 | |
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InvitéI swear I'm up to no good
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 18:44 | |
| Bienvenue et chris, groua |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 18:47 | |
| Chris a du succès Et Jennifer Lawrence, que dire à part Merci en tout cas <3 |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 20:59 | |
| chris il est sexy chris il donne envie de faire des bébés excellent choix d'avatar !! bref bienvenue sur le forum enfin reuh bonne chance pour la suite de ta fiche |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 21:04 | |
| Faisons des bébés dans ce cas Merci bien. Il me reste un chapitre à rédiger mais je ferais ça lundi, ou mercredi enfin le plus vite possible car avec Noyel ça va être compliqué |
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Naëlle OcarinaI swear I'm up to no good Messages : 89 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 21:49 | |
| mais arrêtez de faire des profs sexys, ça va être l'ordiiie dans tous les cours, quoi. bref, bienvenue |
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James PotterI swear I'm up to no good Messages : 100 À Poudlard depuis le : 14/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 21/12/2012, 22:14 | |
| Bienvenue |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 22/12/2012, 09:26 | |
| Naëlle - tu veux dire une orGie non ? x) J'aime beaucoup ton gif et merciiii ! Potter - Thanks |
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Ehrzeÿna N. ArkadÿevnaI swear I'm up to no good Messages : 90 À Poudlard depuis le : 16/09/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 08:15 | |
| Nah, garde Chris … Il est ultra violable, et fantasmogorique et on t'écartèle si tu changes Sinon, rebienvenue à toi, et si tu as des questions, n'hésite surtout pas !! |
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Marlowe BellI swear I'm up to no good Messages : 309 À Poudlard depuis le : 24/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 10:25 | |
| Bienvenue, superbe choix d'avatar ma parole |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 21:31 | |
| Ehrzeÿna - Owi, violes-moi Merci en tout cas Marlowe - Ravie que Chris ait autant de succès Merci |
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Susha LitchfieldI swear I'm up to no good Messages : 162 À Poudlard depuis le : 23/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 21:44 | |
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Priam J. AindréisI swear I'm up to no good Messages : 110 À Poudlard depuis le : 21/12/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 21:45 | |
| Graouh, j'aime ce genre d'accueil Surtout venant de toi Et t'as vu Priam il est encore plus sexy maintenant A moins que lui aussi tu l'aime pas, comme Rihanna |
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Susha LitchfieldI swear I'm up to no good Messages : 162 À Poudlard depuis le : 23/11/2012
| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone 23/12/2012, 21:47 | |
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| Sujet: Re: Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone | |
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| | | | Priam ~ "Because your presence still lingers here and it won't leave me alone | |
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