« Tout se mange dans cette pièce, même moi, mais ça, ce serai du cannibalisme, et c’est très mal vu par la société. »

hyppogriffe, pot de fleur, carreau, ;; la salle commune des jaunes et argent était bien vide ce matin là. beaucoup d'élève avait préféré en ce dimanche matin passer leur temps en dehors des locaux pour profiter des derniers rayons de soleil encore chaud avant l’installation de l'hiver. c'est ainsi qu'assise sur ce fauteuil prêt de la cheminée tu laissais ta plume glisser sur le parchemin déjà bien remplit pas des mots que seul toi et certaine personne a l'intelligence déjà bien posais pourrait comprendre. cette ambiance était parfaite pour écrire des lignes et des lignes sans aucune interruption bruyante de la par des demoiselle de ta maison, qui prenaient un malin plaisir à pouffer dans leur coin au moindre potin soit dis en intéressant se colportant dans les couloirs du château. la plupart du temps ces potins étaient basé sur des fait mensonger, comme par exemple le fait que potter sans vagin avait enfin déclaré sa flemme a une certaine prudence. cela devenait ridicule, puisque comme tous le monde le sait très bien, james avait un penchant pour les poils et les muscles du corps de sirius. enfin ce sujet ne dois surement pas vous intéresser. c'est ainsi que la tête baissé, les cheveux passant devant ton visage tu ne remarquas même pas une nouvelle présence sur le canapé prêt de toi. c'est après un simple raclement de gorge que tu levas enfin les yeux pour déposer ton regard sur une jeune femme que tu connaissais trop bien. nymphadora tonks. cette jeune femme âgée d'un ans de moins que toi, pourtant si différente de toi, avait prit une place très importante dans ton cercle relationnel. oui, malgré son extravagance, son sourire presque maladif, sa bonne humeur angélique, son enthousiasme parfois agaçant, tu avais su trouver en elle une amie fidèle, une meilleure amie. là sur son canapé elle te regardait, tentant comme à chaque fois d'attiré ton attention or de ces mots trop complexes. soupirant d'un sourire amusé tu posas ta plume sur le parchemin pour enfin le déposer sur la table devant toi. je présume que je ne dois pas continuer mon devoir sous peine de subir une de tes tentatives de déconcentrations ?! demandas-tu connaissant parfaitement la réponse qui sortirait de sa bouche. amusé par la situation tu te lovas dans le fauteuil pour, pour une fois laisser de côté ton devoir pour profiter de la compagnie rayonnante de la jeune femme.