NOM : Black. Un nom qui inspire autant la crainte que l'envie, la haine que l'admiration. Grande famille de sangs-purs depuis des générations, réputée dans le monde sorcier depuis des années pour ses idées fermement arrêtées sur la valeur du sang et pour sa richesse incommensurable, une nouvelle renommée est venu faire briller un peu plus le blason des Black. Orion Black a été nommé ministre de la magie. Que de pression alors sur les épaules de ses enfants qui n'ont pas d'autres choix que de garder la tête haute et de prier pour être à la hauteur. Du moins est ce le cas de l'un d'entre eux. PRÉNOM(S) : Regulus Arcturus. Regulus signifie ''petit roi'' et est une des étoile formant la constellation du lion. Quant à Arcturus, en plus d'être le prénom du père de Orion, il s'agit aussi d'une étoile. Vous étonnerez vous alors si je vous dis que Orion Black fut longtemps passionné d'astronomie ? AGE : Regulus a 18 ans, majeur depuis un an, il ne voit néanmoins pas vraiment la différence. La seule chose notable étant l'exigence de son père à son égard qui a encore augmenté. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le quatre décembre 1962, à Sainte-Mangouste - Londres. Alors que son frère avait débarqué au beau milieu de la nuit, Regulus avait tranquillement attendu le petit matin, laissant le soleil se lever sur le manteau neigeux qui avait, en une nuit, recouvert le paysage. ASCENDANCE SORCIÈRE : Sang pur. Et il y tient. Regulus a été élevé dans le respect des traditions de sangs et il a plutôt bien retenu ces leçons. Il est, comme la plupart des Black, persuadé que le statut de sang a une importance primordiale sur la qualité du sorcier. ORIGINES : Britannique, depuis des générations et des générations. Une autre tradition des Black, en plus de ne se marier qu'entre sang purs, veut que les mariages se fassent essentiellement entre anglais de pure souche. Vous comprenez pourquoi, parfois, les mariages congénitaux sont nécessaires dans ce type de famille. BAGUETTE : Un très bel objet. En bois de tilleul argenté, elle n'a pas la couleur sombre de ses sœurs. Sur le manche sont gravées les initiales de Regulus ainsi que la devise des Black ''Toujours Purs''. Plutôt rigide, elle mesure 26,5 centimètres et est prédisposée pour la médicomagie, ce qui tombe plutôt très bien puisque c'est justement le choix de carrière que souhaite embrasser Regulus. Mais ce qui fait la fierté du garçon, c'est cette goutte de venin de basilic, placée à l'intérieur du bois. Élément très rare, il fait de la baguette un objet fidèle à son propriétaire quoi qu'il arrive, allant même jusqu'à devenir terriblement capricieuse en d'autres mains mais surtout, il offre un risque de succomber à la magie noire bien plus élevé qu'avec n'importe quelle autre baguette. PARCOURS SCOLAIRE : En huitième année, Regulus suit depuis cette année un cursus de médicomagie. Il a choisi l'hypnose en matière optionnelle, un peu parce que ça rentrait dans sa formation, beaucoup parce que l'hypnose et la magie noire, ça fait un cocktail assez explosif quand on y réfléchit. POINTS FORTS : Les potions et poisons. Regulus excelle dans la préparation de potions de soins, d'antidotes et de philtres calmant. Travail rigoureux, méthodique, nécessitant calme et patience, c'est tout à fait une matière pour lui. Il connaît aussi un nombre impressionnant de potions peu recommandables, ce qui, au final, n'est pas une si mauvaise chose que ça puisqu'il est capable de fabriquer une antidotes à presque chacune d'elles. POINTS FAIBLES : L'anatomie. Bien sûr que c'est important et qu'il le sait. Et bien sûr qu'il travaille comme un dingue pour combler ses lacunes. Mais que voulez vous, tous ces noms d'os, de muscles, de veines et de cellules, il les mélange. Pourtant, Regulus sait pertinament que s'il veut devenir médicomage un jour ou l'autre, il n'a pas le choix, il faut qu'il s'en sorte. Mais bon, cela fait très peu de temps qu'il étudie cette matière, il a tout de temps de rattraper son retard. PATRONUS : Il s'agit d'un chat. Seulement, depuis quelques temps, Regulus a remarqué qu'il lui était de plus en plus difficile d'invoquer son patronus. Autrefois capable de produire un patronus corporel parfait, il ne parvient plus aujourd'hui à faire mieux qu'un chat aux contours flous, brumeux. Et bien souvent, ce n'est qu'une pauvre fumée grise qui s'échappe de sa baguette. Sans doute est-ce la magie noire qui commence lentement à grignoter tout ce qu'il y a de bon en lui, prenant de plus en plus de place dans son corps et son esprit, réduisant peu à peu en cendre sa magie blanche. EPOUVANTARD : Regulus aime son frère. Pas inconditionnellement, pas d'un amour sans tâche, pas d'un amour simple, mais il l'aime quand même. Parce qu'ils sont frères et rien, jamais, ne pourra leur enlever ça. Alors, même si Regulus ne l'avouera jamais, pour rien au monde, son épouvantard prend la forme de son frère. Ou plus exactement du cadavre de son frère, les yeux ouverts sur le vide, le visage dénué de la moindre expression, le corps baignant dans une mare de sang. PARTICULARITÉ MAGIQUE : Regulus a de très bonnes connaissances en magie noire. Au début, ce n'était qu'un passe temps, une lubie, une curiosité. Mais désormais, c'est devenu bien plus que cela. Regulus est de plus en plus fasciné par cette magie et s'enfonce de plus en plus dans l'obscurité, sans se rendre compte qu'il est en train d'y laisser son corps, son esprit et son âme.

'' Entre, Regulus ''

Le petit garçon prit une longue inspiration, destinée à se donner du courage, et poussa la lourde porte en bois. Pourtant, lorsqu'il entra dans le bureau sombre de son père, toute sa vaillance fondit comme neige au soleil. Il n'avait guère l'habitude d'être ainsi convoqué par son paternel, et cela ne lui disait rien qui vaille. Orion ne prenait jamais le temps de féliciter ses fils, de les encourager ou de leur démontrer la plus petite marque d'affection. En revanche, il ne laissait passer aucune erreur, aucun faux pas. Qu'avait donc fait Regulus pour recevoir ainsi l'honneur de pénétrer en ce lieu sacré ? Ce lieu dans lequel son père s'enfermait des heures durant en précisant à quiconque voulait l'entendre qu'il n'était pas permis de le déranger pour de futiles questions. Seul un fait grave et dramatique pouvait justifier l'ouverture de la porte du sanctuaire. Il avança de deux pas seulement. Deux petits pas timides. La porte se referma d'elle-même derrière lui et un éclair de peur passa dans le bleu électrique de ses yeux d'enfants. Il tenta d'assurer sa voix, de ne pas laisser les mots trembler, mais il ne parvint pas tout à fait à cacher la tension qui brûlait dans son cœur.

'' Vous m'avez fait demander, père ? ''

Retenant inconsciemment sa respiration, se demandant à quelle sauce il allait être mangé, Regulus attendit que son père veuille bien lever les yeux du rapport qu'il était en train de lire et daigne le regarder. Orion prit soin de terminer sa lecture, jusqu'au point final, plia méthodiquement le parchemin qu'il rangea dans un tiroir et alors, il planta son regard dans celui de son fils. Par un effort de volonté immense, Regulus ne recula pas. Cela aurait été bien mal avisé de laisser transpercer sa peur par un mouvement de fuite. Il fallait qu'il soit un homme, combien de fois ne le lui avait-il pas répété ? Orion ne laissait transparaître aucun sentiment. Il portait comme toujours son masque inébranlable de froideur et de concentration. Aucune colère dans ses yeux, aucune joie sur ses traits, aucun indice quand à ses intentions.

'' Regulus, j'ai parlé avec ton professeur de calligraphie ce matin, et ce qu'il m'a dit m'a laissé quelque peu … perplexe. Il semble que depuis quelques temps, tes efforts ne soient pas vraiment à la hauteur. Il n'a constaté aucune amélioration sur ces derniers mois. Pourtant, Merlin seul sait à quel point tu as besoin d'améliorer le maniement de ta plume. As tu une explication ? ''

Regulus détourna le regard, incapable de supporter la déception qu'il voyait briller dans les yeux de son père, incapable de faire face au reproche qu'il lui assénait. Il savait qu'il était justifié et que rien ne pourrait excuser son attitude. Pourtant, lorsqu'il avait commencé à se désintéresser du cours de calligraphie, il n'avait pas vraiment conscience de faire quelque chose de mal. Il excellait dans chacune des autres matières enseignées par les professeurs particuliers recrutés par son père. Seulement, la calligraphie, il n'en voyait pas l'intérêt. À quoi bon savoir former de belles lettres rondes ? L'important n'était pas l'esthétisme mais la justesse des phrases et des idées développées. Mais de toute évidence, Orion n'était pas de cet avis. Le regard figé sur ses chaussures, Regulus répondit d'une voix faible, bégayante, presque inaudible.

'' Je … je suis désolé, Père. ''

Mais Orion se fichait bien des excuses de son cadet. En revanche, il ne supportait pas de voir un Black se laisser ainsi intimider. Son fils, la tête ostensiblement baissée, les joues rouges de honte, faisait peine à voir. Son poing s’abattit sur le bureau en chêne et Regulus sursauta violemment. Pourtant, son regard ne se releva pas.

'' Regarde moi ! ''

Pas assez fou pour désobéir à un ordre de son père, surtout lorsque celui ci était dans une colère noire, Regulus releva timidement la tête. Son regard était empli de larmes qu'il retenait vaillamment. Il avait peur, tellement peur de la colère de son père. Et il s'en voulait tellement de le décevoir.

'' Que crois tu donc, Regulus ? Que nous payons des professeurs incompétents pour venir vous enseigner, à toi et à ton frère, des leçons inutiles ? Sache que chacun des enseignements que tu reçois est d'une importance capitale. Que tu ne comprennes pas pourquoi m'importe peu, mais je refuse de contempler l'étalage de ta paresse. Est ce bien clair ? ''

Une larme roula sur la joue du garçon. Suivie d'une seconde. Son regard avait à nouveau fuit celui de son père et s'était posé une fois de plus sur le sol. La fureur de son père était terrifiante. Pourtant, il savait pertinemment que les pleurs n'apaiseraient en rien Orion, bien au contraire. Il risquait de se mettre encore plus en colère.

'' Par Merlin, regarde moi ! Et cesse tes larmoiements puérils ! Un Black ne pleure pas, un homme ne pleure pas. Es tu une fillette ? Lève les yeux, redresse les épaules et retiens ces larmes. ''

Regulus tenta un regard vers son père mais la dureté des mots, la rage grondante de son géniteur et la honte qui s'insinuait de plus en plus en lui était trop difficile à supporter pour ce petit garçon de huit ans. Orion s'était levé, il toisait désormais son fils de toute sa hauteur, attendant qu'il obéisse à ses ordres. Mais l'enfant restait là, tremblant et larmoyant. La gifle s’abattit sur la joue de Regulus sans qu'il ne puisse l'anticiper. Il trébucha, chancela, se retrouva par terre, baignant dans les larmes et la culpabilité. Orion lui tourna le dos, insensible au désarroi de son fils.

'' Disparais. ''

Alors Regulus se releva et fila sans demander son reste.





Quelques instants plus tôt, Regulus regardait avec un air méprisant les autres gamins qui se pressaient dans la petite pièce. Quelques instants plus tôt, Regulus expliquait à une fillette aux nattes blondes pourquoi les nés-moldus n'avaient pas leur place dans la société magique. Quelques instants plus tôt, Regulus respirait l'arrogance. Mais désormais, il avait perdu de sa superbe. Les portes de la grande salle s'étaient ouvertes, et il avançait lentement vers son destin. La vue du plafond magique, des fantômes, des élèves dont les regards lui transperçaient l'échine, des professeurs qui les regardaient avancer, tout ça ne lui faisait ni chaud ni froid. Il ne voyait que le choixpeau magique, posé sur le tabouret, juste ne face de lui. L'objet qui allait décider de son destin. Il laissa tout de même son regard prendre connaissance des lieux. Un instant. Ce fut suffisant pour le repérer. Lui. Son frère. Celui qu'il ne voulait surtout pas suivre. Regulus se hâta de détourner les yeux avant que Sirius ne remarque son regard. Mais le mal était fait. La vue de son aîné avait suffit à faire encore enfler la boule d'inquiétude qui gonflait dans sa poitrine. Les paroles de son père, prononcées juste avant sa montée dans le train lui revinrent en mémoire, comme un énorme coup de poing. '' Nous comptons sur toi, Regulus.''

Bien sûr, tous les enfants de sang-pur avaient cette pression sur les épaules. Celle de tomber dans la bonne maison. Celle de suivre la tradition familiale en rejoignant les Serpentards. Au moins, il était certain qu'aucun sang-de-bourbe ne se trouverait chez l'honorable Salazar Serpentard. Cela aurait été un total non-sens. On acceptait parfois que ces chers chérubins s'écartent légèrement du droit chemin pour aller faire leurs études chez les Serdaigle, puisque personne n'avait encore rien trouvé à redire à l'intelligence certaine de cette maison. Mais les deux autres maisons étaient à éviter comme la peste si l'on voulait garder un minimum de respect et de crédibilité dans les cercles mondains. Et bien sûr, Sirius s'était retrouvé chez les Gryffondors. Il faisait de toute façon tout pour sortir du moule, pour prouver sa différence, pour échapper à ses responsabilités. Alors, c'était à lui, Regulus, de sauver la réputation de la famille. Si au moins l'un des deux Black se trouvait chez les Serpentards, il n'y aurait qu'à dire que l'autre était un accident. Un incident inexplicable mais pas tellement important. Et de toute façon, outre ses responsabilités de fils prodigue, il ne tenait nullement à mécontenter ses parents. La fureur de son père avait été tellement impressionnante lorsqu'il avait appris le résultat de la répartition de son aîné. Il n'avait aucune envie de subir les foudres d'Orion.

La répartition commençait. Avec un nom de famille commençant par la lettre 'B', il savait que son supplice serait de courte durée. Il serait vite fixé et pourrait alors pousser un long soupir de soulagement ou aller se jeter du haut de la tour d'astronomie. Et effectivement, son tour arriva bien vite.

'' Black, Regulus.''

Se remémorant les enseignements de savoir vivre qu'il avait reçut, Regulus redressa les épaules, leva le menton dans une arrogance propre aux Black et enfoui du mieux qu'il le pu sa nervosité. Il s'installa sur le tabouret, le dos raide, la peur au ventre et on lui enfonça le chapeau sur la tête.

'' Tu m'as l'air bien tendu, mon garçon. Et si on commençait par se détendre. Bien, un jeune Black n'est ce pas ? Alors voyons voir, dans quelle maison vais je bien pouvoir t'envoyer ? Je vois une implication intellectuelle certaine. Tu es un garçon studieux, n'est ce pas ? Serdaigle pourrait t'aider à assouvir ta curiosité naturelle. Mais … non. Je vois aussi une grande ambition et une détermination à tout épreuve. Tu pourras sans aucun doute faire tes preuves à SERPENTARD. ''

Le soulagement étreignit Regulus et, durant un instant, son masque imperméable tomba et un franc sourire s'afficha sur son visage. Son père serait fier de lui, il était digne des Black.



Regulus retourna la petite boite. Elle ne semblait rien avoir de particulier, si ce n'était ces petites inscriptions qui ornaient le couvercle. Fronçant les sourcils, il tenta de les déchiffrer mais il s'agissait de toute évidence d'une langue qu'il ne connaissait pas. Qu'avait-elle donc de si dangereux, cette petite boîte ? Il s'agissait d'un cadeau qu'une vieille tante avait fait à Walburga. Les adultes avaient été très clairs. Il s'agissait d'un objet très rare, très coûteux, et très puissant. Mais d'un terrible danger si on ne savait pas l'utiliser. Pourtant, Regulus ne voyait aucun danger dans ce petit écrin d'argent. À vrai dire, il se sentait même rassuré, apaisé depuis qu'il s'en était saisi. Il n'avait pas le droit de l'ouvrir, ses parents le lui avait défendu. Mais il n'avait pas non plus le droit de le toucher. Pourtant, il le tenait entre ses mains. Et rien de fâcheux ne s'était produit. Ses parents avaient du exagérer. Il ne devait pas être si dangereux de simplement jeter un coup d'oeil au contenu de la boite. Juste un coup d'oeil. Juste un tout petit coup d'oeil et ensuite, foi de Black, il la remettrait à sa place. Regulus actionna alors, précautionneusement, le petit loquet qui maintenait la boite verrouillée. À peine fut il détaché que le couvercle s'ouvrit, sautant avant même que le jeune homme ne puisse faire le moindre geste. Et de l'intérieur de la boite jaillit un filament noir, comme une épaisse fumée, qui s'étendit au dessus de la tête de Regulus, puis un autre sortit à son tour, suivi d'un autre, et encore un autre. Bientôt, une dizaine de tentacules noires se déployèrent au dessus de la boite, s'allongeant jusqu'à toucher les murs, le plafond du petit salon. Regulus était fasciné. Incapable de la moindre action, il restait là, contemplant le pouvoir puissant de la magie qu'il venait d'actionner. Pas une seconde, il ne s'inquiéta pour lui, pour la maison dont les murs semblaient absorber la noirceurs des tentacules, pour ses proches qui étaient tous sous ce toit. Il ne voyait que la magie, puissante et belle, attrayante. Tel le chant des sirènes, la magie noire avait endormi son esprit par une musique agréable, et alors qu'il imaginait pouvoir la maîtriser, c'était désormais elle qui avait le contrôle. Un dernier filament sortit de la boite, dont la couleur argentée s'était changé en un noir d'ébène, et se dirigea droit vers son cœur. La noirceur semblait habiter chaque parcelle de la pièce désormais. Les murs avaient pris une couleur sombre, qui se répandait lentement telle une coulée de peinture, les filaments emplissaient l'espace, aspirant la lumière, et Regulus lui même, au centre de ce chaos, était en train de virer au gris. Déjà, ses lèvres, ses yeux ainsi que ses ongles étaient plus noirs que l'encre. Ce qui aurait pu se passer alors, personne ne le sait. Mais les conséquences auraient pu être dramatiques. Fort heureusement, poussé par on ne sait quelle force surnaturelle, peut-être simplement par son instinct de frère aîné, Sirius fit irruption dans la pièce avant que la magie n'ait le temps de laisser des séquelles. S'il resta un instant interdit devant le spectacle effrayant qu'offrait la scène, son courage propre au Gryffondor reprit rapidement le dessus. Il se précipita sur la boîte et entreprit de l'arracher des mains de son frère. La tâche ne fut pas aisée. La boîte avait beau être simplement posée sur les paumes de Regulus, elle semblait néanmoins coller à sa peau. Mais à force d'effort et d'acharnement, il finit par s'en saisir. À son contact, le noir de la boîte se craquela, les filaments se tordirent dans tous les sens comme pris d'une douleur surnaturelle. Le dégoût clairement visible sur ses traits, Sirius balança l'objet contre un mur, sans le moindre ménagement. Les filaments commencèrent alors à régresser, entrant à nouveau dans leur écrin de noirceur. Mais ça ne suffisait pas, le tentacule qui était lié à Regulus était toujours en place. Sans doute tirait-il sa force de la faiblesse du garçon. D'un mouvement rageur, Sirius abattit son pied sur la boite. L'objet, étonnamment, se brisa alors dans une explosion étrange, libérant un nuage noir qui alla mourir contre le plafond. Le dernier tentacule avait explosé avec le reste et Regulus tomba à genoux sur le sol. Tremblant, la respiration saccadée, il leva un œil interrogatif vers son frère.

'' Qu'est ce que c'était ? ''
'' J'en sais rien. De la magie noire sans doute. ''

Sirius s'approcha de son frère, vérifiant qu'il allait bien. Mais il n'y avait rien, aucune séquelle visible. Si Regulus était légèrement plus pâle que d'habitude, il avait néanmoins retrouvé le bleu naturel de ses yeux. La noirceur l'avait définitivement quitté semblait-il. Mais ce n'était pas tout à fait vrai. Regulus venait de se retrouver face à face avec la magie noire pour la première fois de son existence, et il avait trouvé cela fascinant. Dangereux, certes. Mais fascinant. Et pour la première, il se demanda ce qu'il serait capable d'accomplir, s'il parvenait à maîtriser ce type de magie. Mais Sirius n'eut pas le temps de s'inquiéter du sourire étrange de son frère, alertée par le bruit, Walburga venait d'entrer dans la pièce, inquiète. Son regard tomba sur Regulus, toujours à terre, puis se posa sur les fragments de la boîte.

'' Mais qu'avez vous fait ? ''

Regulus sortait doucement de sa léthargie et la présence de sa mère lui faisait lentement prendre conscience de ce qu'il venait de faire. Et s'il avait pu échapper aux dangers de la magie noire, il ne pourrait rien contre la colère de sa mère. Il avait délibérément désobéit, il en paierait le prix fort. Il se redressa doucement, quelque peu inquiet quant à la sanction qu'elle lui promettrait, mais avant qu'il n'ait le temps de remettre de l'ordre dans ses idées, de chercher des circonstances atténuantes et de rassembler son courage, Sirius prit la parole :

'' C'est tout de même mieux ainsi. Puisque ce truc était tellement dangereux qu'on avait à peine le droit de poser le regard dessus, j'ai pensé qu'il valait mieux le détruire avant qu'un accident arrive. Et franchement, elle était d'une laideur cette boite. Au moins, on est tous en sécurité maintenant. ''

Regulus n'ouvrit pas la bouche. Il aurait pu démentir les propos de son frère, expliquer les véritables circonstances de la destruction de l'objet, avouer sa faute. Sirius aurait été hors de cause, serait peut-être même passé pour une sorte de héros et tout aurait été bien. Mais il ne pouvait pas s'y résoudre, c'était au dessus, bien au dessus de ses forces. Et puis, Sirius lui avait jeté un regard qui signifiait clairement ''Tais toi et laisse moi faire.'' Ou du moins était ce que Regulus avait compris. Walburga avait blêmit durant le discours de son fils.

'' Comment as tu pu … Sirius, cet objet avait une valeur inestimable, une puissance inimaginable. Cette petite boîte aurait pu permettre de … Mais quand cesseras tu donc de nous causer des ennuis. Ce que tu as fais est grave, Sirius, j'espère que tu t'en rends compte ! ''
'' Parce que mettre ses enfants en présence d'un objet maléfique, dangereux, peut-être même mortel, ce n'est pas grave ça, peut-être ? Et s'il y avait eu un accident ? ''
'' Pourquoi y aurait-il eu un accident ? Vous aviez l'interdiction de toucher à cet objet, vous êtes assez grands pour comprendre cela. Seule ta bêtise est dangereuse dans cette maison. S'il y avait eu un accident, alors tu aurais été l'unique responsable. ''

La dispute dura encore un moment. Le ton montait. Regulus regardait sans vraiment voir, entendait sans vraiment entendre. Soudainement, Sirius tourna les talons et quitta la pièce, prenant bien soin de claquer violemment la porte derrière lui. Walburga se tourna alors vers son cadet, lui proposa une tasse de thé. Encore dans un état second, le jeune homme refusa, inventa un devoir à faire et se réfugia dans la bibliothèque familiale. Il se sentait mal. Parce que désormais, il avait une dette envers Sirius. Parce qu'il devait aller le remercier. Et que remercier son frère lui arrachait les tripes. Peu à peu, la colère gronda dans ses veines, et la rage remplaça la reconnaissance. Il ne lui avait rien demandé, après tout. Pas une seconde, il n'avait eu l'impression d'être en danger. Pas un instant, il n'avait souhaité de l'aide. La magie qu'il avait découvert ne lui avait rien fait, au final. Il n'avait rien, pas la moindre séquelle, pas la moindre égratignure. Rien. Alors l'intervention de Sirius n'était pas indispensable. Elle était même inutile, déplacée. S'il lui avait laissé un peu de temps, Regulus aurait pu maîtriser cette magie, il en était persuadé. Mais non, il avait fallu que son frère vienne jouer les chevaliers servants. En fait, il était bien l'unique responsable de la destruction de la boîte. Regulus ne devait rien à son frère, il n'avait fallu qu'une once de mauvaise foi pour s'en convaincre. Il ne remercia jamais Sirius et ne s'excusa pas non plus auprès de lui. L'affaire fut oubliée et personne n'en reparla jamais.




Regulus avait entendu les cris résonner au rez-de-chaussé. Il avait entendu la dispute. Énième dispute. L'ambiance n'avait jamais été aussi électrique qu'en cet été là. La mésentente entre Sirius et ses parents avait atteint son paroxysme. Alors, Regulus ne s'était pas inquiété de ce nouvel éclat de colère. Et pourtant, s'il avait su. Mais qu'aurait-il fait, s'il avait su ? Rien. Il ne pouvait rien contre la colère de son frère. Rien contre la rage de ses parents. Et désormais, il observait, par la fenêtre de sa chambre, Sirius qui quittait la maison. Il regarda son frère sortir du la rue, sa grosse valise traînant derrière lui. Il l'entendit verser une dernière fois son venin sur sa mère. Et il l''observa alors qu'il partait. Pour toujours. Il avait toujours su, au fond de lui, que ça finirait par arriver. Il savait bien qu'il ne fallait pas grand chose, une parole trop dure, une remarque trop déplacée, pour que Sirius cesse de se faire du mal et quitte ce foyer qu'il considérait désormais plus comme une prison qu'autre chose. Il aurait pu lui demander de rester. Il n'avait qu'à ouvrir la fenêtre. L'aurait-il fait ? Serait-il revenu sur ses pas s'il le lui avait demandé ? Regulus n'en savait rien. Et il ne voulait pas prendre le risque de voir son frère ignorer ses supplications. Il avait déjà suffisamment mal comme ça. La rue était sombre. La nuit n'allait pas tarder à tomber complètement. Où irait-il ? Il quittait son foyer sur un accès de colère, sur un coup de tête, mais avait-il la moindre idée de l'endroit où il se rendrait après ? Regulus aurait pu décider de s'en moquer, de ne pas accorder d'importance au devenir de celui qui se disait son frère mais qui l'abandonnait sans le moindre scrupule. Mais il n'y parvenait pas. Il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter pour son frère. Il savait bien, pourtant, que Sirius avait plus de ressources que n'importe qui d'autre et qu'il ne mettrait pas longtemps à se faire héberger chez une fille, un ami, n'importe qui. Oui, Sirius n'aurait aucun soucis à vivre sa propre vie. Il renierait ses parents tout comme eux le renieraient. Il oublierait chacun de ces instants passé entre les murs de cette maison qu'il détestait tant. Mais lui, Regulus, il devenait quoi, dans tout ça ? Son frère allait-il l'oublier, lui aussi ? Il n'avait pas besoin de lui, Regulus le savait très bien. Il avait ses amis, les maraudeurs, avec qui il avait une vraie relation fraternelle. Le genre de relation que les deux Black n'avaient jamais eu la chance d'avoir. Non, Sirius n'avait pas besoin de son petit frère. Seulement, l'inverse n'était pas nécessairement vrai.

Regulus n'avait jamais vraiment démontré d'affection envers son frère. C'était même plutôt l'inverse. Il se faisait un plaisir de détester son frère, parce qu'il ne se souvenait que trop bien des éternelles moqueries que Sirius avait à son égard dans leur enfance, parce qu'il lui en voulait quelque peu de venir pourrir l'ambiance du foyer. Et puis, c'était plus facile de lui cracher ses quatre vérités à la figure que de lui avouer son affection. Parce que, de l'affection, il y en avait bel et bien. Mais la pudeur, la fierté, la rancune, tout ça faisait qu'ils préféraient se jeter des pierres. Mais s'il avait quelque fois mit sa fierté de Black dans sa poche, Sirius ne serait peut-être pas là désormais, sur le trottoir, s’enfonçant dans la nuit. Si seulement il avait su lui dire. Parce que des choses à lui dire, il en avait. Et pas que des mauvaises. Regulus admirait son frère. Profondément. Et il l'enviait. Une putain de jalousie qui pourrissait un peu plus leurs rapports déjà bien tendu. Parce que Sirius était populaire, que tout le monde l'aimait, et si son comportement pouvait être exaspérant, on l'excusait. Parce qu'il avait le charisme qu'il fallait. Parce qu'il savait quoi dire, quoi faire, pour se faire aimer. Alors que Regulus, à Poudlard, vivait dans l'ombre, observant plus qu'il n'agissait, un peu trop discret et réservé pour son propre bien, Sirius étincelait. Parce qu'il était un joueur de Quidditch hors pair, parce qu'il faisait partie des maraudeurs, parce qu'il avait ce grain de rébellion et de révolte qui plaisait. Mais dans le fond de son cœur, sous la jalousie superficielle, sous la haine d'enfant, il y avait cette admiration sans borne pour celui qui avait osé. Regulus n'existait que par son nom. Sirius avait réussit à exister à un point tel qu'on en oubliait son nom. Comment diable avait-il réussi un tel tour de force ? Regulus n'en savait rien, et cela le fascinait. Et puis, ce n'était pas tout. Il avait toujours admiré son courage. Celui qui lui permettait de se dresser contre ses parents. Regulus n'avait jamais osé une telle folie. Lui, il s'écrasait et il obéissait. C'était la voie qu'il avait choisi, certes, mais il ne pouvait s'empêcher de rester sans voix en voyant son frère se lever contre Orion, cet homme si terrifiant aux yeux de Regulus. Mais cette fois ci, il ne comprenait pas. Où était le courage dans la fuite de Sirius ? Et là, alors que son regard restait fixé à la silhouette de son frère, la vérité le frappa de plein fouet. Sirius était lâche. Il fuyait les difficultés, fuyait les responsabilités, fuyait les problèmes, fuyait son nom et son sang. Depuis toujours. Finalement, la voie de la simplicité, c'était peut-être Sirius qui l'avait choisie. Et Regulus se retrouvait seul, désormais, à subir la pression de son nom, à supporter le poids des responsabilités sur ses épaules, à se donner corps et âme pour rendre son père fier de lui. Une larme alla s'écraser sur le sol. Larme de colère. Larme de tristesse. Son cœur était chamboulé. Il y avait bien longtemps, pourtant, que ses yeux étaient restés secs. Mais là, dans la solitude de sa chambre, il se laissa aller aux larmes en espérant que, peut-être, Sirius jetterait un dernier coup d’œil vers la fenêtre de son cadet. Mais Sirius ne se retourna pas une seule fois. Il se contenta d'avancer, droit devant lui, et finit par disparaître de la vue de son frère.




C'était officiel. Il n'était plus seulement le fils des la famille Black. Il n'était plus seulement le fils d'une famille de sangs-purs. Il était désormais le fils du ministre de la magie d'Angleterre.

Regulus était assis là, dans le nouveau bureau ministériel de son père. Le visage grave, il ne laissait aucune émotion s'inscrire sur son visage. Et quelle émotions aurait-il pu laisser transparaître ? La fierté ? Oui, il était fier de voir sa famille à l'honneur, encore une fois. Il était fier de son père, de sa réussite. Il était fier d'être le fils du grand Orion Black. Mais il n'y avait pas que ça. La peur ? Un peu. S'il trouvait la situation terriblement excitante, il était aussi inquiet. Il n'avait déjà pas droit au moindre faux-pas avant la nomination de son père mais désormais, il ne laisserait rien passer. En soi, Regulus n'avait rien à craindre. Il avait toujours fait ce que son père lui demandait, il avait toujours agit de la bonne façon, il s'était toujours comporté comme le voulait son nom, son sang, son rang. Il n'y avait pas de raison que cela change. Il y avait juste un détail, un petit détail qui pouvait compromettre tous ses beaux efforts. La magie noire. Depuis le départ de son frère, Regulus s'était laissé plonger dans la magie noire, retrouvant l'effet grisant que la petite boite en argent avait eu sur lui. Cela n'était pas très grave avant, tout le monde savait bien que les Black fricotaient avec la magie noire, cela n'aurait pas perturbé le peuple. Mais désormais, il fallait absolument qu'il reste discret quand à ses activités. Un fils de ministre aux prises avec la magie noire serait du plus mauvais effet. Il aurait pu simplement décider de laisser tomber cette forme de magie, mais il en était tout bonnement incapable. La magie noire avait planté un crochet dans son âme et il ne pouvait plus en sortir. Pas tout seul. C'était trop tard. Mais il était prudent, il n'y avait pas de raison pour que quiconque remarque quoi que ce soit.

'' Félicitation, Père. Votre élection est méritée, vous serez sans nul doute un grand ministre. ''

Son père se contenta d'un hochement de tête, censé exprimer sa gratitude. Regulus était habitué désormais aux attitudes de son père, à ses mystères et ses secrets et il avait appris à décrypter les sentiments qu'il cachait pourtant si bien.

'' Je compte sur toi pour être à la hauteur, Regulus. Ton comportement doit être exemplaire, plus que jamais. Ma nomination ne signifie pas que tes relations doivent changer. Construits un cercle autour de toi, ne donne pas ta confiance à n'importe qui. N'oublie pas que tu ne peux compter que sur toi même. Tu n'as nul besoin de faire du social. Les sangs-de-bourbes et les sangs-mêlés ne méritent pas ton attention, surtout maintenant. Tu es au dessus d'eux, Regulus, ne l'oublie pas une seule seconde. Et ne te laisse pas monter la tête par ton frère, surtout pas. Ce n'est pas le moment. Mais tu fais déjà cela très bien. Continue ainsi. Et n'oublie pas de préparer ton avenir. Tu dois exceller en cours. La médicomagie est une branche que je n'approuvais pas, mais je dois avouer que cela donne une certaine humanité à la famille. Nous pourrons jouer là-dessus, au besoin. Mais il faut que tu montes haut, et très vite. Ton nom t'ouvriras des portes mais l'excellence sera ta seule vraie alliée. Désormais, chaque chose doit être calculée, mesurée avec la plus grande minutie, tu comprends ? Nous sommes sous le feu des projecteurs. Tu dois faire bonne impression. ''

Regulus avait écouté avec grande attention. Tout ceci, il le savait déjà. Son père lui avait répété ces recommandations si souvent qu'il était capable de les réciter, à la virgule près. Mais l'insistance de son père n'était pas anodine, il le savait bien. Il était primordial qu'il retienne chacun de ses mots, qu'il les grave au plus profond de son être et qu'il calque chacune de ses actions sur le modèle imposé. Il ouvrit la bouche pour acquiescer mais Orion tendit une main devant lui, signe qu'il n'avait pas fini et que l'attention était toujours de mise.

'' Mais ce n'est pas tout. Je compte procéder à de grands changements, particulièrement à Poudlard. Je vais avoir besoin de toi, Regulus. Pour l'instant, je voudrais que tu observe attentivement le fonctionnement de l'école. Je veux savoir tout ce qui s'y passe, tout ce qu'on tente de me cacher, tout ce que je ne peux pas voir. Garde aussi un œil sur tes camarades, surtout ceux dont les familles pourraient poser problème. Regarde, ne fais rien de plus pour l'instant. ''

Espion. Il allait devoir revêtir ce rôle pour le bon vouloir de son père. Est ce qu'il en éprouvait de la joie ? Il n'en savait rien. Juste une indifférence froide et détachée. C'était ainsi avec Regulus, il faisait ce qu'on lui demandait, sans aucun sentiment, sans aucun réel libre arbitre.

'' Bien, Père. ''

Il n'ajouta rien de plus, parce qu'il n'y avait rien à ajouter. Son père le congédia d'un geste et Regulus se leva, salua Orion Black, son père, nouveau ministre de la magie, le sorcier le plus puissant de toute la Grande Bretagne.

Moi, c'est Emilie, alias Edelweiss. J'ai dix neuf ans et je fais du RP depuis mes ... 15-16 ans, j'ai d'ailleurs presque exclusivement joué sur des forums HP. J'ai connu votre beau, magnifique, orgasmique forum sur PRD et j'ai juste ADORE ! Comme en plus le personnage de Regulus était libre, j'ai sauté sur l'occasion. Je me connecte ... trop souvent. Tous les jours. Voire trois fois par jours. Et je répond en général très rapidement aux Rps (sous 24, 48 heures, dans la mesure du possible), je n'aime pas laisser traîner. C'est mes résultats scolaires qui font la gueule d'ailleurs. Mais tant pis pour eux ! Et sinon, le trop-beau-gosse-canon sur mon avatar, say Nicholas Hoult.

Bravo Regulus Black ! Le choixpeau t'as recensé chez les déterminés et malins élèves de la maison de Salazard Serpentard. Il n'a pas hésité une seule seconde puisque l'importance du sang pur est pour toi une valeur, que tu es ambitieux et loyal envers ta famille. . Te voilà donc membre officiel de cette maison ! N'hésite pas à te rendre à ta salle commune se trouvent à cet endroit afin d'y retrouver les autres membres de Serpentard.

Ce que je peux dire sur ta fiche de présentation, c'est que tu as très bien cerner le personnage et que ta fiche est très détaillée. Tout le staff s'est mit d'accord pour te donner le rôle

Désormais que tu es officiellement validé(e), tu peux te rendre sur la CB du forum afin de mieux t'intégrer. N'hésite vraiment pas à aller voir la section du parrainage si vraiment tu as besoin d'aide personnalisée pour faciliter cette intégration au forum. De plus, ton parrain ou ta marraine sera à ta disposition le temps qu'il te faudra. Ce n'est pas une honte d'avoir besoin d'aide car on sait tous que cela peut être très intimidant de sa lancer dans le bain. De plus, tu peux flooder afin de compléter ton intégration et discuter avec les autres membres. Pour éviter les soucis dans le bottin et afin que ton avatar soit officiellement le visage de ton personnage, il faut absolument que tu ailles recenser ton avatar sans tarder à cet endroit ! C'est vraiment important car un nouveau membre peut s'inscrire en tentant de prendre ton avatar et avouons-le, ce serait vraiment embêtant. Comme pour le bottin des avatars, si tu comptes inscrire ton personnage en tant que préfet ou membre permanent de l'équipe de quidditch de Serpentard, il faudra que tu le recenses dans cette partie qui regroupe aussi les demandes de liens et de topics. Qui dit Poudlard, dit coupe des quatre maisons, remise à la fin de l'année et si tu souhaites participer à la victoire de ta maison, n'oublies pas de recenser tous les points que tu gagnes ici. Si tu le souhaites, tu peux créer une pensine à cet endroit afin d'y noter toutes tes pensées et/ou évènements de ton personnage. Pour terminer, une partie a été créée spécialement par le staff afin de vous permettre de poser des questions aux membres dudit staff. Toutes vos questions resteront invisibles aux autres mais tout cela est expliqué dans la section portant le même nom ici.