NOM : Rookwood. Il est des noms, dans le monde magique, qui sont sans équivoque. Rookwood est l'un de ceux là. Son arbre généalogique impose le respect, et personne n'ignore que la famille compte parmi les vingt huit sacrés. Une distinction qui n'a de toute évidence pas suffit à contenter la branche à laquelle appartient la jeune femme. PRÉNOM(S) : Lÿviàh pour premier prénom, la jeune femme n'en a jamais connu l'origine. Elle le doit à sa mère, et a toujours pensé que son originalité était tirée des origines vélanes de celle ci. Son second prénom, Hiseïs, est également un caprice de sa génitrice. Il n'y a guère pour le dernier, dont l'usage est rare, que son père a eu son mot à dire: Hestia, tout comme sa grand mère avant elle. AGE : vingt deux ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un vingt sept juillet, à Newcastle, en Angleterre. ASCENDANCE SORCIÈRE : Les Rookwood se sont longtemps vantés d'un sang pur irréprochable. Toutefois, voulant pousser le vice au delà même de la pureté, et revendiquant une magie plus puissante pour ses propres descendants, le père de Lÿviàh prit pour femme une vélane. De ce fait, si la jeune fille est issue de deux parents appartenant au monde magique, il n'en demeure pas moins qu'elle a le statut d'une sang-mêlée. ORIGINES : son père est on ne peut plus britannique. En revanche, Lÿviàh a également hérité de sa mère des origines bulgares. BAGUETTE : longue de 27,4 centimètres sa baguette contient en son centre un cheveu de sa grand mère maternelle, une vélane. Taillée dans un bois de chêne, elle est symbole de force, contrastant étrangement avec l'apparente fragilité de la jeune fille. PARCOURS SCOLAIRE : le choix ne fut pas aisé, et nombreuses furent les disciplines qui tentèrent la jeune femme. Mais la raison fut la plus forte, et ce fut la justice magique qui l'emporta sur le reste: les possibilités de carrière correspondaient mieux à cette ambitieuse Serdaigle. POINTS FORTS : Dès lors qu'il s'agit avoir le nez dans un livre, Lÿviàh possède des prédispositions indiscutables. Elle est douée tant pour le droit que pour les sciences politiques ou les études des communautés magiques. POINTS FAIBLES : Son caractère farouche et emporté ne lui facilite toutefois pas la tâche quand il s'agit de diplomatie. Rarement prête à faire des compromis, elle doit toutefois faire de gros efforts pour que sa moyenne en introduction à la diplomatie ne devienne pas catastrophique. En outre, et cela pourrait presque sembler paradoxal quand on porte Rookwood pour patronyme, mais le cours d'art de l’étiquette est loin de compter parmi les matières dans lesquelles elle se sent la plus à l'aise. Il faut dire que son éducation bien particulière, influencée par ses origines vélanes, ne plait pas à tous. PATRONUS : Elle se pensa pendant longtemps incapable de produire un patronus. Ca n'était pas faute d'essayer, mais rien de moins qu'un mince filet d'argent ne voulait s'échapper de sa baguette. Il lui fallu redoubler d'effort pour enfin, un jour, produire un patronus à l'apparence d'un renard. Celui ci tombe sous le sens: aussi maligne et rusée que soit la jeune femme, elle n'en reste pas moins sauvage et farouche. EPOUVANTARD : Elle est tétanisée par le feu. Probablement une façon qu'ont ses origines vélanes de lui rappeler à quel point la nature et elle sont étroitement liées: les flammes de son épouvantard lèchent sans pitié le tronc d'un arbre. Figée d'effroi devant cette vision destructrice, elle perd souvent tous ses moyens, se sentant impuissante face à la colère de mère nature. PARTICULARITÉ MAGIQUE : Alberic Rookwood eu pour caprice de renforcer le caractère magique du sang qui coulait dans ses veines et qu'il voulait transmettre à ses descendants. Il eu l'audace de souiller son sang pur et de s'unir à une vélane. Condamnant ainsi ses enfants à être semi-vélane eux même. Lÿviàh vit très mal cette part de sa personnalité, tiraillée entre son immense respect pour ses aïeux et le devoir qui leur incombe, et le volcan qui sommeil en elle. Sa personnalité emportée et impatiente, elle la doit à ses origines. Ce charme envoutant qui, si elle le désirait, lui permettrait de dominer les hommes, n'est pas plus à son goût: elle est persuadée que jamais on ne l'aimera pour ce qu'elle est, mais uniquement pour ce charme mystique qu'elle dégage.

N'étant pas très douée lorsqu'il s'agit de parler de moi, je vais faire simple: mon petit nom c'est Violaine, et j'ai fêté mes 23 ans cet été. Je suis étudiante en master, et aussi salariée, et je trouve quand même du temps pour faire du RP (appelez moi wonderwoman). J'ai connu AWTTP par bazzart, tout simplement, et c'est Tiphany qui a achevé de me convaincre de vous rejoindre! La demoiselle sur mon avatar est anna speckhart.

La vie n'est qu'une ombre qui passe, un pauvre acteur
Qui s'agite et parade une heure, sur la scène,
Puis on ne l'entend plus. C'est un récit
Plein de bruit, de fureur, qu'un idiot raconte
Et qui n'a pas de sens.

L'enfant courrait, cherchant à la hâte son jumeau dans les quatre coins du manoir. Elle guettait le moindre son, rire étouffé ou respiration lente, qui pourrait trahir la présence de son frère. Cette partie de cache cache entre les murs de la maison durait depuis un moment. La saison hivernale n'était pas idéale pour que les enfants puissent se dépenser dehors. Aussi avaient ils renoncé à écouter leur mère, qui les invitait en permanence au silence, pour se livrer à ce jeu sans conséquence. Emportée par sa précipitation, Lÿviàh se cogna contre une table basse au détour d'un couloir. Le coin lui rentra dans la cuisse, et une douleur fulgurante se fit ressentir. Pourtant, ce ne fut pas cela qui la fit stopper net. Dans son élan, elle avait entrainé au sol une plante d'une beauté rare, que sa mère chérissait tendrement. Le pot en porcelaine se brisa sur le sol, et un mélange de terre et de terreau se répandit sur le sol. La plante, elle, acheva lentement sa chute sous les yeux catastrophés d'une fillette impuissante. Pour une vélane, c'était une maladresse dont il fallait se repentir. Blesser une plante, aussi insignifiante fut elle pour n'importe qui d'autre, n'était pas un fait dont on pouvait être fier. Quelques rites pour expier sa faute, une rapide promesse jurant de veiller à ses actes et quelques mots de repentance, et tout cela était déjà du passé. Les nymphes étaient les gardiennes d'un monde unique, fragile et éphémère. En aucun cas elles ne devaient être celles qui lui portait atteinte. Mais la mère de la jeune fille n'était pas de ces vélanes raisonnables, si tant est qu'il en existait. Son caractère était encore plus impossible que celui des autres. A l'orgueil qui seyait à sa race s'ajoutait celui d'être l'épouse d'un homme influent. Elle portait sur le monde un regard dédaigneux, persuadé que sa personne était plus importante que le reste. Elle laissait s'exprimer sa colère sans y poser de limites. Sa fille en était maintes fois la victime, descendante amenée à supplanter sa mère sur le terrain de la jeunesse. Car l'âge aidant, la beauté de la génitrice se flétrissait de jours en jours, et son masque de beauté craquait peu à peu, la révélant sous son véritable aspect: celui d'une créature rongée par la jalousie envers une enfant qui viendrait tôt ou tard à attirer davantage de regards qu'elle. Ce crime qu'elle n'avait pas encore commis, Lÿviàh en connaissait déjà le châtiment, et le payait à la moindre occasion. Alertée par le bruit du pot brisé au sol, la mère de la jeune fille ne tarda pas à apparaître au détour d'un couloir. Lÿviàh enviait son frère, bien caché, ignorant la bêtise que sa soeur venait de commettre. Nul doute qu'il en serait informé par les cris hystériques de leur mère, d'ici quelques minutes. En découvrant sa fille tétanisée devant le triste spectacle qu'elle venait de produire, le masque de la vélane commença déjà à craquer. Elle leva une main menaçante qu'elle ne tarda pas à abattre sur la joue de la gamine. Celle ci retint un sanglot, sentant déjà les larmes monter aux coins de ses yeux vairons. « Espèce de petite empotée, ne sais tu donc rien faire correctement? Qui m'a infligé une enfant pareil? » Ignorant les timides excuses que sa fille marmonnait inutilement, elle semblait avoir trouvé là une occasion inespérée de décharger sur son enfant toute sa bile. Elle l'empoigna bientôt par les cheveux, ne prêtant pas davantage attention aux pleurs que Lÿviàh ne retenait désormais plus. Contrainte de suivre sa mère qui ne lâchait pas son emprise, Lÿv fut entraînée de force dans sa chambre, avant d'y être propulsée sans ménagement. De grosses larmes coulaient le long de ses joues rougies par tant d'émotions. Tandis que sa mère lui intimait vivement de ne pas quitter sa chambre jusqu'à nouvel ordre, l'enfant se laissait tomber sur son lit, laissant les sanglots convulser son petit corps. Face à elle, des yeux vairons, rappelant les siens, s'étaient portés sur elle. Bientôt, sa moitié s'extirpa de l'armoire où il avait trouvé refuge pendant leur jeu. Il lui semblait bien loin le temps où elle le cherchait avec cet immense sourire sur le visage. Sans un mot, Mævrös s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de son lit. Il posa une simple main sur son épaule qui suffit à rassurer sa soeur. Elle fut encore secouée de quelques sanglots, et fatiguée de ce qu'elle venait de vivre, s'assoupit, son frère veillant sur son sommeil.


Le coeur serré, à peine rassurée par la présence habituellement réconfortante de son frère jumeau juste derrière elle, la jeune Lÿviàh faisait ses premiers pas dans la Grande Salle, sous les acclamations nourries d'une foule habituée à ce spectacle qui rythmait chaque nouvelle année à Poudlard. L'enfant de onze ans sortait du lot sans même le vouloir: outre la beauté et la grâce qui s'échappaient de chacun de ses gestes même les plus anodins, son maintien droit et fier en étonnait plus d'un parmi les tables les plus proches. L'attente fut longue, ne faisant qu'augmenter l'anxiété qui rongeait l'enfant. Enfin, son nom fut prononcé distinctement. Une boule au ventre, Lÿviàh Rookwood s'avança, marchant droit vers ce chapeau rapiécé qui allait décider de son sort. Au contraire de son frère, elle accordait la plus grande importance au choix de sa future maison: les qualités propres à chacune allait refléter celles qui lui correspondaient véritablement. Posant le bout de tissu sur sa tête, adressant un maigre sourire à son frère, elle entendit la voix du choixpeau murmurer à son oreille. Puis, il s'écria à l'adresse de toute la salle: « SERDAIGLE! » Une gifle n'aurait pas tant fait chanceler la jeune fille. Cela ne pouvait être qu'un mauvais rêve. Elle n'avait rien contre Serdaigle, dont elle partageait bon nombre des traits. Le choixpeau ne s'était pas trompé, elle le savait, mais la tradition familiale aurait dû l'emporter sur le reste. Son frère irait à coup sûr, lui. Il aurait les lauriers tandis qu'elle ne récolterait qu'un regard déçu. Elle n'avait pas répondu aux attentes qu'on plaçait en elle. On la voyait ambitieuse, débordant d'un talent que seul Serpentard et ses nobles élèves pourraient dompter. Ce désaveux de la part d'un bout de tissu rapiécé ferait naître en ses parents une déception qu'elle n'aurait aucune envie de lire: ses visées, ses projets n'étaient donc pas aussi vivaces qu'on le pensait? Tandis qu'elle avançait d'un pas résigné jusqu'à la table qui l'acclamait encore, elle maudissait son frère, persuadée en ce bref instant que rien ne saurait se mettre en travers de sa route. Elle le connaissait mieux que personne, et lisait en lui bon nombre de qualités qui échappaient aux autres. Il était retord, et sa place était toute trouvée parmi les vert. Elle chercha son regard pour obtenir un brin de réconfort. Mais l'ignorance fut sa seule réponse. Elle attendit encore un instant, espérant avoir tord malgré tout. « SERPENTARD » Le sort jouait contre eux. Mævrös s'en alla rejoindre les siens. Il ne daigna pas tourner sa tête vers sa jumelle, ayant probablement tout de suite formulé le même constat: à présent, ils étaient séparés. Dans ce vaste château, cette nouvelle épreuve n'était pas du goût de la jeune fille. Face à l'adversité, jusqu'à présent, elle avait toujours vu son frère comme un pilier, un roc contre lequel prendre appui. Au moindre faux pas, il était là, et un simple regard suffisait à lui redonner du courage. Quelle folie avait donc prit le choixpeau de séparer Lÿviàh de son autre moitié?


Lÿviàh avait le regard vide, perdu. Malgré ses yeux rougis d'avoir trop pleuré, son air triste qui ne la quittait plus, et ses lèvres tremblotantes qui semblaient lutter pour ne pas laisser échapper un nouveau sanglot, elle gardait ce charme si propres à ceux de sa race. Digne, elle regardait avec peine le tombeau de son père. Sa mort avait été brusque, inexpliquée. Pire, elle laissait un vide que Lÿviàh ne savait comment combler. Ses efforts, ses prouesses, son envie de bien faire, tout ceci n'avait de raison que pour rendre fier un patriarche qu'elle chérissait plus que tout. Le seul homme, elle le savait, qui verrait toujours en elle bien au delà d'une simple vélane. Bien sûr, il y avait son frère, mais celui là ne comptait pas vraiment, puisqu'il partageait comme elle une condition qui lui pesait bien souvent. Lÿviàh voyait en son père le seul humain qui ne lui aurait jamais brisé le coeur. Et voilà que son trépas remettait tout en cause. Plantée entre son frère et sa mère, elle se sentait pourtant bien seule, vivant son deuil en retrait, sachant qu'ils en faisaient certainement autant. Une main vint se glisser dans la sienne. Sa mère venait de briser cette solitude dans laquelle Lÿviàh s'était provisoirement murée. D'une simple pression, elle lui rendit ce geste d'affection si rare entre elles. Elles ne se méprisaient pas, mais n'avaient jamais réussi à vraiment se comprendre. Les marques d'amour n'étaient pas chose commune. Lÿviàh savait sa mère jalouse de voir la beauté de sa fille grandir chaque jour alors que la sienne dépérissait peu à peu. Mais elle ne pouvait pas en vouloir à sa génitrice, car derrière ces colères retentissantes qu'on lui connaissait, ces gestes tendres venaient tout effacer. En cet instant plus qu'en tout autre, Lÿviàh avait besoin d'une mère, et celle ci ne lui avait pas fait faux bond. La jeune fille serra plus fort la main de sa génitrice, appréciant le réconfort que cela lui apportait. Les trois Rookwood restèrent là un moment, voyant défiler devant eux les amis et les hypocrites, venus célébrer une dernière fois la mémoire du chef de famille. A présent, c'était à Mævrös que revenait la terrible responsabilité de gérer l'héritage familial. Lÿviàh s'en sentait soulagée: il avait toujours pris soin d'elle, et sur ce point, au moins, elle savait que rien ne changerait. Mais la douleur n'en disparaissait pas pour autant. Bientôt, il lui faudrait retourner à Poudlard, reprendre le cours normal de son existence. Elle se sentait déjà coupable à l'idée de laisser sa mère seule face au deuil, dans une grande maison vide et silencieuse. Elle, elle aurait Mævrös, et tant d'autres gens pour la distraire.

Bravo Lÿviàh Rookwood ! Le choixpeau t'as recensé chez les intelligents et sages élèves de la maison de Rowena Serdaigle. Il n'a pas hésité une seule seconde puisque tu es studieuse à souhait, intelligente et disposée à la réussite. Te voilà donc membre officiel de cette maison ! N'hésite pas à te rendre à ta salle commune se trouvent à cet endroit afin d'y retrouver les autres membres de Serdaigle.

Ce que je peux dire sur ta fiche de présentation, c'est que j'en suis dingue, fana, et que je t'acceptes tel que tu es ! si t'étais pas ma soeur, je te demanderai en épousailles *_*

Désormais que tu es officiellement validé(e), tu peux te rendre sur la CB du forum afin de mieux t'intégrer. N'hésite vraiment pas à aller voir la section du parrainage si vraiment tu as besoin d'aide personnalisée pour faciliter cette intégration au forum. De plus, ton parrain ou ta marraine sera à ta disposition le temps qu'il te faudra. Ce n'est pas une honte d'avoir besoin d'aide car on sait tous que cela peut être très intimidant de sa lancer dans le bain. De plus, tu peux flooder afin de compléter ton intégration et discuter avec les autres membres. Pour éviter les soucis dans le bottin et afin que ton avatar soit officiellement le visage de ton personnage, il faut absolument que tu ailles recenser ton avatar sans tarder à cet endroit ! C'est vraiment important car un nouveau membre peut s'inscrire en tentant de prendre ton avatar et avouons-le, ce serait vraiment embêtant. Comme pour le bottin des avatars, si tu comptes inscrire ton personnage en tant que préfet ou membre permanent de l'équipe de quidditch de Serdaigle, il faudra que tu le recenses dans cette partie qui regroupe aussi les demandes de liens et de topics. Qui dit Poudlard, dit coupe des quatre maisons, remise à la fin de l'année et si tu souhaites participer à la victoire de ta maison, n'oublies pas de recenser tous les points que tu gagnes ici. Si tu le souhaites, tu peux créer une pensine à cet endroit afin d'y noter toutes tes pensées et/ou évènements de ton personnage. Pour terminer, une partie a été créée spécialement par le staff afin de vous permettre de poser des questions aux membres dudit staff. Toutes vos questions resteront invisibles aux autres mais tout cela est expliqué dans la section portant le même nom ici.