NOM : breckenridge, le nom de famille américain de son père. PRÉNOM(S) : enoch mobi aedd rhian. mais globalement, on se contentera d'enoch. AGE : 19 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : San Francisco, le premier février de 1961. ASCENDANCE SORCIÈRE : né-moldu. ORIGINES : galloises et américaines. BAGUETTE : 30cm, bois de chêne blanc, crin de licorne .PARCOURS SCOLAIRE : neuvième année, cursus journalisme et littérature POINTS FORTS : sa bonne humeur, son assurance, son humour à toute épreuve. POINTS FAIBLES : sa témérité, son côté casse-cou, son arrogance, son impudence, son j'men-foutisme PATRONUS : une hermine. EPOUVANTARD : le cadavre de sa mère. PARTICULARITÉ MAGIQUE : aucune.

Enooooooch ! Debouuuut ! Enoch balança son oreiller dans la tête de son petit frère avant de ramener la couette par-dessus sa tête et de grogner. Mais, euh ! pleurnicha Brieg. Le petit garçon attrapa le bout de la couette et tira d'un coup sec, éclatant d'un rire aigu en voyant la tête de son frère. Enoch bondit hors de son lit et coursa le petit garçon de six ans dans toute la maison, réveillant toute la famille Breckenridge, par la même occasion. ENOCH ! BRIEG ! hurla leur mère à travers la porte de sa chambre. Les deux garçons finirent leur course dans le jardin. Enoch attrapa Brieg par les hanches et le balança sur son épaule. Ah, on fait moins le malin, maintenant, p'tit lutin ! Il rentra dans la maison, son frère sur son épaule comme un sac à patates. Il alla jusque dans la chambre de leur mère, au deuxième étage, poussa la porte d'un coup de pied et largua son missile sur le lit. Marianne Breckenridge se redressa d'un coup. Lançant un regard noir à Enoch, elle attrapa Brieg et l'emporta avec elle sous la couette. Enoch quitta la chambre, souriant aux rires de sa mère et de son petit frère. Il ouvrit la première porte à sa droite et alla jusqu'à la fenêtre, dont il ouvrit les volets. Un concert de grognements s'éleva des quatre lits superposés qui occupaient la grande chambre. Les quatre filles Breckenridge émergèrent de leurs couvertures et une pluie d'oreillers s'abattit sur Enoch. Sympa votre accueil, lança leur frère en leur rendant la monnaie de leur pièce. Il se jeta sur le lit le plus proche de lui, écrasant par la même occasion sa soeur. Un étrange grognement suivi d'une longue expiration lui indiqua qu'il avait réussi son coup et que sa frangine jouait dans la même équipe que lui. Il leva la tête vers les trois visages incrédules qui le regardaient et prit un air très sérieux. Je crois que Crysten est morte. Il lança un clin d'oeil à la plus âgée des trois, tandis que les deux petites descendirent la petite échelle en trombe, se penchant vers la bosse inerte sur laquelle Enoch était assis. Tu l'as tuée avec tes fesses ? demanda Mewenn en touchant du bout du doigt la bosse que formait Crysten qui, sous les couvertures, avait mis sa main sur sa bouche pour ne pas éclater de rire. Mais nan, il l'a tuée parce qu'il est aussi lourd qu'un cachalot ! répondit Siwan en sautant elle aussi sur sa grande soeur. Crysten lâcha un grognement qui fit sursauter les deux plus jaunes. Elle fit un mouvement vif et surgit hors de la couette, les cheveux hirsutes et les mains tendues vers Mewenn et Siwan qu'elle attrapa par les hanches. Enoch se frotta énergiquement la tête, grimaçant. Le mouvement subit de sa soeur l'avait fait se cogner la tête contre le lit du dessus. Les rires provenant des trois filles attirèrent les derniers enfants Breckenridge. Bran entra, son petit garçon dans les bras. L'aîné des Breckenridge s'appuya contre la porte et montra l'amas de couvertures à son fils. Tu vois, mon canard, tes oncles et tantes sont complètement fous ! Une autre voix provint de derrière lui. T'es pas mieux, Bran ! Alayn entra, les mains enfoncées dans son short trop grand. Azilis, qui était restée à l'écart de la bataille entre ses trois soeurs sauta sur Alayn. Bonjour tout le monde ! fit alors la voix de leur mère, qui arriva, Brieg dans ses bras. JOYEUX ANNIVERSAIRE MAMAN ! lancèrent tous les enfants Breckenridge, d'une voix tonitruante.

Il ne fallut pas longtemps pour que toute la petite (grande) famille se retrouve à table, pour le petit déjeuner. Quelle formidable assemblée ! Présidée par Marianne, son petit-fils sur les genoux, la tablée des Breckenridge résonnait de rires, de blagues et de bonne humeur. Tous ces enfants et adolescents en apparence heureux n'oublièrent pas leur père : posé sur le rebord de l'imposante cheminée en briques, un cadre en bois blanc entourant une photo de Jack Breckenridge, surveillant avec amour et protection sa petite famille. Tandis que Mewenn renversait son bol de céréales, que Brieg couvrait les cheveux de Siwann de confiture de fraise et qu'Azylis et Alayn se disputaient une tranche de bacon, Enoch regardait la photo de son père. Jack Breckenridge était décédé l'an passé, d'un cancer, laissant à son épouse le soin de toute la famille. Heureusement, il y avait le travail de Marianne et de Bran, pour rapporter suffisamment d'argent à la famille, la première étant médecin, le second avocat. De plus, Azilis travaillait avec son frère et Alayn était employé dans une grande surface de Swansea. Les Breckenridge avaient donc largement de quoi vivre aisément. Pourtant, la vie de Marianne et de Jack ne leur avait pas semblé si facile, au début. Maman ! Tu nous racontes comment tu as rencontré papa ? demanda la petite Mewenn, les yeux pleins d'étoiles. Marianne posa sur ses enfants un regard emprunt de tout l'amour qu'elle avait pour eux puis, tout en donnant à manger à son petit-fils, l'enfant de Bran, elle commença son histoire. Enoch sentit Crysten poser sa tête sur son épaule.

La plupart d'entre vous sont nés aux Etats-Unis. Vous savez que c'est là que j'ai rencontré votre papa. Nous étions jeunes, à l'époque et nous fréquentions le même lycée. J'avais alors dix-huit ans et c'était ma dernière année. Tout comme votre père. Nous étions alors en 1952. La guerre était finie depuis plusieurs années, l'Europe se reconstruisait mais l'Amérique était en pleine expansion et mes parents, qui avaient fui le Pays-de-Galles en 1940, ne regrettèrent jamais de s'y être installés. Nous vivions dans une petite ville perdue au milieu des immenses champs de céréales du Kentucky. J'avais déjà repéré votre père parmi les élèves. J'étais arrivée onze ans auparavant et les habitants de notre ville nous avaient accepté sans difficultés. Mon père avait ouvert un petit restaurant, nous permettant d'intégrer entièrement le paysage. Et un jour, alors que j'y travaillais, il a franchi le pas du restaurant. Imaginez une décoration comme celle de Grease. Il s'est assis, entouré de ses copains. Je suis allée les voir pour prendre leur commande et lorsqu'il m'a regardée, j'en aurais défailli. Très naturellement, il m'a regardée et m'a demandé, comme si c'était une conversation habituelle, si je voulais l'accompagner au bal de fin d'année. Vous pouvez imaginer mon excitation ! J'ai bredouillé un "oui" et je leur ai servi des hamburgers trop grillés et un verre dans lequel j'ai versé la mauvaise boisson. Ils sont partis en se moquant, mais j'ai vu que ça ne le dérangeait pas. Nous sommes allés au bal et ce fut merveilleux. Puis l'année se termina et il fallut quitter le lycée. Mes parents étaient parvenus à conserver suffisamment d'économies pour m'envoyer à l'université de Louisville. Lui, voulut m'y suivre. Comment vouliez-vous que je lui refuse une telle chose ? Nous sommes partis tous les deux à Louisville. J'ai intégré la fac de médecine, tandis qu'il s'occupait du studio que nous avions trouvé et qu'il cherchait un travail. Et puis un jour, en allant chez le médecin, j'a appris que j'étais enceinte. De toi, Bran, ajouta Marianne en se tournant vers son aîné, qui connaissait cette histoire par coeur. Bien entendu, je lui en ai parlé directement. J'avais peur de sa réaction, mais nous nous posions les mêmes questions. Devions-nous garder cet enfant ? Et puis il m'a fait une promesse merveilleuse. Il m'a promis d'élever notre enfant pour me permettre d'aller jusqu'au bout de mes études. C'est pour cela que papa n'a jamais travaillé. Ce fut difficile, je ne vous mens pas. Nous n'avions que très peu d'argent, j'étais insupportable à cause de la fatigue de la grossesse et je n'ai pas réussi ma première année. Et tu es arrivé, au début du mois de juillet. Nous étions très jeunes, mais Jack était persuadé de pouvoir s'occuper d'un bébé, lui qui venait d'une famille si nombreuse. Ce n'est pas à vous que je vais rappeler le nombre de frères et soeurs de votre papa ! Bref. Les années sont passées et trois ans plus tard, Azilis est arrivée. Je continuais mes études de médecine et j'ai mieux réussi à allier mes cours et ma grossesse. L'habitude, peut-être. Votre père se mit à écrire des nouvelles, qui parurent dans le quotidien de Louisville. Cela nous rapporta un peu plus d'argent et nous pûmes enfin déménager. D'un studio, nous sommes passés à un petit appartement avec de grandes fenêtres. Nos voisins nous prenaient pour des fous, avec nos deux enfants et à peine vingt-trois ans. Mais nous étions heureux. Très heureux. Nous étions faits pour être ensemble et nous le savions. Deux ans plus tard, c'est Alayn qui est venu agrandir notre famille. Et, alors que tu avais un mois, votre père m'a demandée en mariage et je l'ai épousé deux mois plus tard, échangeant le nom de Marianne Carwyn pour celui de madame Jack Beckenridge. Le mariage ne fut pas des plus fastueux, mais il fut plein d'amour. Nous l'avons célébré dans notre ville du Kentucky, en compagnie de nos familles et de nos amis. Puis nous sommes retournés à Louisville. J'ai enfin terminé mes études et ai obtenu mon diplôme. Mon premier emploi, je l'ai trouvé à San Francisco et nous avons donc déménagé. C'était tout nouveau pour nous deux, puisque nous n'avions jamais été si loin de chez nous. Mais nous nous aimions et nous vous avions tous les trois, alors notre vie était forcément magnifique. J'ai intégré l'hôpital et, comme il l'avait promis, votre père est resté s'occuper de vous. Et lorsque j'avais vingt-sept ans, Enoch est arrivé. Pressé, comme toujours, s'amusa Marianne en faisant un clin d'oeil à son fils. Votre père a continué à écrire, trouvant du temps quand vous dormiez, ou jouiez. Il a finalement publié un recueil de nouvelles, qui a eu un petit succès. L'argent reçu de la maison d'édition nous permit une vie un peu facile. En 1965, c'était au tour de Crysten d'arriver. Quatre ans après, ce fut Siwen. Et puis j'ai eu envie de rentrer. J'ai toujours aimé les Etats-Unis, mais mon pays natal me manquait. Et puis les pouvoirs magiques d'Enoch étaient apparus et nous avions appris par lettre qu'il était inscrit depuis sa naissance à l'école de Poudlard. Et, selon ce que disais la lettre, l'école était en Angleterre. Alors nous sommes rentrés, emportant notre tribu avec nous. Nous avons acheté cette maison et nous y sommes installés. Mewenn est arrivée et enfin, notre petit dernier, Brieg. Enoch a intégré l'école de magie, les pouvoirs de Siwen se sont également manifestés, vous êtes entrés en primaire, au collège, au lycée. Et la mort nous a enlevé votre père, finit Marianne, déposant un baiser sur les cheveux de son petit-fils. Elle releva la tête et sourit, une larme perlant sur sa joue. Tous les regards se tournèrent vers le portrait de Jack Beckenridge qui leur fit un clin d'oeil. Ils sourirent et se regardèrent tous. Ils avaient de la chance d'être tous soudés, de tous s'aimer. Et leur malheur avait une part de joie. Enoch serra Crysten dans ses bras et échangea un regard avec sa mère. Il était fier d'elle. Fier de sa famille, de ce qu'ils étaient.



Se dévissant le cou, Enoch tenta d'apercevoir la tignasse brune de sa petite soeur dans le groupe de premières années. Wow, Enoch, y en a une qui te ressemble vachement ! lança un de ses amis. C'est elle ta soeur ? Le jeune homme se dressa autant qu'il le pouvait et croisa le regard de Siwen. Elle avait l'air impressionnée et quelque peu perdue, mais lorsqu'elle vit son frère, son visage s'éclaira d'un grand sourire. Elle lui adressa un clin d'oeil puis tourna la tête vers l'estrade. Oui, c'est Siwen, répondit Enoch à ses potes en se rasseyant. C'est bizarre, quand même, que vous n'ayez jamais su qu'il y avait un sorcier dans ta famille ! Bon, en même temps, d'après ce que tu nous a dit, c'était il y a très longtemps. Enoch haussa les épaules. C'était au 19e. Mais ma mère a retrouvé un vieux carnet dans le grenier de sa grand-mère, à Swansea. Et il était à Gryffondor. Il a décrit toute sa scolarité, il y a des centaines de pages sur Poudlard, sur le monde magique, sur les créatures fantastiques. Il a eu une fille avec une moldu et il ne lui a pas transmis ses pouvoirs. A croire qu'elle avait tout de même le gêne magique, s'amusa Enoch. Il reporta son attention sur la cérémonie de répartition. SIWEN AYDA TALLY BRECKENRIDGE, appela le professeur McGonagall. Enoch sourit. Tous ses frères et soeurs avaient, comme lui, plusieurs prénoms à consonance galloise, hérités de leurs racines à Swansea. Le Choixpeau parla alors et Enoch tendit l'oreille.Tiens, une Breckenridge ! Espérons que tu seras plus disciplinée que ton grand frère... Mmh. Serdaigle ! Enoch applaudit et vit sa petite soeur se perdre dans la foule des premières années et rejoindre la table des aigles. Il se rassit et pensa très fort à sa mère et à toute leur famille restée au Pays de Galles.

Han vas-y, un espace rien que pour moi bonjour emmy au bout du fil. 19 ans, étudiante en histoire et LCE anglais. awttp, j'crois que je l'ai trouvé en cherchant un vieux forum sur lequel j'étais et qui portais le même nom que le votre. le design est vraiment beau et non de diou, je kiffe la bannière sinon, le BG qui a la tête d'Enoch c'est SEXY BEN BARNES avouez, les filles, là vous êtes toutes amoureuses d'Enoch Breckenridge

Bravo Enoch M. Breckenridge ! Le choixpeau t'as recensé chez les courageux et téméraires élèves de la maison de Godric Gryffondor. Il n'a pas hésité une seule seconde puisque tu es aussi téméraire que casse-cou, à l'image de nos chers maraudeurs.. Te voilà donc membre officiel de cette maison ! N'hésite pas à te rendre à ta salle commune se trouvent à cet endroit afin d'y retrouver les autres membres de Gryffondor.

Ce que je peux dire sur ta fiche de présentation, c'est que BARNEEEES AHHHHHH (non je bave pas.) Nah j'ai beaucoup aimé le côté soudé de la famille, c'est touchant !

Désormais que tu es officiellement validé(e), tu peux te rendre sur la CB du forum afin de mieux t'intégrer. N'hésite vraiment pas à aller voir la section du parrainage si vraiment tu as besoin d'aide personnalisée pour faciliter cette intégration au forum. De plus, ton parrain ou ta marraine sera à ta disposition le temps qu'il te faudra. Ce n'est pas une honte d'avoir besoin d'aide car on sait tous que cela peut être très intimidant de sa lancer dans le bain. De plus, tu peux flooder afin de compléter ton intégration et discuter avec les autres membres. Pour éviter les soucis dans le bottin et afin que ton avatar soit officiellement le visage de ton personnage, il faut absolument que tu ailles recenser ton avatar sans tarder à cet endroit ! C'est vraiment important car un nouveau membre peut s'inscrire en tentant de prendre ton avatar et avouons-le, ce serait vraiment embêtant. Comme pour le bottin des avatars, si tu comptes inscrire ton personnage en tant que préfet ou membre permanent de l'équipe de quidditch de Gryffondor, il faudra que tu le recenses dans cette partie qui regroupe aussi les demandes de liens et de topics. Qui dit Poudlard, dit coupe des quatre maisons, remise à la fin de l'année et si tu souhaites participer à la victoire de ta maison, n'oublies pas de recenser tous les points que tu gagnes ici. Si tu le souhaites, tu peux créer une pensine à cet endroit afin d'y noter toutes tes pensées et/ou évènements de ton personnage. Pour terminer, une partie a été créée spécialement par le staff afin de vous permettre de poser des questions aux membres dudit staff. Toutes vos questions resteront invisibles aux autres mais tout cela est expliqué dans la section portant le même nom ici.