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| I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) | |
| Auteur | Message |
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 22/12/2012, 17:44 | |
| devotchka - how it ends Six nuits qu'il ne dort pas, six jours qu'il est dans cet état, et qu'il croit que ça va passer. Il croyait. Depuis ce matin il sait que ça ne passera pas, il sait qu'il faut qu'il se fasse soigner, il l'a admis. S'il avait su, il y serait allé plus tôt, mais un rhume, ça passe normalement en deux jours. Ce n'est peut-être pas un rhume. Ces derniers jours, il a eu du mal à avoir les idées claires, il a comme le cerveau vide, mais il a quand même assisté le professeur, il a quand même travaillé. Deuxième erreur. Se promener en chemise légère partout dans Poudlard, ça aussi, c'est une erreur, ça lui apprendra. Aujourd'hui, il est à moitié en pyjama, à moitié en tenue de travail, mais ce n'est pas ça qui fait le plus peur. Ce qui fait peur, c'est son nez rouge, à vif à force de moucher, ce qui fait peur, c'est ses yeux explosés de fatigue, ce qui fait peur, c'est sa mine de déterrer, et sa toux caverneuse. Il marche en se tenant la tête, par Merlin, c'est qu'il a l'impression d'avoir un foutu marteau dans la tête, un marteau qui donnerait des grands coups partout sur son crâne. Sans cesse sa main va vers son nez pour essuyer ce qui en coule, à force, il a des courbatures. Son nez lui fait mal, sa gorge est en feu, ses yeux se ferment d’eux-mêmes, ses amygdales sont à vif. Il titube dans les couloirs, il a l’impression qu’il va mourir. Sur son passage, les élèves se retournent. Plus aucune fille ne le trouve plus attirant. Mais alors, pas du tout. Il y a dix minutes, il a été en salle des professeurs, il est entré, il a croisé quelqu’un, il ne sait pas qui c’était mais il lui a dit : « Prévenez que je ne travaillerai pas aujourd’hui. Merci. » Et puis il a pris le chemin de l’infirmerie. Il la cherche toujours, il rêve du moment où il finira par trouver sa voie, il rêve du moment où on va lui administrer le médicament qui le fera dormir. Il se fiche bien de guérir, au point où il en est. Dormir, il veut tout simplement dormir. Dormir jusqu’à ce qu’il guérisse. Il croit enfin atteindre l’infirmerie, la pièce dans laquelle il entre sent très fort le désinfectant, si fort que même lui sent l’odeur, c’est ça, ça y est, c’est l’infirmerie. Il voit quelqu’un. Il appuie sa main sur cette personne pour arrêter de chanceler, il lui dit : « Je veux dormir, faites moi dormir s’il vous plait. » Il est tant dans les vapes qu’il ne remarque même pas, il ne remarque pas que c’est elle. Trop fatigué. Elle, elle sait que c’est lui. Il va s’affaler sur un lit. Il ferme les yeux. Il aimerait dormir. Il n’y arrive pas. Il faut qu’on lui donne quelque chose. Il va mourir, bon dieu, il va en mourir. - Spoiler:
pardon c'est court
Dernière édition par Ulysse Milner-Price le 23/12/2012, 17:48, édité 2 fois |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 23/12/2012, 09:23 | |
| personne depuis des heures. soupirant tu te laissais tombé comme une loque sur la chaise du bureau principal. seule. voilà que l'infirmière avait encore eu à faire, ayant une grande confiance en toi elle avait laissé son antre à ta personne. malheureusement son monde devenue pour quelques heures le tiens devenant bien maussade. l'ennuie te cagnas rapidement, déposant tes pieds sur le bureau principal tu soupiras croisant les bras sur ta poitrine caché derrière cette blouse blanche que tu avais revêtu au dessus de ton habit d'étudiante. soupirant tu cherchais de quoi t'occuper pourtant aucun livre sur la bibliothèque n'avait trouvé solution à ton problème. soupirant, fermant presque machinalement les yeux dans l'espoir de trouver une once de repos tu entendis la grande porte s'ouvrir à volo. te levant assez courageusement, prenant rapidement la direction de la salle principal pour tomber nez à nez avec cet homme. là devant toi, le nez d'un rouge digne de la période de noël, les yeux tentant à la fermeture il se jeta presque dans tes bras en signe de faiblesse. là contre ton corps des mots sortirent avec difficulté de ses lèvres Je veux dormir, faites moi dormir s’il vous plait. avant de se lasser de toi pour s'affaler sur un lit non loin de là. tournant frénétiquement les talons tu te précipitas dans le bureau pour confectionner une de ses potions contre l’insomnie et le rhume ayant prit grande possession de son être. revenant après quelques minutes tu glissas une main contre sa nuque pour lui relever la tête avant de laisser couler dans sa gorge la dite potion de sommeil. c'est d'un petit sourire que tu reposas sa tête contre le coussin laissant l'assistant reprendre pied dans les bras de Morphée. faisant ainsi volte face tu te dirigeas vers le bureau jugeant les lits de sa petite hauteur. t'y installant tu tentais de retenir ton regard se posant presque obligatoirement sur l'homme allongé non loin de toi. un ange, dormant, planant dans les nuages.. si mystérieux, même dans cet état t’intriguant depuis la première fois. tu l'observes et sourie, il t'offre une certaine joie dont tu ne connais la cause, il offre à ton cœur un réconfort non mérité. les heures passent et tu le regarde le fixe sourie a cette attitude qu'il a quand il songe. pourtant après quelques heures il ouvre enfin les yeux te relevant tu t'approches dangereusement allez vous mieux monsieur Price ?! interrogeais tu cherchant son regard de cette première conversation..
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 23/12/2012, 20:24 | |
| Il lui faut deux minutes pour s’endormir. À peine. Juste le temps que la potion fasse effet. Il sent à peine sa main, à elle, s’attarder sur sa nuque. Et une fois tombé dans les bras de Morphée, sentir le regard, pourtant très présent, qu’elle pose sur lui lui est impossible. S’il a vite trouvé le sommeil, les rêves mettent du temps à venir, au début, ce sont même des cauchemars. Des cauchemars comme quand il en avait quand il était encore un enfant, des cauchemars incluant bêtes affreuses à mille têtes et mauvais sorciers. Il est dans une grande maison sombre, peut-être celle dans laquelle il n’a pas vécu une enfance heureuse, et il regarde une horloge qui se transforme tantôt en dragon, tantôt en hippogriffe, si vite que c’en devient difficile à suivre. Il s’agite dans son sommeil, il se tourne et se retourne, il cherche des mains quelque chose, il cherche son nounours, celui-là même qu’il cherchait quand il était enfant et faisais ces rêves-là, mais maintenant il est grand, il y a longtemps qu’il n’a plus besoin de ce nounours quand il fait des mauvais rêves. Et puis il y a longtemps qu’il ne fait plus de mauvais rêves. Et puis il y a longtemps qu’il a perdu son nounours. Les cauchemars s’éclaircissent, pour devenir des rêves, des rêves rassurants, aux couleurs gaies et pâles, des rêves tout doux où elle est là, à veiller sur lui, exactement comme elle est en train de le faire dans la vie réelle, hors de ses rêves. Il rêve souvent d’elle. Si elle a tendance à parfois l’énerver dans la vie de tous les jours, ce n’est pas le cas dans ses rêves, dans ses rêves, elle est souvent là, et elle le rend souvent heureux. Il la voit s’en aller, il essaie de la retenir mais elle refuse de se laisser faire, elle s’enfuit loin de lui, il crie son nom alors qu’il ne le connaît même pas, en fait il crie un nom complètement au hasard. Retour au cauchemar. Les décors sont sombres et ne semblent pas prêts à le laisser s’enfuir lui aussi. Alors le cerveau, ou quoi qu’est-ce, reprend le dessus, et il se réveille. Le réveil est brutal. Plus brutal encore que l’endormissement. Il voudrait regarder où il est mais impossible de bouger sa tête, elle semble peser une tonne. Il entend une voix. « Allez vous mieux monsieur Price ?! » Il ne reconnaît pas la voix, parce qu’il ne l’a jamais entendue auparavant. S’il était dans son état normal, il identifierait le visage penché au dessus de lui, mais il n’en est pas non plus capable, cette fois, c’est sa maladie la responsable. Le visage près de lui est flou. Mais il lui parait très beau, et il aime ce qui est beau, ça le rassure, alors il fait un effort pour voir plus clair, il se frotte les yeux, et alors, il voit. Il voit ce visage. C’est étrange, d’ailleurs, de le voir de si près, il ne se souvient pas d’avoir jamais été si près d’elle, et c’est parce qu’il ne l’a jamais été du tout. Il hésite à la repousser, après tout elle est en train de respirer ses microbes. Il gémit de douleur en posant la même sur son front, brûlant. Ou alors, c’est sa main qui est chaude. En fait, tout son corps est à une température élevée. S’il était dans son état normal, il bombarderait cette fille de questions, il aurait le courage, elle est si près qu’il n’aurait pas d’autre choix, mais il est tout sauf dans son état normal, alors il ne dit rien, il lui est même plutôt reconnaissant d’avoir réussi à le faire dormir. D’ailleurs, il lui murmure un « merci » très peu audible de sa voix de malade et espère qu’elle l’entend. Il la fixe, penchée au dessus de lui, il ne sait pas ce qu’elle attend de lui, depuis tout ce temps où elle l’observe, il ne l’a jamais su. |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 23/12/2012, 20:44 | |
| ses yeux s'ouvrent sur toi, là penché au dessus de lui, l'observant comme à ton habitude. pourtant ton regard se fait plus inquiet, plus soucieux, le remède administrait n'a fait que l'endormir non le soigner. inquiète, attendant un signe de sa par. là allongée il se met à râler, un râle de douleur s'échappant de sa bouche, une main grimpant rapidement sur son front. la maladie le consume peu à peu pourtant il revint à sa position initiale, trop faible pour faire un autre geste. là il cherche ton regard, pour la première fois il le rencontre et plonge la tête la première dans le tien. merci murmura-t-il d'une manière presque inaudible. un frisson parcours rapidement ton être, sa voix, si indescriptible et pourtant si douce malgré cette gorge se nouant a l'idée de devoir répondre à la moindre question. tu souris presque timidement a ce remerciement avant de tourner les talons. timide, si discrète, face à lui, tu aimerais fuir encore comme tu sais si bien le faire, et pourtant il ne pourrait faire le malade imaginaire. alors d'un pas sérieux tu retournes dans le bureau principal. là tu cherche, fouille un moment dans le placard d'un blanc immaculé ou se dispose une multitude de fiole et de plante dont les noms restes encore pour certaine flou. pourtant tu là trouve, cette petite fiole a la couleur mauve, brillante et presque appétissante. le sourire aux lèvres tu reprends la direction du jeune homme agonisant dans ce lit chaud et inconfortable. tu t'approches, le regard tourné vers le sol. intimidé par cette présence, il est si proche de toi, il te dévisage de haut en bas, il t'observe comme il ne l'a jamais fait. si proche.. là prêt de toi, comme un espoir se réalisant enfin.. tes mains se crispés un instant sur la fiole avant de la dé bouchonner d'un cou sec et sonore. relevant la tête tu t'approchas à nouveau de lui repassant une main délicate contre sa nuque, contre sa peau. si douce, caché par quelques boucles de ses cheveux d'une couleur si profonde, tu t'y arrête un simple instant comme pétrifier par ce contact pourtant renouvelé.. reprenant tes esprits tu soulèves à nouveau sa tête pour lui laisser boire ce liquide mauve. quand la fiole fut vide tu relaissas tomber sa nuque avec douceur sur le coussin ayant déjà prit la forme ovale de son occupant. cette potion va atténuer votre mal de gorge.. ensuite quand vous aurez retrouver l'utilisation de votre voix, je vous demanderez de me décrire vos symptômes que je puisses prendre soin de vous.. enfin vous soigner.. avouas tu presque dans un murmure, perdant le regard là devant toi.
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 24/12/2012, 10:34 | |
| Depuis qu'il est malade, il n'a pas fumé une seule cigarette, il n'en a même pas touché une, il savait que ça ne ferait qu’aggraver son état, mais là, tout de suite, il aurait vraiment envie d'une cigarette. Il a la bouche très sèche. Il vaudrait mieux qu'il boive, ce n'est pas une cigarette qui va stopper son envie de boire, mais il a quand même envie d'une cigarette. Il n'y en a aucune à portée de lui. Tout ce qu'il a à portée de lui, c'est elle. Pourrait-elle l'aider à ne plus avoir la bouche sèche ? Bon. Assez pour l'humour nul. Il la sent partir, il la voit disparaitre de son champs de vision. Il a l'impression d'être revenu dans son cauchemar, celui où elle s'enfuyait et qu'il ne pouvait pas la suivre, mais il a à peine le temps de cligner des yeux qu'elle est déjà revenue. Dans sa main, une fiole. De son autre main, elle lui soulève la tête pour faciliter l'administration du liquide. Et lorsque c'est fait, il sent qu'elle n'enlève pas sa main, il sent que sa main s'attarde sur sa nuque, ce n'est pas pour lui déplaire, elle a les mains fraiches et douces. Elle est tout le contraire de son corps tout entier à lui, qui est brûlant, presque sale. Elle repose sa tête sur l'oreille, et cette voix, à nouveau : « cette potion va atténuer votre mal de gorge.. ensuite quand vous aurez retrouver l'utilisation de votre voix, je vous demanderez de me décrire vos symptômes que je puisses prendre soin de vous.. enfin vous soigner.. » Il n'a pas remarqué le vouvoiement la première fois, mais là si, et ça l'étonne. Ils ne se sont jamais parlés, c'est vrai, et il fait parti du personnel, c'est vrai, mais il s'était attendu à plus de familiarité, elle passe tellement de temps à le regarder que c'est comme si elle le connaissait, non ? Il note aussi la façon qu'elle a eu de dire « prendre soin de vous », si douce. Il est dans un tel état d'achèvement qu'il est ému. Il commence à se sentir mieux, il sent que la potion au goût sucré et agréable fait un peu effet, c'est bizarre ce goût sucré dans sa bouche, il est si habitué au goût du tabac. Il doit sentir si mauvais, en fait, quand il embrasse les filles. Les filles. La fille, celle qui se tient devant lui, celle qu'il fascine, elle est là, près de lui, elle ne bouge pas, elle ne dit pas un mot, elle attend qu'il aille mieux, ou peut-être qu'elle a peur que son état s'aggrave, après tout, il donne l'impression de revenir d'on ne sait où. Elle ne lui parle pas parce qu'elle doit penser qu'il n'est pas encore en état de le faire. Lui croit que même quand il sera en mesure de discuter avec elle, elle ne parlera pas. Là, si près de lui, elle semble beaucoup moins fière que quand elle l'observait de loin. Une douleur atroce soudain lui scie la tête en deux et il saisit la chose la plus proche de lui, c'est-à-dire sa main, à elle, et la serre de toute ses forces. Et puis plus rien. La potion, celle au goût sucré, voilà qu'elle l'a guéri. Il expire, fort, longtemps. Il se rend compte qu'il tient toujours sa main. La lâche. S'excuse pour avoir serré si fort. Se présente comme Ulysse Milner-Price. Il lui sourit.
Dernière édition par Ulysse Milner-Price le 25/12/2012, 15:00, édité 1 fois |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 24/12/2012, 14:51 | |
| allongée là prêt de toi il te regard, te dévisage comme si c'était la première fois qu'il posait son regard sur toi. il t'intimide, fuyant son regard, attendant une réaction de sa par, un geste un mot. pourtant rien, le silence, pesant sur ce environnement si incertain. pourtant il rompt rapidement la situation levant sa main rapidement la déposant sur la tienne, la saisissant la serrant avec force. il tiens ta main fermement, prit d'une certaine douleur dont tu ne pourrais décrire la cause. pourtant après un instant il relâche son étreinte gardant pourtant ta main dans la sienne, là comme si tout cela était naturel. perdu, totalement désappointé par cette situation tu n'ose bougeais d'un millimètre de peur de rompre ce contact si irréel.. pourtant il lâche ta main comme surpris par son habitude. tu souris bêtement regardant le sol, il s'excuse, souris te regard. relevant la tête tu trouves son visage ses yeux son sourire tendre. il t'intimide, depuis la première fois, depuis qu'il a passé la porte de la serre numéro trois, qu'il a sourit au reste des élèves et qu'il à croisé ton regard. tu aimes le regarder, l'observer le dévisageais. il t'intrigue, il t’intéresse et pourtant tu ne saurais être plus proche de lui qu'à cet instant. pétrifié par sa présence, comme insaisissable, il est cet homme que tu aimes regarder de loin, cet homme dont tu espère décrire un jour la douceur de ses lèvres.. il t'obsède et pourtant, bien trop discrète n'osant pas l'aborder n'y même lui parler. tu reste loin en silence cherchant son regard et rêvant parfois d'une rencontre intime et délicate. ton regard dans le sien tu secoues la tête revenant sur terre, le sourire aux lèvres tu ouvres à nouveau tes lèvres que vous arrive-t-il ?! demandas tu simplement a ce jeune homme allongé là prêt de toi ayant croisé pour la première fois ton regard sans le quitter. tu espères qu'il réponde, qu'il te parle enfin, qu'il cherche un autre contact que vos simples regard. attendant sa réponse tu t'éloignes un instant de lui, passant au pied de son lit pour saisir sa fiche et y noter les premiers soins administrés. ta plume ne tremble pas, sérieuse, et professionnelle. te ressaisissant derrière ce bloc de papier, laissant ta plume y glisser, oubliant qui il était, ce garçon t’obsédant depuis son arrivé.. - Spoiler:
réponse réellement moyenne je m'en excuse.. je me rattraperais.
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 25/12/2012, 16:45 | |
| Il lui dit que ce n’est rien. Que ça va. La douleur est passée. Et il se rappelle à peine ce qu’il s’est passé depuis qu’il est arrivé. Il se surprend de voir sa main trainer dans celle de la fille, cette fille. Il la voit prendre un calepin, quelque chose de cet ordre. Il comprend. Il lui dit « Je suis sorti, l’autre soir, fumer une cigarette, ma dernière de la journée, je suis allé me coucher, et le matin, en me levant, j’avais une crève monumentale. » Première conversation banale, mais il n’est pas censé y avoir une grande conversation, si ? Il n’est pas supposé savoir ce qu’elle aimerait l’entendre dire. Il n’y a pas d’enjeu pour lui. C’est elle, qui le regarde. Tout le temps. Il ne le sait pas, parce qu’il est allongé et que tout ce qu’il peut voir, c’est elle, mais dehors, il fait un grand soleil, et un vent très froid souffle sur les arbres et leur arrache leurs feuilles. S’il le savait, il serait ravi. Il aime vivre sous ce temps, il aime y fumer, il aime sortir avec des filles par ce temps-là. « Tu penses que je pourrais partir quand ? Je ne tiens pas à dormir ici, mais s’il le faut, et si ça me permet d’avoir droit une nouvelle fois à boire ce truc qui m’a fait dormir certes mal mais dormir tout de même, je le ferais. » Il est toujours faible, crevé, mais il retrouve peu à peu ses forces, son assurance. Et lui parle comme il parlerait à n’importe qui d’autre. N’importe quelle autre fille. Encore une fois, il n’y a aucun enjeu pour lui. Il choisit d’être direct avec elle, au contraire d’elle, qui prend mille précautions, parce que c’est ce qu’il l’a toujours gêné à propos de leur « relation », cette manie qu’elle a de le regarder de loin, passivement, ça l’a toujours gêné. Il ne comprend pas, pourquoi elle l’a toujours observé de loin. Il est en train de la regarder, de près, elle écrit probablement ce qu’il lui a dit sur le papier. Il est en train de la regarder de près, il suit son écriture progresser sur le papier, il suit son regard qui lit ce qu’elle écrit, au fur et à mesure qu’elle l’écrit. De près, il est capable de voir tellement plus de choses, des choses qu’il n’aurait jamais pu voir de loin, comme la gracieuseté de ses traits, ses poignets fins, ses doigts menus, des doigts comme il aime y mêler les siens. Son regard se fixe sur sa clavicule droite, celle qui n’est pas cachée par ses cheveux, et il se surprend à être passionné par cette clavicule. Et est étonné de cette fascination incongrue. Ce n’est qu’une clavicule. Pendant qu’elle continue d’écrire, il imagine sa clavicule gauche, et il se demande si elle est si belle que la droite, il les imagine similaires, lui. Il repense à quel point, il y a une semaine encore, ça pouvait à la fois l’énerver et l’intriguer, cette façon qu’elle avait de le regarder de loin. Et il pense qu’il aurait du aller la voir, dès que ça a commencé. Aurait du aller lui parler. Ils en auraient épargné, du temps. Parce que maintenant qu’il est à proximité d’elle, il a envie de la connaitre. Elle est belle. Douce. Qu’elle veuille seulement pouvoir le regarder de loin, ça ne lui effleure même pas l’esprit. Même pas. Il la regarde et sourit, encore. Elle n’écrit plus, elle le regarde aussi. Il se lance. « Me regarderas-tu toujours autant, maintenant ? Ta fascination pour moi demeurera-t-elle la même ? » Il a l’impression de la draguer. Et il la drague. Il se trompe. Il s’y prend mal. C’est la seule fille qu’il ne devrait pas draguer. Il continue : « Je ne sais même pas ton nom… » Il se trompe sur toute la ligne. |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 25/12/2012, 18:34 | |
| plume à la main tu la laisse rapidement glisser sur le parchemin obligatoire à chaque patient passant entre tes mains. nom, prénom, maison, ou profession, tout doit y être tu ne dois rien oublier de peur d'être sanctionné. tu ne lèves plus les yeux de cette feuille attendant qu'il te réponde, qu'il te parle à nouveau et qu'il t'explique la cause de chacun de ses maux. Je suis sorti, l’autre soir, fumer une cigarette, ma dernière de la journée, je suis allé me coucher, et le matin, en me levant, j’avais une crève monumentale. simplement, une gros rhume ayant prit possession de son corps. rien de grave, une de ses maladie de moldue trainant dans les couloirs. tu avais vue bien pire durant ces quelques semaines de stage, des sort lançaient ayant eu pour cause des boutons multicolores ou une langue s'allongeant à la demande ou pire encore des jambes sauteuses incontrôlable. certes rien de grave à appeler sainte mangouste, heureusement dans un sens.. laissant l'encre couler sur la page tu notais les symptômes récurant que tu aurais à traiter rapidement pour éviter une contamination. écrivant tu ne fis presque pas attention a son regard s'étant à nouveau posé sur toi qui fut rapidement accompagné de nouvelles questions Tu penses que je pourrais partir quand ? Je ne tiens pas à dormir ici, mais s’il le faut, et si ça me permet d’avoir droit une nouvelle fois à boire ce truc qui m’a fait dormir certes mal mais dormir tout de même, je le ferais. t'interrogeas-t-il attendant une réponse de ta par. pourtant malheureusement, ou heureusement pour lui il ne passerait que quelques heures en ta compagnie. ensuite tu lui rendrais sa liberté lui permettant de retourner a ses habitudes et ses manières dont lui seul avait le secret. tu écris et écris encore rédigeant tout ce qui peut être à rédiger, n'oubliant aucun détail, espérant ainsi ne devoir croiser à nouveau son regard. pourtant tu arrives rapidement à la fin de ta rédaction, malheureusement il est trop prêt pour que tu face semblant, alors dans l'obligation de trouver cette vue tu relevais tes yeux noisettes pour trouver son regard qui ne manqua pas de t’emprisonnai Me regarderas-tu toujours autant, maintenant ? Ta fascination pour moi demeurera-t-elle la même ? une question sortit de nul part, esperant même que celle-ci ne pourrait être réel. pourtant il te l'avait bien posé. Je ne sais même pas ton nom… ajouta-t-il presque rapidement comme si cela avait de l'importance. non, tu ne pouvais répondre à sa première question sincèrement, tu ne pouvais lui avouer qu'il était une fascination devenue addictive, l'une d'entre elle dont on ne saurait se séparer au profit d'une autre. non. il restera le même, là loin de toi, assis a son bureau ou à la table des professeurs, se laissant observer en silence, par moment souriant a ta vue et le reste du temps t"ignorant comme le reste du monde. c'est ainsi que tu redisposas sa fiche au pied du lit pour reprendre une place plus proche de malade. là tu passas une main dans tes cheveux avant de répondre a l'une de ses toute première question vous pourrait partir dans quelques heures quand vos maux de têtes auront totalement disparue. je ne veux pas risquer de vous renvoyer malade. par ailleurs je vous donnerais une fiole de cette potion pour cette nuit. la nuit prochaine si votre insomnie persiste je vous donnerais quelques chose de plus fort. insistas-tu avant de reculer d'un pas. tu ne pouvais répondre a cette question si gênante alors, tu l'esquivas. absinthe castiel potter. avouas-tu simplement, là debout comme un piqué attendant la moindre réaction.
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 26/12/2012, 13:06 | |
| Elle secoue ses cheveux d'une main, avant de dire, professionnelle « vous pourrait partir dans quelques heures quand vos maux de têtes auront totalement disparue. je ne veux pas risquer de vous renvoyer malade. par ailleurs je vous donnerais une fiole de cette potion pour cette nuit. la nuit prochaine si votre insomnie persiste je vous donnerais quelques chose de plus fort. » Elle recule d'un pas. S'écarte de lui. Il attend la suite, mais rien. Et puis « Absinthe Castiel Potter. » Plus rien. Il ne saisit pas. Il est à l'ouest, encore un peu, c'est sur, mais il est presque persuadé, même complètement persuadé, d'avoir dit autre chose. Et qu'elle l'a ignoré. C'est quoi ? Du mystère ? C'est donc ainsi ? Il est condamné à devoir se laisser regarder ? Seulement cela ? Et rien de plus ? C'est ça, qu'elle attend de lui ? Il ne comprend pas. Et dans sa tête, toujours la même question, qu'est ce que tu attends de moi ? Visiblement, juste le fait d'être là. Et d'être « regardable ». Qui est-elle ? Mystérieuse ? Timide ? Gênée, honteuse ? Poule mouillée ? Indécise ? Timide. Surement. Il tenterait donc bien une petite blague sur son nom, mais non, il n'a pas la foi de se faire envoyer bouler, encore une fois. Puis il ne doit pas la draguer, même pas essayer, pas elle, mais ça, il ne l'a toujours pas compris. Il la regarde comme si il attendait d'elle qu'elle dise autre chose. Qu'elle ne se contente pas de rester plantée là, devant lui, comme tétanisée. Timide ? Oui. Il a été rejeté par d'autres femmes, avant elle, bien sur, mais est-il nécessaire de répéter encore une fois que cette fois diffère des autres ? Ce n'est pas qu'il refuse qu'une fille lui résiste, ce n'est pas ça. Il pensait seulement qu'après tout ce temps passé à se regarder, il aurait le droit de lui parler, et d'autre chose que son rhume, mais il semble que ce soit interdit. Elle est timide. Et lui est désemparé. Leur relation ne peut donc t-elle pas évoluer ? Ils ne se recroiseront probablement pas. Il est rare qu'il assiste le cours de botanique où elle est, il ne vient jamais à l'infirmerie, où elle semble travailler, à part aujourd'hui. Il a méchamment envie d'une cigarette. Soudain c'est la colère. La colère qui prend le dessus sur la surprise de ce silence. La colère, et l'impression de n'être qu'un objet, un truc qu'on regarde sans se gêner, mais à qui on n'adresse que la parole pour des banalités. Ce n'est plus timide qu'il l'imagine. Hautaine, peut-être. À le fixer comme ça, partout où elle peut, quand elle peut, et à refuser comme ça de lui parler. Elle n'en a pas l'air, pourtant. Hautaine. Mais il est en colère. « Je vais dormir un peu », il annonce, sec. Et il tourne le dos. Résolument. De façon boudeuse. Reste de l'enfance. Vite, il se rend compte qu'il n'a pas besoin de dormir, et surtout, pas envie. Dans sa tête, les mots qu'il lui a adressés, ceux qui sont restés sans réponse, tournent, en boucle. Il essaie un temps de ne pas céder à la tentation qui le guette, celle de se retourner, puis il finit par s'ennuyer, s'ennuyer ferme, et il a besoin de voir, voir si elle est encore là. Il se retourne pour se rendre compte qu'elle est partie. Partie, probablement dans son bureau. Surement, oui. Elle ne le laisserait pas là tout seul. Il y a encore vingt minutes il était mourant. Il soupire. Se sentant comme abandonné. Le silence l'a gêné, énervé, surpris, mais son regard, son regard lui manque. Un peu. Il se sent mal d'être là, tout seul. Et une grosse toux le prend, celle du genre à durer cinq minutes, et à l'empêcher de reprendre son souffle. Il finit par s'en remettre, il est exténué, elle n'est même pas venue vérifier son état. Même pas. Il se tourne sur son côté droit. Le lit grince. Il reste dans ses veines de la potion qu'elle lui a administré au tout début, pour le faire dormir, et c'est cela qui fait qu'il s'endort en ce moment, c'est cela qui fait qu'il va dormir d'un sommeil sans rêves pendant les trois prochaines heures. À son réveil, il est midi, et son ventre gronde de faim. |
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Absinthe PotterI swear I'm up to no good Messages : 472 À Poudlard depuis le : 19/11/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 28/12/2012, 21:01 | |
| un simple Je vais dormir un peu sortit de ses lèvres. vexé, te tournant rapidement le dos dans un soupire. ne comprenant en aucun cas cette réaction tu croisas les bras avant de tourner rapidement les talons pour prendre la direction du bureau principal. claquant presque la porte tu te laissas tomber en soupirant fortement espérant qu'il t'entende. pourtant les murs bien trop larges ne laissèrent passés aucun bruit. les bras croisés sur ta poitrine tu tentais de comprendre la réaction abusive de prince. malheureusement pour toi rien ne te viens. quel étrange personnage, t'observant par moment, jetant certain regard tentant une bride de conversation et pourtant pour ignorer tes réponses juste parce que tu en avais oublier une. il t’exaspères.. tu soupires, les yeux rivés sur la table en bois devant toi. il tousse rapidement, tentant d'attirer ton attention.. pourtant tu ne bronches pas, tu ne bouges pas, t'en pis il étouffera ! il s’arrête assez rapidement pour laisser place a un silence presque pensant. aurais tu envie de passer la porte juste pour voir s'il n'a pas rendu l'âme ?! non. tu ne bougeras pas. l'heure tourne, les minutes défilent rapidement sur l'horloge te berçant de son tic tac abusif. tu ne bouges pas. pourtant un cliquetis te fais enfin lever les yeux. un petit elfe vient d'apparaitre dans le bureau, tenant deux plateaux il les déposes avant de te sourire et de disparaitre dans un claquement de doigt. midi. te levant, soupirant tu sais que tu dois passé dans l'autre salle. c'est ainsi que le plateau à la main tu ouvres la porte pour te retrouver face à lui. assis dans son lit observant le plafond gris. tu t'approches en silence déposant le plateau garnie sur la petite table. voilà votre repas. après celui-ci si vous disposez partir cela sera à votre guise. ajoutes tu rapidement avant de reculer d'un pas. c'est bizarre, il t'exaspères et pourtant tu veux encore le regarder. alors d'un soupire tu décides l'impossible, répondre à cette question posait quelques heures auparavant.. non elle ne changera pas.. du moins je ne pense pas. pourquoi cela vous gainerait-il d’avantage que je continue à vous observer de loin ?! hausses tu les épaules avant de croiser les bras attendant une réaction de sa part. - Spoiler:
désolé c'est pire que bidon..
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Ulysse Milner-PriceI swear I'm up to no good Messages : 44 À Poudlard depuis le : 16/12/2012
| Sujet: Re: I've been waiting for you to come rescue me (Ulsinthe) 30/12/2012, 13:43 | |
| Il ne sent pas son pas aérien qui s'approche de son lit, mais il entend quand elle pose le plateau sur la table de nuit à côté de lui. Il boude toujours mais il a faim, et il songe à la remercier. Quand même. Il lève les yeux vers elle, qui ne le regarde pas, et lui dit juste « voilà votre repas. après celui-ci si vous disposez partir cela sera à votre guise. » Elle lui parle comme elle lui a parlé tout à l'heure, professionnellement, sérieusement, sans laisser grand chose paraitre, mais cette fois, il y a quelque chose en plus, ou en moins. Quelque chose de différent. Il y a dans sa voix un ton un peu boudeur, elle lui dit « voilà votre repas. après celui-ci si vous disposez partir cela sera à votre guise.]« voilà votre repas. après celui-ci si vous disposez partir cela sera à votre guise » de la même sécheresse qu'il lui a dit « Je vais dormir un peu ». Il sourit un peu. C'est un peu ridicule, cette situation, où personne ne se comprend, problèmes de communication on appelle ça. Il avait ça, avec ses parents. Ici, ça l'attendrit. En fait, il se rend compte de quelque chose, c'est qu'il l'a blessée. Cela témoigne d'une certaine affection pour lui. Affection qui le gêne, le met mal à l'aise. Affection qu'il ne saisit pas parce qu'exprimée différemment de la normale –par des regards soutenus seulement. Il comprend enfin la douceur qu'il aurait du employer avec elle, dès le début, au lieu de l'agresser à coup de mauvaise phrase de drague. Il comprend enfin que « ça », quoique ça puisse être, sera différent, c'est différent, elle est différente et par conséquent, il devra s'y prendre différemment. Il l'a compris, ça, maintenant. Et il comprend ce qu'elle est –timide. Pas mystérieuse, pas dégonflée. Timide. Il comprend comme il a du lui faire peur, tout à l'heure, en faisant une allusion directe à leur « relation ». Il comprend à quel point il s'y est mal pris. Il s'en veut un peu. Il cherche quelque chose, un truc à dire, pour se rattraper d'avoir été presque malpoli vis-à-vis d'elle, mais elle le coupe, pour dire : « non elle ne changera pas.. du moins je ne pense pas. pourquoi cela vous gainerait-il d’avantage que je continue à vous observer de loin ?! » Nouveau sourire. Il secoue la tête, négativement, de droite à gauche, autant que faire se peut à cause du mal de tête, de l'oreiller. Pour appuyer son geste, il dit un petit : « Non, bien sur que non, ça ne me dérangera pas, pas du tout. » Il lui sourit, c'est le seul moyen qu'il a trouvé pour essayer d'être aussi doux avec elle qu'elle a été avec lui, pas seulement aujourd'hui, mais depuis le « tout début ». Il lui sourit parce que c'est ce qu'elle a toujours fait, elle, lui sourire. Il envoie dans ce sourire autant de douceur qu'il peut. On entend un grondement, qui les fait sursauter tous les deux. Ça pourrait être de l'orage, mais c'est seulement son ventre. Il jette alors un œil au contenu du plateau qu'elle lui a si gentiment apporté. Ça fait envie, mais le gout l'a quitté depuis le début du rhume, manger n'a plus de saveur pour lui. Parfois, ça le fait rire, comme aujourd'hui par exemple, ça le fait rire parce qu'il se sent, disons, léger. Absinthe. Ça le fait sourire de pouvoir penser à elle en utilisant son prénom. Elle s'apprête à s'en aller, et alors, malgré sa soudaine bonne humeur, sa légère envie de rire, la remise en place des choses après sa « maladie », il ne peut s'en empêcher, il lui dit presque malgré lui : « Pourquoi ? Pourquoi moi ? » Silence. |
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