NOM : Seisyll. Mes parents m'ont un jour raconté d'où venait ce nom de famille, mais j'ai oublié. PRÉNOM(S) : Peverus Lowe. Mon frère voulait rajouter Clodho à la suite, mais par chance il a capturé un hérisson qui a hérité de ce prénom peu avant ma naissance . AGE : Trente-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 6 février, dans les Highlands en Écosse. ASCENDANCE SORCIÈRE : Sang-mêlé. Mon père est un sorcier, ma mère une moldue qui avait elle-même un frère né-moldu. "Avait" parce que c'est le gars qui a voulu se changer en pommier et qui a finit en pomme dans un jus, vous en avez peut-être entendu parler. Glauque hein ? Bah, ce que disent les journaux, faut pas trop y croire. ORIGINES : Gallois côté père et Écossais côté mère. Ou est-ce le contraire ? Hum, je ne sais plus. BAGUETTE : Bois de houx contenant des dards de billywig et mesurant trente centimètres. SITUATION AMOUREUSE : Marié, depuis un moment maintenant. J'ai d'ailleurs deux enfants que je chéris plus que tout et qui sont ma vie, je ferais n'importe quoi pour eux. SITUATION PROFESSIONNELLE : Professeur de potions et poisons à Poudlard depuis quatre ans. Bon, ce n'était pas ce que je désirais devenir, mais je dois avouer prendre beaucoup de goût à l'enseignement et au travail avec les élèves, le contact avec les jeunes. Je fais juste parfois encore l'erreur de m'asseoir à la table des Serdaigle au déjeuner en oubliant que je ne suis plus élèves, mais souvent il n'y a pas encore grand monde pour s'en apercevoir, alors ça passe. Récemment aussi directeur des Serdaigle, j'ai voulu postuler car je considère la communication avec les élèves et les autres enseignants primordiale, je suis toujours prêt à travailler et écouter pour améliorer les choses, encadrer, trouver les meilleures décisions possibles avec responsabilité. Même si on me trouve bizarre on peut faire confiance à cette vision que j'ai du travail et des tâches nécessaires. MAISON/PARCOURS SCOLAIRE EFFECTUE : Aussi incroyable que cela puisse paraitre, j'ai été envoyé chez les Serdaigle. Quand mon père l'a apprit, il a rigolé puis a dit que j'étais foutu. Il faut avouer que j'ai quelques soucis de mémoire et de logique qui sont parfois ennuyants. Mais il s'est avéré que mes études n'étaient pas touchées par ces problèmes. Aussi, j'étais un excellent élève et par la suite, mes études et formations une fois en dehors de Poudlard m'ont permis de trouver rapidement un travail et des clients. Au moins, je pouvais nourrir ma famille. POINTS FORTS : J'ai un nez infaillible, capable ainsi de repérer à 50 m une tarte au citron ou de différencier en deux secondes des poisons forts semblables. Bon, le deuxième est plus rare donc ça ne sert pas à grand chose mis à part à fournir de gros maux de tête mais j'en suis fier. C'est quelque chose qu'on me complimente souvent, cet optimisme et bonheur pour peu de choses. Moi je crois juste que c'est la meilleure position à adopter pour être bien. Plus sérieusement, j'ai de fortes connaissances en potions, sortilèges, histoire de la magie ou des moldus, j'ai étudié toute la cartographie de l'Écosse par cœur pour éviter de me perdre, je fais de succulents desserts et je suis quelqu'un d'amical, réfléchit, souriant et poli, le plus possible à l'écoute de mes élèves, toujours prêt à donner des conseils ou même en recevoir. POINTS FAIBLES : Oui ça va, je sais que je n'ai aucune mémoire. Durant toute ma scolarité j'étais surnommé Goldfish. J'oublie des bêtes choses jusqu'au plus importantes mais je fais un réel effort pour m'en souvenir. En temps normal je m'en fiche un peu, mais si ça blesse d'autres personnes je peux rentrer dans une colère noire contre moi-même dont il est, je le reconnais, difficile à m'en sortir. Quand j'en veux vraiment à quelqu'un je peux être extrêmement rancunier, seulement, je le garde pour moi. J'ai de bonnes relations avec la majorité des personnes et je peux paraitre naïf de certaines choses, et j'avoue que je masque ce que je pense vraiment, parce qu'au fond, je ne veux pas qu'on me connaisse entièrement et facilement. Parfois trop rêveur et pensant à mille choses en même temps, je m'isole facilement et devient désagréable si on me colle. J'ai surement des tas de défauts que des collègues ou élèves me trouveront et qui seront sans doute justifiés. Mais je ne changerais pas pour eux, faut pas rêver. A part ça, je suis inexpérimenté en matière de combat, de psychologie sociale, un sens de l'humour souvent pourri et on ne me fais jamais confiance pour quelque chose qui demande de l'adresse, trop maladroit. Tiens, c'est peut-être pour ça qu'on m'a refusé un poste de potioniste en labo de recherche...PATRONUS : Un écureuil. Mais je n'oses plus le faire apparaitre, le mien est toujours surexcité, un jour il mourra d'un infarctus. EPOUVANTARD : Ma famille réduite à l'esclavage et souffrant le martyr. Quand j'étais plus jeune c'était une mouette noire qui grandissait à toute allure et qui fonçait sur moi. PARTICULARITÉ MAGIQUE : J'ai récemment gagné un concours régional de sorcier pâtissier et deux jours plus tard un prix national de potioniste. Ah, c'est pas une particularité magique ?

Argh, j'ai déjà fait une tartine donc on va faire ça rapidement. Mon pseudo il est top-secret, parce que vous voyez du haut de mes 19 ans je suis trop une star dans ma région de Belgique. Prenez juste conscience que je n'ai aucun voisin (les vaches ça compte ?) et que je vis comme une ermite même à l'université. Donc voilà, je vous épargne la tâche de retenir un nom de plus. Hum sinon, j'ai découvert AWTTP à sa première version et j'attendais avec impatience sa réouverture. J'ai hésité pour le personnage et puis trois personnes sont arrivées. Et mon dieu, qu'est ce que c'est contagieux la folie ! Breph, je débarque avec Tom Hiddleston sur ce forum que je trouve merveilleux et j'espère qu'on va bien se marrer à empoisonner travailler en cours de potions !

1945-1947: Il était né. Le premier nouveau-né de la famille. Cela faisait un moment qu'on l'attendait et c'est tout fripé et blanc qu'il arrivait, nouvelle source d'espoir pour sorciers et moldus. Ces derniers venaient de connaître la guerre et de profondes blessures dans leurs esprits restaient gravées, des pertes dont ils n'osaient prononcer le nom par peur de voir s'effriter les photos des disparus comme si ils n'avaient jamais existés. La magie, ça n'était pas une nouveauté. Le fils était un de ceux là, un sorcier. Et il ne fut pas très étonnant qu'au cours d'une de ses fêtes de fiançailles, sa sœur moldue ne se lie d'amitié avec un de ses camarades de classe. Et cela termina par un mariage. Heureux. Une belle histoire, simple mais suffisante à ce qu'ils espéraient. Voilà qu'un garçon pointait le bout de son nez et deux ans plus tard, un autre qui venait semer un nouvelle vie.

7 ANS ET PAS DE SIGNES DE PETER PAN: Sur la pointe des pieds, le garçon tenait en équilibre avec sur ses épaules son petit frère, assis tranquillement sans se rendre compte de l'effort que fournissait son aîné pour le garder sans qu'ils ne tombent tous les deux. Leurs deux paires d'yeux cherchaient désespérément à apercevoir quelque chose entre les lattes de bois et un bout de la fenêtre mal refermée. De l'autre côté, dans cette petite cabane en bois, leur parents allumaient souvent des bougies, déposaient des fleurs et restaient enfermés longtemps. Les deux garçons avaient discutés de longues soirées, cachés sous une couette avec une peluche de dragon de Sibérie pour les protéger, à essayer de comprendre ce qui pouvait se passer dans cette pièce interdite. A cette époque, ils recevaient encore une éducation moldue, les parents ayant décidé qu'ils devaient connaître les deux mondes aussi bien que l'autre, et c'est sans honte que les deux garçons avaient glissé, à l'aide d'un grand-père peu responsable, une mini-radio sur écoute datant de la guerre. L'objet ne fonctionnait qu'à moitié et au fond, savoir n'était pas aussi capital pour les enfants. Passer leurs après-midi à créer des missions imaginaires, à se cacher dans les buissons ou à enfiler leurs bottes froides pardessus les chaussettes de nuit pour chercher des indices invisibles, c'était ce qu'il y avait de plus important. Ils ignoraient donc complètement que dans ce lieu leurs parents venaient pleurer sur la mort de leur troisième enfant dont les aînés n'avaient pas de souvenir car trop jeunes, et ils ne l'apprirent jamais.

UNE COULEUR À 11 ANS: Son cœur battait à toute vitesse, la position assise qu'il avait pris depuis seulement une minute lui envoyait déjà des fourmis dans les jambes, faisant trembler ses pieds qui ne touchaient pas le sol. Il jeta un regard devant lui, relevant enfin la tête pour faire face à un nombre impressionnant d'élèves le fixant. Cela en mettait du temps... Et finalement, il entendit la voix. Serdaigle. C'est une blague ? On lui retira tout de suite le Choixpeau et un autre élève prit sa place, l'invitant à dégager et se rendre à la table de sa nouvelle maison. N'y croyant toujours pas, Peverus jeta un regard en direction des Serdaigle qui lui souriaient chaleureusement, applaudissant la venue d'un soucis dont ils ne prenaient pas encore conscience. Comment était-il possible que lui, Peverus-sans-mémoire, sans amis et rêveur puisse avoir été envoyé chez les érudits, les sages ? Dans son dos, il sentit le regard de son frère, assis quelques mètres plus loin chez les verts qu'il aurait tant aimé rejoindre. Il soupira et haussa les épaules ; il ne pouvait rien y faire. Déçu par cette première soirée dans le château, il se demanda ce qu'il faisait là, pourquoi il avait du quitter leur maison et la cabane en bois si ce n'est pour atterrir dans un lieu où il ne connaît personne et où sa mémoire et son attention seront mises à rude épreuve.

GOLDFISH À 16 ANS: Peverus fixait la fille devant lui qui s'était endormie dans un fauteuil de la salle commune, les jambes repliées contre un parchemin chiffoné et couvert de notes sur leur dernier travail. Il resta ainsi un long moment à la regarder, se posant des centaines de questions. Il n'était pas attiré. Elle était jolie, drôle, intelligente et pleine d'empathie mais il n'était pas amoureux. Ses camardes lui répétaient que pour elle c'était bien le cas et qu'il devait sauter sur l'occasion ; une fille comme elle qui s'intéressait à un gars comme lui, une fois dans sa vie. Mais il avait beau regardé celle qu'il considérait comme sa meilleure amie, il ne ressentait rien d'autre que de l'amitié. Et bien sur, Jordan y était pour quelque chose. Jordan, cette fille qui traînait avec eux, amie avec Celsius, Merlin et Griffin, les seuls vrais amis de Peverus qui espérait secrètement attirer autant de sympathie de la part de Jordan. Mais il n'osait rien faire, il n'y pensait pas non plus, se contentant des choses qui passaient et trouvant toujours une philosophie de vie dans ce qu'il vivait, oscillant entre le solitaire bizarre et le jeune homme qui cherchait à passer du bon temps avec ses amis.

17 ANS ET DANGER POUR LA SOCIÉTÉ: Les bras débordés de papiers, livres, flacons et plumes pour écrire, Peverus se dirigeait en silence vers les cachots, brisant le calme qui régnait dans le château à l'heure où tout le monde était soit en train de manger, de flâner avant le couvre-feu ou au-dessus d'un parchemin à rendre pour le lendemain. Qui aurait perdu son temps dans cette partie du château que les étudiants évitaient le plus possible ? Peverus, lui, affectionnait particulièrement cet endroit. Et pas uniquement parce qu'il était au sous-sol et qu'il ne risquait pas de croiser le moindre oiseau qui se serait infiltré dans le domaine pour lui crever les yeux à coups de bec. Ça jouait aussi, mais le plus important pour lui était bien ce lieu qui le fascinait tant, avec les multiples odeurs des potions préparés depuis des siècles entre ces murs qui imprégnait chaque centimètre du lieu, créant des passages à l'odeur nauséabonde pour offrir un angle plus loin un parfum délicat de menthe.
Tenant maladroitement ses affaires et ses yeux n'ayant pas encore été habitués à la pénombre du lieu, il s'était heurté plusieurs fois contre des piliers, dans les toiles d’araignées et c'est tout crasseux qu'il apparut devant son professeur de potions qui le jugea de haut un instant à la vue de cet élève grand, mince et couvert de poussière. Il lui proposa immédiatement de commencer ce qu'ils avaient prévus, préférant passer sous silence le fait que son cours particulier n'était pas ce soir-là, batailler contre la mémoire de l'étudiant était peine perdue. Peverus avait reçu de la part de son professeur de potions et de botanique de vifs encouragements à approfondir ces matières, détectant un talent hors du commun chez lui, une chose tout à fait incroyable chez un élève aussi rêveur, maladroit et amnésique que lui. Certains professeurs glissaient même à leur collègues que c'était comme donner du feu à un pyromane et que Poudlard finirait un jour par exploser, mais les résultats de ces cours et expériences secrètes avec son professeur eurent tôt fait d'encourager à une progression plus longue. Peverus aurait voulu un jour devenir fabricant de baguettes, reprendre la boutique de son père située dans un coin de l'Écosse, peu fréquentée car mal positionnée mais qui avait énormément d'importance à ses yeux. Il hésitait encore, son choix prendrait de l'importance à la fin de ses ASPIC.

21 ANS À LA CÉRÉMONIE:Enceinte. Jordan enceinte. Et de lui qui plus est. C'était la chose la plus incroyable qui ait pu lui arriver. Alors qu'il pensait que c'était déjà le cas lorsqu’il avait embrasser pour la première fois la fille qu'il aimait tant, encore une fois lorsqu’il se retrouva au lit avec elle... Et là, elle lui apprenait qu'elle était enceinte. Plutôt que d'être apeuré et sur le point d'imaginer mille plans pour échapper à des visions affreuses contenant un bébé et tous les soucis qui l'accompagnent, Peverus avait sauté de joie, sans cacher le moins du monde son bonheur, heureux de pouvoir vivre pareille chose alors qu'il avait cru être à tout jamais un gars bizarre dont on apprécie la compagnie mais sans plus. Et tout alla très vite. Un mariage bien entendu, une maison, une famille... Il n'avait jamais tout misé sur ses envies de famille et sur ce qu'il ressentait pour Jordan, ce qui lui arrivait était donc pour lui un bonheur qu'il savourait chaque jour en oubliant de prendre en compte ce que elle pouvait penser de tout cela. Il s'inquiétait, voulait savoir si elle était heureuse, ce qu'elle attendait de la suite, et puisque la peur de la perdre elle et les enfants l'habitait souvent, il mit tout en œuvre pour faire vivre sa famille.
Abandonnant alors la boutique que venait de lui céder son père à la fin de ses examens, Peverus enchaîna formations et entretiens avant la naissance de leur enfant. Ce n'était pas en vendant trois baguettes par mois -dont deux toujours à la même vieille dame qui utilisait les siennes pour touiller dans sa soupe- qu'il allait pouvoir assurer foyer, nourriture, sécurité, santé et plaisir à sa famille. Même si au début il eut du regret pour l'abandon de sa passion, retrouver celle des potions et en vivre lui semblait être une énorme chance, bien qu'un métier parfois dangereux qui manqua de le tuer plusieurs fois. Fatigué, stressé, et ayant du grandir plus vite que d'autres jeunes adultes de son âge, Peverus accordait une importance immense à la chance qui lui avait été donné, et même si il avait du ranger de nombreux rêves solitaires dans un tiroir, rien n'était plus précieux que sa jeune famille.

29 ANS, ENSEIGNANT: Une liste de noms dans la poche, une pile de livres en équilibre sur une main pendant que l'autre s'affairait à replacer correctement le col de sa veste, Peverus marchait dans les couloirs de Poudlard. En sortant de ce lieu, jamais il n'aurait pensé revenir un jour pour une autre raison qu'un de ces enfants blessés au cours d'une partie de Quidditch. Peut-être pour élucider le mystère de la gargouille disparue et qui trônait dans une cabine des toilettes, ce dont il n'était absolument pas responsable ou bien pour aider en tant que spécialiste dans une affaire d'empoisonnement, mais professeur... Pourtant, il avait postulé avec envie et inquiétude, s'apprêtant maintenant à donner son premier cours de potions avec la promesse personnelle de transmettre la curiosité et l'art de ce domaine.

Pour l'art on repassera, l'état des robes et cheveux des étudiants et de l'enseignant à la sortie de classe en témoignait, ainsi que l'aspect gélatineux qu'avait prit le sol. Mais pour ce qui était de la curiosité c'était presque gagné. Peverus avait ressentit une véritable force théâtrale en donnant son cours, il dansait presque en glissant entre chaque rang d'élèves et semblait en faire sourire plus d'un. En vérité c'est parce qu'ils le trouvaient un peu ridicule et qu'ils avaient peur quand il répétait plusieurs fois de suite d'ajouter tel ingrédient comme si il avait oublié qu'il leur avait déjà dit deux minutes auparavant.
Ce nouveau départ lui permit un temps d'oublier les quelques problèmes qu'il rencontrait avec son frère, devenu distant et pessimiste, cassant et comme blessé, lui qui avait toujours partagé son optimisme et parfois même le désir d'avoir les mêmes amis. Peverus ne parvenait pas à faire la part des choses et avait fournit beaucoup d'efforts pour aider, maladroitement, son ainé, ne se posant alors jamais les bonnes questions. Des semaines déjà qu'il n'avait plus de nouvelles et que sa tristesse se répercutait sur sa bonne humeur normalement indestructible. Il devait cependant penser aux autres et agir quand il le faudra avec son frère quand celui-ci reviendra.

33 ANS ET AUCUN ACCIDENT CORPOREL GRAVE: Quatre ans déjà qu'il enseigne. Son fils est désormais au château, Félicia, leur second enfant est âgée de cinq ans et il vient d'acheter un nouvel hibou qu'il vénère. Son rôle de professeur le tient toujours très à cœur, proche des élèves et soucieux de leur être utile même si il est devenu plus dur qu'avant et qu'il doit se contenir face aux élèves insolents, sa seconde vie à Poudlard n'est plus temporaire. Il passe autant de temps qu'avant à faire des expériences, à éviter les matchs de Quidditch sauf quand Serdaigle joue, juste pour énerver Celsius qui a d'ailleurs prit le poste de professeur de vol, ce qui ne le rassure guère et l'oblige à souvent baisser la tête en courant quand il passe dans un endroit à découvert. Jordan est à présent professeur elle aussi, en étude des moldus. Peverus sur ce point est mitigé, il ne sait jamais si est une bonne chose que toute la famille soit réunie dans le système d'éducation et scolaire des enfants, si bien qu'il a songé plusieurs fois à quitter son travail pour enseigner ailleurs et laisser à ses enfants la liberté dont ils ont besoin. Mais il ne s'agit là que de quelques tristes réflexions les jours où le moral n'est pas là. Merlin est présent, occupant le rôle du concierge, ce qui enchante Peverus car il aurait mal imaginé leur ancienne bande sans lui et considérait qu'un tel poste était un pilier important du château. Et puis il aura peut-être l'occasion de récupérer certaines affaires confisquées quelques années auparavant...
La seule chose qui puisse inquiéter l'homme est cette maudite Dolohov fraîchement débarquée au château et les causes et conséquences qui l'entourent ainsi que le retour soudain de son aîné qui semble en meilleur forme et plein d'ambitions dont il n'aime pas trop l’engouement. Ça et le fait qu'il a oublié le mot de passe de la salle de bains des préfets et que son hibou est enfermé dedans.

Bravo Peverus ! Tu es maintenant un sorcier confirmé et donc diplômé ! Tu n'as plus à te rendre à Poudlard et à suivre les nombreux cours qu'offre cette école de magie. Tu es libre de faire ce que tu veux et tu peux exercer la magie à volonté du moment que tu respectes les lois du monde magique.

Ce que je peux dire sur ta fiche de présentation, c'est que j'ai vraiment adoré J'aime ton personnage, ta manière d'écrire et puis tu es le directeur des Serdaige quoi Franck est préfet Ta fiche est très bien et je te laisse donc aller rejoindre ta femme

Désormais que tu es officiellement validé(e), tu peux te rendre sur la CB du forum afin de mieux t'intégrer. N'hésite vraiment pas à aller voir la section du parrainage si vraiment tu as besoin d'aide personnalisée pour faciliter cette intégration au forum. De plus, ton parrain ou ta marraine sera à ta disposition le temps qu'il te faudra. Ce n'est pas une honte d'avoir besoin d'aide car on sait tous que cela peut être très intimidant de sa lancer dans le bain. De plus, tu peux flooder afin de compléter ton intégration et discuter avec les autres membres. Pour éviter les soucis dans le bottin et afin que ton avatar soit officiellement le visage de ton personnage, il faut absolument que tu ailles recenser ton avatar sans tarder à cet endroit ! C'est vraiment important car un nouveau membre peut s'inscrire en tentant de prendre ton avatar et avouons-le, ce serait vraiment embêtant. Tu peux créer tes sujets de demandes de liens et sujets dans cette partie. Si tu le souhaites, tu peux créer une pensine à cet endroit afin d'y noter toutes tes pensées et/ou évènements de ton personnage. Pour terminer, une partie a été créée spécialement par le staff afin de vous permettre de poser des questions aux membres dudit staff. Toutes vos questions resteront invisibles aux autres mais tout cela est expliqué dans la section portant le même nom ici.