RANDY-JAYDEN ı still not too old to die young.

À Poudlard depuis le : 16/09/2012

randy-jayden fenwick, dit rj.

So we burst into colors, colors and carousels, fall head first like paper planes in playground games

NOM : fenwick. PRÉNOM(S) : randy-jayden AGE : dix-huit ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : deux novembre, huddersfield. ASCENDANCE SORCIÈRE : sang-mêlé, père né-moldu et mère sorcière. ORIGINES : britannique. BAGUETTE : langue de scrout, pin sylvestre, trente centimètres et demi, souple et droite. PARCOURS SCOLAIRE : huitième année, justice magique. POINTS FORTS : déterminé, intelligent, logique et généreux. POINTS FAIBLES : naïf, trop loyal, incapable d'éprouver le sentiment d'amour. PATRONUS : kangourou roux. EPOUVANTARD : sa famille gisante à terre, morte.

dance like a hairy troll

CORDELIA DOLOHOV, T'EN PENSES QUOI ? T'AIMES SA COUPE DE CHEVEUX ?
Cordélia Dolohov. Elle est laide. C’est tout ce que j’ai à dire. Je ne la connais pas. Elle ne me cause pas d’ennuis en fait. Donc je ne pourrais pas dire que je la déteste. Elle me fait peur en réalité. J’ai l’impression de voir un troll. Un troll laid et vulgaire. Mais je m’en formalise. Elle ne me cherche pas de problèmes (et si c’était le cas, je ne pourrais pas me défendre). Je reste donc de marbre disons. Même si je ne l’aime pas. C'est la vie après tout, il faut savoir travailler avec des idiots.

T'ES PLUTÔT QUIDDTICH OU CLUB DE LECTURE ?
Je déteste le sport. C’est dit, pesé et emballé. C’est à mon sens un sport idiot, ennuyeux et d’une importance tellement ridicule. Je n’ai jamais trouvé ce sport intéressant. Je n’aime pas le sport. A part le sport moldu. Mais je préfère la lecture, l’apprentissage des connaissances. Apprendre des choses, lire des histoires, rêver, se laisse transporter, voilà ma véritable passion. Le Quidditch a un effet d’endormissement sur ma propre personne à côté. C’est triste mais c’est la vérité vraie.

ÇA REPRÉSENTE QUOI LA NATURE DU SANG SORCIER, A TES YEUX ?
Un sorcier n’est pas bon ou moins bon selon son sang Ce qui compte, c’est le cœur. Le cœur est le plus important. Je ne suis pas très intelligent, pas pour les sentiments. Mais le fait qu’un sorcier ait uniquement des sorciers de sang-pur dans sa famille n’en fera pas une meilleure personne. C’est tout simplement idiot. Un imbécile reste imbécile qu’importe son sang. Qu’importe sa famille également. Et un idiot change selon s’il le veut ou non, pas selon sa prétendue pureté.

LES COURS, L'AVENIR, TU VOIS ÇA COMMENT ?
Je ne suis pas sûr d’aimer ce que je fais. Mais je le fais. La botanique est ma passion, mais je ne peux m’engager dans une voie aussi incertaine. J’ai alors choisi la voie magique. J’aimerai changer les choses dans le monde. Mais c’est presque impossible. Ceci dit, faire partie de quelques associations en faveur de la justice pour les elfes, pour les gobelins également serait utile. J’attend d’abord d’avoir un vrai projet ceci dit. C'est triste à dire tout de même.

et sinon ?

ancien admin, bégé avec logan lerman, pouffe en chef, lardons cuit à la poêle RANDY-JAYDEN ı still not too old to die young. 2752390508

, je suis là quand on ne m'attend pas et pas là quand on a besoin de moi Voilà, mes navets

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TEARING LOVE APART,

Vous êtes à tables. Chacun d'entre vous a une place bien attitrée. Le bonheur est présent tout autour du bout de bois où vous mangez. Vous êtes trois enfants. Et vous êtes heureux. Aussi loin que tu peux t'en souvenir. Et aussi loin que tu peux dire ce qu'est l'amour et le bonheur. Tu ne saurais expliquer ces sentiments. Tu as toujours été assez étrangers de ces sentiments. C'est quelque chose que tu ne contrôles pas. Les émotions humaines te sont presque étrangères. Tu ne les comprends pas. Mais ce soir, cela n'a pas d'importance. C'est la veille de Noël. Il est déjà bientôt minuit. Vous êtes tous attablé, à manger une délicieuse bûche. Elle est glacée et la saveur chocolat se glisse entre tes dents pour que la sensation du plaisir de manger une bûche aussi bonne se distingue entre toutes. Dans quelques dizaines de minutes, vous allez tous vous retrouver autour du sapin de noël pour ouvrir vos cadeaux. Il y en a un par enfant, et trois par adultes. Tout simplement parce que depuis que vous avez un compte chez Gringotts, et même s'il est presque vide pour ta part, vous tenez à offrir un cadeau à vos parents pour leur montrer que vous les aimez. Tu ne sais pas trop bien comment exprimer ce sentiment alors c'est toi qui a eu l'idée de leur acheter des cadeaux. Chaque cadeau est disposé sous le sapin de manière stratégique, de manière à ce que chacun des destinataires sache précisément où son cadeau a été placé. Vous avez une deuxième tradition également. Vous attendez d'abord que les parents aient ouverts leurs cadeaux avant de déballer votre cadeau un par un. Du plus vieux, au plus jeune. Tu es donc le dernier à ouvrir ton cadeau. Mais peu importe. Tu aimes découvrir le sourire de tes parents puis celui de tes soeurs quand elles ouvrent, unes à unes, leurs cadeaux. C'est la seule chose qui te calmes et te rends heureux pendant les fêtes de Noël : le visage illuminé de tes parents et tes soeurs. Tu as toujours eu du mal, sauf lorsqu'il s'agissait de Noël. Tu aimes Noël. Il s'agit de ta période de l'année préférée. Parce que la famille est réunie, auprès d'un sapin, dans une pièce remplie de cadeaux. L'ambiance de Noël est celle que tu préfères. Les autres fêtes ne sont pas source de joie pour toi, mais plutôt source de chocolat et de fricottis. Mais à Noël c'est différent. Vous vous êtes mis d'accord pour que ce jour-là soit spécial. Quand tu étais petit, c'était un jour normal. Et des disputes pouvaient éclater. Mais depuis, un code a été adopté. Pas de disputes sur quelque sujet que ce soit, pas à Noël. Et ça t'allait. L'ambiance de Noël était ton ambiance préférée. Tout simplement parce que vous étiez tous réunis et que tu pouvais essayer d'exprimer cet amour qui t'étais si peu familier.

Une fois les cadeaux de tes parents ouverts (il s'agissait pour ta part de boites en métal à contenu réversible) et ceux de tes soeurs ouverts, c'est ton tour. Tu découvres la petit boite, qui déniche une autre petit boite. Dedans, tu y trouves un disque. Il s'agit de TON disque. Une compilation de tes titres moldus préférés. Tu sais que ton père et ta mère savaient que tu rêvais d'avoir ce genre de disque. Vous possédez un lecteur de disques moldus, c'était sûrement l'occasion de s'en servir. Et comme tu ne sais pas exprimer tes sentiments, tu fais ce que tu sais faire le mieux, la seule chose que tu sais faire. Tu pleures. De joie, mais tu pleures quand même. Tes larmes déclenchent l'éclat de rire de Briséis.

◊ ◊ ◊ ◊ ◊

Le cours venait de se terminer. La botanique avait toujours été ta matière favorite. Tu avais toujours eu quelque chose avec les plantes. Et tu trouvais leur étude fascinante. Ca et le fait que votre professeur était quelqu'un de brillant, et tu étais épanoui dans ces cours là. Ils étaient les plus intéressants. Vous ne restiez pas assis à écrire des formules, à comprendre le théorème de Granus le Fourbe à propos du sortilège de la continuité temporelle. Il s'agissait de manier des plantes, avec délicatesse. Et de comprendre ces même plantes. Il s'agissait de comprendre le fonctionnement de la nature. Il s'agissait de comprendre l'histoire de cette même nature. Il s'agissait d'un cours passionnant, autre qu'un cours théorique et seulement théorique. La façon de faire était bien différente puisqu'en même temps de comprendre les plantes, vous pouviez interagir avec elles... Aujourd'hui, vous aviez étudié un géranium à ailes de feu. C'était une plante passionnante. Les capacités magiques de cette plante étaient extraordinaire. Saviez-vous, que le géranium à ailes de feu ou plus communément le géranium rouge était l'une des seules plantes capable de survivre sans eau ? C'est tout à fait épatant.

La sonnerie indiquant la fin du cours sonnait déjà. Alors que les autres se pressaient en laissant tomber leurs gants et les rangeant dans leurs sacs, puis s'empressaient de partir et de se pousser – ou te pousser au passage – pour être les premiers sortis. Toi tu ne voulais pas sortir. Tu aimais l'ambiance des serres. Tu aimes cette verdure tout autour de toi. Tu aimes les mandragores, tu aimes tous ces pots remplis de terre, toutes ces plantes qui ne demandent qu'à être chouchoutées. Tu continues à t'occuper de ta plante, pendant que trois ou quatre épaules te bousculent. Tu ne regardes pas qui t'as poussé. Tu n'en a que faire. Et puis, tu ne recevras pas d'excuses, donc ça ne sert à rien. Tu préfères baisser la tête et t'occuper encore un peu de ta plante. Il est dix-neuf heures, c'était le dernier cours de la journée. Donc, tu n'as pas d'autre cours. Et donc, tu peux rester autant que possible. Ta professeur risque de rester encore un peu. Ce n'est pas la première fois que tu restes aussi longtemps. Elle est habituée. Mais elle vient quand même à ta rencontre.

« Randy. Il faudrait que tu ailles manger. », te dis t-elle. Tu redresses ta tête, poses le petit verre d'eau qui te sert à présent, et la regardes. Son regard est attendrissant, et unique au final. On comprend très rapidement qu'elle ne te veut pas de mal, mais plutôt t'aider du mieux qu'elle peut. « J'aimerais rester ici encore un peu. », réponds-tu, d'une petite voix, de cette même voix que tu prends toujours, de toute façon. « Puis je n'ai pas très faim. »

Vous restez là, cinq bonnes minutes sans parler, à nourrir cette plante. C'est ce qui est si unique avec la botanique. Même la professeur, après son cours, t'aides à nourrir cette plante magique. On comprend qu'elle est aussi passionnée que toi. Tu adores la botanique. Tu ne sais pas trop quoi faire plus tard, mais si tu dois choisir, tu choisiras sûrement ça. Parce que tu adores la botanique, et que tu trouves la matière géniale. Après avoir donné de quoi se nourrir à la plante, une nouvelle fois, et après avoir prit soin d'elle, ta professeur te regarde une énième fois et te demande. « Que veux-tu faire plus tard, Randy ? » Tu ne saurais trop répondre. A vrai dire, la botanique est ce qui te plait le plus, mais tu ne sais pas trop. Tu n'y a jamais véritablement réfléchi. Parce que ce n'est pas très important. Quel que soit le domaine, tu es sûr d'être heureux tant que ta famille est avec toi. Tu ne saurais dire si la botanique sera un domaine de prédilection, ou si tu iras vers une carrière médicomagique, ou vers quelque chose de plus justicier. Mais tu sais que tu veux continuer tes études. Parce que c'est le plus important : avoir un travail stable. Et une famille aimante. Et tu sais que ta famille t'aime. Tu ne sais pas trop pourquoi et comment – fichu problème de sentiments humains – mais tu sais au fond de toi que ta mère, ton père et tes soeurs t'aiment. C'est comme ça. Et tu es heureux comme ça. Tu aimes ta famille, et elle t'aime en retour. Tout va bien. « Je ne sais pas. », réponds-tu, le plus simplement du monde. C'est vrai après tout. Tu ne sais pas. Tu ne sais pas et pour le moment, c'est pas très grave. Il te faut d'abord passer tes BUSEs et après tes ASPICs, avant de pouvoir penser à ce genre de choses. Les BUSEs sont à la fin de l'année. Et tu comptes les réussir. Parce qu'il s'agit d'une des choses les plus importantes de ta vie.

« Tu sais, tu es doué en botanique. Tu pourrais continuer dans cette voie sans problèmes.
— Je n'ai pas encore décidé de ce que je voulais faire. C'est si dur de savoir quoi faire... »

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TRYING NOT TO CRY,

Tu t'éveillais. Encore une journée bien remplie. Il te fallait être actif aujourd'hui. Il s'agissait d'une journée très importante. De nombreux cours à suivre et des passages fréquents à la bibliothèque. Tu ne faisais que ça ces jours-ci. Aller en cours, voir tes frères et sœurs quand tu le pouvais, puis aller à la bibliothèque et retourner en cours. Cette année était très importante pour toi. Tout simplement car tu ne pouvais te rattacher qu'à ça pour continuer. Tu avais choisis un parcours de justice magique. Tu aurais peut-être aimé également faire de la botanique, mais ce n'était pas au programme, et à vrai dire tu n'en avais pas le temps. Mais la botanique était toujours quelque chose de très important. Et à vrai dire tu aurais aimer passer plus de temps aux serres. Le week-end, lorsque tu ne flânais pas avec tes sœurs, tu aimais t'y rendre. Et souvent, tu y trouvais ta professeur, ton ancienne professeur, à qui tu pouvais parler, à qui tu pouvais confier à quel point la botanique te manquait. La botanique te manque. Souvent, tu te surprends à reprendre un de tes anciens livres, à la bibliothèque, et le feuilleter pour te rappeler de cette époque bénie. Maintenant, tu peux juste parler à cette jeune femme qui te servait de professeur, et lui expliquer alors que vous vous occupez à deux d'une pétunia à col rond, combien la botanique te manque.

La journée commence très bien. Tu assistes à tes cours, puis te voilà déjà à la bibliothèque. Tu dois rendre dans trois jours trente centimètres de parchemin sur l'ascension des ministres britanniques dans le monde des sorciers. Tu entres dans la bibliothèque et te diriges très rapidement vers une table. Tu poses te affaires et t'empares très rapidement du livre que tu cherches. Ministres et ascension du XXème siècle. Il s'agit d'un gros volume. Tu le poses sur la table, sors ton parchemin, et commences rapidement à écrire quelques références. Il s'agit de faire le plus gros, et puis de recopier au propre. Tu fais toujours comme ça. C'est une méthode de travail comme une autre. Mais tu t'y retrouves mieux comme ça.

◊ ◊ ◊ ◊ ◊

Le lendemain. Il est très tôt. Trop tôt. Tu rejoins les autres élèves dans la grande salle. Tout est sombre. Tout le monde est là. Dumbledore semble prêt à faire un discours. Tu ne sais pas pourquoi il est là, pourquoi il vous a fait venir. Tu attends sagement qu'ils vous expliquent, tous autant qu'ils sont, pourquoi vous avez été réveillés en sursaut. Tu aurais pu dormir quelques minutes, précieuses minutes, de plus. Tu regardes les autres élèves, aussi abasourdis que toi. Vous êtes tous pêle-mêle, jetés dans la grande salle, dont les tables ont été écartées. Tu ne trouves ni Lucy, ni Briséis. Tu ne trouves personne. Et tu prends peur. Tu veux les retrouver. Tu as le sentiment que quelque chose de mal s'est produit. Car après tout, si Dumbledore et Dolohov sont levés aussi tôt, c'est pour une raison. Tu te demandes ce qu'il s'est passé. Tu sais que c'est grave. Mais tu ne pourrais te prononcer sur le pourquoi du comment. Tu n'as jamais été doué pour ce genre de chose. Ton cerveau fonctionne à la logique et non à l'instinct. Tous les professeurs sont assis, ainsi que Dumbledore. Dolohov porte un ridicule pyjama fushia qui n'est guère approprié. Mais qu'importe. Vous êtes tous en pyjama. Vous avez été réveillés tellement brutalement que vous n'avez pas eu le temps d'enfiler quelque chose. C'est là que tu as compris que quelque chose de mal arrivait. La logique te fait comprendre que quelque chose arrive. Et ton cœur, au fond de toi-même, te fait dire que c'est très mauvais. Dumbledore se lève, il regarde l'assistance en s'arrêtant sur quelques visages puis prend la parole. « Mes chers sorciers et sorcières, si vous avez été convoqué à cette heure si matinale, c'est parce qu'il s'est passé une tragédie. Diagon Alley a subi un attentat, ce matin, aux aurores... » Rien de spécial ne te dit que ça sent véritablement le roussi, mais tu commences à paniquer. « Plusieurs bombes magiques ont été placées à Diagon Alley et de nombreuses boutiques ont été touchés. Nous déplorons des morts, des blessés et St-Mangouste est chargée... Le ministre de la magie compte s'expliquer sous peu, mais pour l'instant, les secours s'occupent toujours des blessés et les équipes recherches d'éventuels survivants sous les décombres. » Tu commences à virer au rouge. Ton cerveau ne réfléchit plus. Tu perds contenance. « Je sais que certains d'entre vous ont des proches, de la famille, des amis qui travaillent à Diagon Alley ou qui devaient s'y rendre... Les aurors ici présents sont chargés de me communiquer la liste des victimes qui ont un lien avec certains d'entre vous. Je vais vous demander de bien vouloir écouter attentivement et si un nom est en lien avec vous, de vous avancer. Vous serez emmené dans une pièce pour retrouver votre famille. » Tu perds toute la logique que tu avais. Des larmes perlent ton visage. Ta mère, ton père. Tu commences à t'agiter, à traverser les espaces vides entre les élèves. « BRISEIS ! BRISEIS ? Lucy ? » Tes hurlements agitent plusieurs élèves. Mais qu'importe. Tu commences à pleurer à chaudes larmes. Une larme, une deuxième, puis une autre perlent ton visage. Tu enfouirais presque ton visage dans tes mains. Mais il te faut retrouver tes sœurs. Tu perds contrôle. Ça arrive lorsque tu penses que tu as perdu ta famille. C'est étrange. En réalité, tu extériorise tes émotions, disent les spécialistes. Ainsi, tu pleures et tu paniques. De plus, la pièce est relativement bondée. Tu sens que tu vas chanceler sous peu. Il te faut retrouver tes sœurs. Ils sont les seuls à pouvoir te calmer. Ils sont les seuls à te connaître. Tu n'as jamais fait connaissance avec qui qui ce soit à Poudlard. Tu n'as pas d'amis au final. De brèves connaissances ça et là, des amis de binômes. Mais pas de vrais amis. Tes seuls vrais amis sont ton frère et tes sœurs. Ils sont les gens les plus importants de ta vie avec tes parents.

La peur, et l'émotion te font perdre contrôle. Tu n'écoutes même pas les noms énoncés. Tu cherches Briséis et Lucy du regard. Mais tu ne les trouves pas. Où sont-ils ? On te touche l'épaule. Tu te retournes brutalement. C'est Briséis. Ton geste a du lui faire mal. Tu la regardes. Ton regard est embué par les larmes qui ont séché depuis quelques secondes. D'autres coulent à la place. Tu regardes Briséis. Le poids des larmes et de l'émotion te fait chanceler. Tu chancelles oui. Toute cette émotion a réduit tes jambes à de la bouillie. Tu ne tiens plus. Tu t'effondres à terre. Tes jambes s'écrasent contre la pierre. Briséis te soutiens et s'agenouille à son tour. Elle a chancelé sous ton poids. Mais à vrai dire tu n'es pas très gros. Non, tu n'est pas gros. Pas qu'on ne te nourrisse pas, bien évidemment. Mais vous n'avez jamais eu gros appétit, toi et les autres. Vous avez toujours mangé à votre faim. Mais ta morphologie fait que tu n'as jamais été bien gros. Tu n'as pas d'atouts généraux comme des adbos bien dessinés ou des biceps saillants. Tu es assez maigrichon. Mais ça te va. Tu n'es pas à Poudlard pour plaire. La plupart des filles et des garçons se voient en cachette désormais. Puisque Dolohov fait la loi, la plupart vont faire ce qu'ils ont à faire en cachette. Mais toi, tu ne sais pas ce que c'est. Tu n'as jamais été intéressé par ça. Tu te souviens encore de toi et Lucy, de retour à la maison, qui parlaient de masturbation. Tu étais rentré à la maison, avais été voir Lucy et avait demandé. « Lucy? C'est quoi la masturbation ? » Lucy avait pouffé de rire, t'avais tapé l'épaule, et t'avais tout raconté... Sans détails bien évidemment. Mais ce genre de choses ne t'intéressait pas. Pour le moment, tu n'avais pas la capacité émotionnelle de supporter ce genre de choses. Et de toute façon, la dernière fois que tu avais vu quelqu'un nu, tu avais fuis en attrapant des joues rouges comme le feu d'un Magyar. Mais qu'importe. Pour le moment, ton cerveau est déconnecté de toute réalité. Tu ne sens plus tes bras. Mais ceux, chauds de Briséis t'entourent. Tes jambes sont inefficaces. Tu sers à ton tour Briséis. Son toucher est doux. « Shht. Shht. Tout va bien. ».

Tu n'arrives toujours pas à te calmer. Même si Briséis n'arrête de te dire que tout ira bien. « Calmes-toi, RJ. » Mais tu n'y arrives pas. Tu pleures, encore et encore. « Mais. Maman ? Elle est.... morte ? » et tu recommences à fondre en larmes. C'est incontrôlable. Tu ne peux pas faire autrement. « Ne t'inquiètes pas. Maman n'est pas sur la liste. Tu n'as rien à craindre. » Tout semble s'apaiser dans ton esprit. Tu commences à arrêter de pleurer, tes jambes reprennent forme. Lucy et Briséis sont désormais agenouillées près de toi. Tout va bien. Maman est saine et sauve. « Ca va aller, RJ », intime Lucy, en te déposant un baiser sur la joue.

Puis tu te réveilles. Tout ceci n'était qu'un rêve. Un stupide rêve sur la mort de ta mère. Voilà comment tu vis ta vie depuis dix-huit ans.

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C'est de l'accueil RANDY-JAYDEN ı still not too old to die young. 152426858

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Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.

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Frérot

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bienvenue même si MÔNSIEUR était là avant tout le monde RANDY-JAYDEN ı still not too old to die young. 4153354820

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Fiche finie RANDY-JAYDEN ı still not too old to die young. 2752390508

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poufsouffle !

bienvenue

Bravo RJ ! Le choixpeau t'as recensé chez les travailleurs et loyaux élèves de la maison de Helga Poufsouffle. Il n'a pas hésité une seule seconde puisque tu es timide, loyal, très émotif, studieux, renfermé. Te voilà donc membre officiel de cette maison ! N'hésite pas à te rendre à ta salle commune se trouvent à cet endroit afin d'y retrouver les autres membres de Poufsouffle.

Ce que je peux dire sur ta fiche de présentation, c'est que j'aime toujours autant RJ Ca avait été un plaisir de lire ta fiche sur l'ancienne version et ça a été un plaisir de la redécouvrir, j'aime énormément ton écriture mais ça on le savait déjà

Désormais que tu es officiellement validé(e), tu peux te rendre sur la CB du forum afin de mieux t'intégrer. N'hésite vraiment pas à aller voir la section du parrainage si vraiment tu as besoin d'aide personnalisée pour faciliter cette intégration au forum. De plus, ton parrain ou ta marraine sera à ta disposition le temps qu'il te faudra. Ce n'est pas une honte d'avoir besoin d'aide car on sait tous que cela peut être très intimidant de sa lancer dans le bain. De plus, tu peux flooder afin de compléter ton intégration et discuter avec les autres membres. Pour éviter les soucis dans le bottin et afin que ton avatar soit officiellement le visage de ton personnage, il faut absolument que tu ailles recenser ton avatar sans tarder à cet endroit ! C'est vraiment important car un nouveau membre peut s'inscrire en tentant de prendre ton avatar et avouons-le, ce serait vraiment embêtant. Comme pour le bottin des avatars, si tu comptes inscrire ton personnage en tant que préfet ou membre permanent de l'équipe de quidditch de Poufsouffle, il faudra que tu le recenses dans cette partie qui regroupe aussi les demandes de liens et de topics. Qui dit Poudlard, dit coupe des quatre maisons, remise à la fin de l'année et si tu souhaites participer à la victoire de ta maison, n'oublies pas de recenser tous les points que tu gagnes ici. Si tu le souhaites, tu peux créer une pensine à cet endroit afin d'y noter toutes tes pensées et/ou évènements de ton personnage. Pour terminer, une partie a été créée spécialement par le staff afin de vous permettre de poser des questions aux membres dudit staff. Toutes vos questions resteront invisibles aux autres mais tout cela est expliqué dans la section portant le même nom ici.

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