NOM : McNair, une autre illustre famille comptée bien gracieusement parmi les vingt-huit sacrés, rappel d’un prestige jamais égalé. Néanmoins, à ceux qui s’en souviennent, l’on pourrait considérer ce clan comme l’un des plus infâme que le monde sorcier connaisse, basant leur renommée sur les pires réputations basées au fil du temps. L’on ne se méfie jamais assez d’un McNair, quand bien même celui-ci pourrait vous paraître différent et gentleman. PRÉNOM(S) : Fitzwilliam, cinquième du nom, qu’il abhorre et préfère ne pas même utiliser, si ce n’est pour des signatures officielles, où celui-ci paraît dès lors bien plus important et imposant. Ardhen, petit caprice d’une grand-mère amoureuse de ce prénom depuis Merlin seul sait quand… Et comme il n’est jamais bon de froisser la matriarche d’une famille… C’est par ce prénom-ci que le fils McNair se fait bien souvent appeler, sans nul besoin de surnom à côté. AGE : trente-deux ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 18 mai à Londres ASCENDANCE SORCIÈRE : Allons allons, comment douter de son ascendance lorsque l’on sait que son nom fait partie de la liste des vingt-huit sacrés du Royaume-Uni ? Nul doute n’est permit quand à son ascendance, et lui-même met un point d’honneur à clamer qu’il fait partie de ces sang-purs, clamant une supériorité qui se retrouve dans chaque pore de sa peau, son regard farouche et ses manies droites. ORIGINES : Anglais de pure souche, l’on peut pourtant dénoter dans son arbre généalogique quelques touches françaises, parfois même russes. Rien de bien transcendant, mais qui se ramène pourtant à certaines de ses façons et traits de son caractère. On reconnaîtra particulièrement le russe dans sa façon de demeurer fermé à tout ce qui s’appelle sentiments. BAGUETTE : Étrange création de maitre Ollivander, la baguette d’Ardhen se compose d’un bois de saule étrangleur ; dont l’utilisation pour ce genre d’outil est désormais formellement interdite puisqu’hautement dangereuse pour celui qui souhaite en récolter ; quand le cœur se veut d’une artère de léviathan, créature aujourd’hui considérée comme mystique et légendaire, qui pourtant à prouvé son existence par trois fois. Mesurant près de 31 centimètres pour quelques millimètres négligeables, elle se veut droite et rigide, et prédisposée pour les maléfices. À moins que ce ne soit la défense contre les forces occultes… SITUATION AMOUREUSE : Autrefois homme à femme, il s’est avéré contre toute attente que le jeune homme qu’il était alors s’est rapidement trouvé fiancé à une créature outrageusement divine à ses yeux. Une situation qui n’a hélas nullement abouti, le laissant seul et humilié à l’autel. Et s’il est célibataire endurcie aujourd’hui, moine de temps à autre ou bien au contraire coureur de jupons, il n’en demeure pas moins qu’il est désormais père d’une fillette de trois ans, résidu d’un passé qu’il pensait enterré en même temps que le souvenir de l’église. SITUATION PROFESSIONNELLE : Employé au ministère depuis la fin de sa scolarité, l’abandon du poste de garde-chasse lui a prévalu une… promotion. C’est depuis cette rentrée donc qu’il siège à ce poste, permettant au ministère de la magie de conserver un œil et du pouvoir sur ce domaine. Il ne faudrait pas que les élèves aillent se faire dévorer par des centaures. Quant aux manières de ce jeune garde-chasse, elles sont pour le moins… bien étrange, mais tant que Dolohov ferme les yeux, tout va pour le mieux, même s’il apparaît que le vieux Dumbledore à posé certaines conditions. Utile, lorsque l’on connaît la vieille réputation de l’ancien serdaigle. MAISON/PARCOURS SCOLAIRE EFFECTUE :Contrairement à tout ce que l’on pourrait croire, jamais Ardhen ne fut envoyé à la maison de Serpentard, son choix propre puisqu’il considère cette maison comme quelque peu… trop imagée. Par son choix, le choixpeau à préféré l’envoyer à Serdaigle, lui permettant de mener à bien ses recherches et son besoin d’assouvir sa curiosité. À la fin de sa septième année, il intégra le parcours des Arts Occultes, se faisant l’un des meilleurs étudiants de sa promotion. POINTS FORTS : Ardhen a toujours eu des prédispositions pour les maléfices et envoûtements, petit passe temps entre les cours autrefois, lorsqu’il était encore un petit con et arrogant. Toutefois, ce n’était pas tant la seule matière qui voyait son inspiration grandir, puisqu’il était au moins aussi bon dans les potions et poisons. D'autre part, il a toujours apprécié les créatures magiques POINTS FAIBLES : Bien peu attiré par l’histoire de la magie, il lui arrivait bien souvent de s’endormir durant le cours de Binns, et ce, bien malgré lui. Le seul cours qu’il serait capable de conter sans se tromper est sur la révolte des vampires, suffisamment glauque pour le tenir éveillé. Quant à ses autres points faibles… il semble incapable de refuser quoi que ce soit à sa fille, en faisant une enfant bien trop gâtée, mais que voulez-vous, il ne la voit peut-être pas assez pour lui dire tout simplement non. Et non, les femmes ne sont pas son point faible, sinon, il ne saurait pas esquiver Miss Arton. PATRONUS : Bien trop souvent heureux pour ne jamais créer de patronus, ce fut un ocelot qui s’instaura dans la vie du jeune homme qu’il était alors, félin naturellement discret, néanmoins capable de mettre à bas la proie qu’il désire. Utilisé bien plus souvent pour remettre des messages que pour éloigné un quelconque épouvantard, il n’est pas rare de voir cette étrange apparition faire soudainement apparition aux côtés du tout nouveau professeur. EPOUVANTARD : Autrefois, la plus grande peur d’Ardhen résidait en ces horreurs ambulantes que l’on nomme clown, une frayeur datant de son enfance et qu’il semble avoir finit par surpasser. Ainsi donc, quel pourrait être son nouvel épouvantard ? N’espérez pas même qu’il vous le souffle, car c’est là un secret bien gardé… Dolohov elle-même l’ignore, un comble pour une harpie de sa condition. PARTICULARITÉ MAGIQUE : Hormis la mauvaise manie de garder une barbe de trois jours, de balancer des maléfices sur les élèves qui marchent sur des plantes rares, boire de la vodka sang-de-dragon à midi et appeler Dolohov « ma chère et tendre harpie » ? Il n'en possède aucune.