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 head bitch in charge (la bonnasse).

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Bonnie S. Arton
Bonnie S. Arton
I swear I'm up to no good

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MessageSujet: head bitch in charge (la bonnasse).   head bitch in charge (la bonnasse). Empty31/10/2012, 21:05


bonnie sydney arton



YOU NEED A TWELVE STEPS PROGRAM TO BREAK MY SPELL.
NOM : écrire ici. PRÉNOM(S) : A sa naissance, il était hors de question pour Savannah Arton d'affubler sa progéniture d'un prénom à rallonge simplement pour pour imiter les classes supérieures. Bonnie Sydney fut donc le patronyme de la fillette tout juste née. nom : Arton. Un nom de famille simple, peu connu, peu emprunté. La petite famille ne possède pas d'illustres ancêtres comme nombre de sorciers AGE : vingt-six ans bien que la jeune femme oscille dangereusement vers les vingt-sept ans, un âge qui ne la traumatise pas plus que ça. Si une ride quelconque venait néanmoins à apparaître sur son visage, vous pouvez être sûr que la jeune femme se mettrait en quête de trouver la potion qui lui redonnerait l'éclat de ses vingt ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : La jeune femme a vu le jour un quinze septembre mille neuf cent cinquante-quatre à Perth, Australie. ASCENDANCE SORCIÈRE : Bonnie est issue d'une famille née-moldue. Ayant effectué sa scolarité parmi des sorciers au sang-pur, elle n'a jamais revendiqué la véritable nature de son propre sang. Pas par honte mais par soucis de maintenir sa réputation de brune incendiaire. ORIGINES : Australienne, ce qui semble logique. Elle vient donc de ce pays qui vit au rythme de la chaleur ambiante et des les immenses vagues qu'elle peut aisément observer de sa petite maison bordant la plage. SITUATION AMOUREUSE : Ardhensexuelle. célibataire depuis toujours et réputée pour ses frasques nocturnes avec de charmants jeunes hommes. Personne n'a jamais vu Bonnie en couple ou, si cela fut le cas, aucun sentiment n'était impliqué. Tout était question de relations sexuelles. SITUATION PROFESSIONNELLE : bibliothécaire, depuis la rentrée, soit quatre ans après l'obtention de son diplôme à Poudlard. Ne vous méprenez pas, Bonnie s'est facilement lassée de ce métier qu'elle juge ennuyant et peu productif. Elle rêve (ou plutôt exige) une vie pleine de fastes, d'argent, de luxe et est prête à tout pour parvenir à ses fins. MAISON/PARCOURS SCOLAIRE EFFECTUE : Le choixpeau n'eut aucun mal à déterminer la maison dans laquelle la jeune Arton effectuerait sa scolarité. A peine posé sur sa tête brune qu'il lançait un "Serpentard !" Elle a choisi le parcours journalisme et littérature sorcière. BAGUETTE : bois de lierre, vingt-sept cm et contient écaille de sirène. Prédestinée pour la métamorphose. POINTS FORTS : Les hommes. L'étude des runes, matière dont tout le monde se fiche éperdument. Étrangement, Bonnie adorait transcrire des textes en runes et était même plutôt douée pour ça. POINTS FAIBLES : Les hommes. La botanique. Connaissant Bonnie, vous comprenez que mademoiselle détestait se salir les mainspour planter des espèces de choses qui ne lui serviraient à rien du tout.PATRONUS : une hyène. Surprenant, n'est-ce pas ? EPOUVANTARD : Elle, ridée et flétrie. PARTICULARITÉ MAGIQUE : aucune.


dance like a hairy troll
CORDELIA DOLOHOV, T'EN PENSES QUOI ? T'AIMES SA COUPE DE CHEVEUX ?
Cordélia Dolohov est l'être le plus adorable du monde. Bonnie apprécie la compagnie de cette femme ô combien importante dans le monde magique. Enfin, ce qu'elle apprécie plus que tout, c'est la réputation de la vieille harpie. Il est toujours important de se montrer respectueux et aimable avec les gens qui peuvent vous procurer des opportunités professionnelles. Notre Arton nationale se plierait en deux pour servir les désirs de la vieille sorcière si ça peut l'aider à grappiller un poste haut placé. En dehors de ça, la Dolohov n'est pas plus intéressante qu'un botruc et en plus, elle est coincée du poptin. Non, vraiment, Bonnie ne peut pas devenir amie avec un balais (oui parce que bon, y'a de quoi se poser des questions sur sa coupe de cheveux).

T'ES PLUTÔT QUIDDTICH OU CLUB DE LECTURE ?
Quidditch, assurément. Bonnie faisait partie de l'équipe des Serpentard en tant que poursuiveuse. Elle n'était pas spécialement une bonne joueuse mais elle semait assez le trouble pour assurer une victoire aux verts et argent. Les coups bas, les baisers volés à un Gryffondor au détour d'un vestiaire pour le destabiliser avant le match, c'était elle. Ne croyez pas que Serpentard méritait ses victoires, la jeune femme était un atout majeur. Bon, certes, il y avait quand même de très bons joueurs.
ÇA REPRÉSENTE QUOI LA NATURE DU SANG SORCIER, A TES YEUX ?
Né-moldu, sang-mêlé, sang-pur, hippopotame, Bonnie n'en a cure. Née dans une famille de moldus, elle sait parfaitement ce que c'est de se retrouver parmi de jeunes adolescents qui ont connu la magie bien avant elle. Surtout lorsqu'on se retrouve chez les Serpentard et qu'il faut tout faire pour éviter les moqueries "sang de bourbe". Pourquoi croyez-vous que la gamine de onze ans qui débarque de son Australie natale s'est imposée comme étant celle qui fallait suivre ? La peur, bien évidemment. La peur qu'on découvre sa véritable nature. Certes, elle n'en a cure mais ce qu'elle n'admettra jamais, c'est qu'elle a presque honte d'être une née-moldue.
L'AVENIR, TU VOIS ÇA COMMENT ?
L'avenir, c'est un concept bien vague pour la jeune Arton. Enfin non, elle sait précisément ce qu'elle veut. Ce job de bibliothécaire n'est que temporaire ; elle est à la recherche de l'homme puissant qui pourra lui apporter tout ce qu'une femme ambitieuse désire : argent, pouvoir, satisfaction, célébrité. Elle coucherait avec lui une première fois pour l'allumer totalement, puis faire semblant d'en être éperdument amoureuse avant de l'épouser et de grimper dans les hautes sphères du monde magique. Elle aspire à une vie luxueuse, pas une vie banale.




et sinon ?

WESH WESH WESH. Non, je ne parle pas comme ça IRL, rassurez-vous. Bon, je suis pas douée pour me présenter mais on va essayer alors on ne juge pas MERCI. head bitch in charge (la bonnasse). 1411664268 On me connait sous le pseudo Dripping Alchemy sur Bazzart, aka Camille la tarée, la perverse, ce que vous voulez. J'incarne ma chère Bonnie avec la divine Odette Annble que l'on ne voit malheureusement jamais sur les forums (enfin tant mieux, finalement Arrow). Je suis actuellement en année Erasmus en Angleterre donc pas tous les jours présente mais je ferais de mon mieux si jamais vous avez des questions ou quoi que ce soit. Voili voilou, à bientôt dans le métro, à plus dans le bus. head bitch in charge (la bonnasse). 3336834736




Dernière édition par Bonnie S. Arton le 22/11/2012, 08:28, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: head bitch in charge (la bonnasse).   head bitch in charge (la bonnasse). Empty31/10/2012, 21:05


primadonna.

all she ever wanted was the world.
BONNIE ARTON FT. WIZARDRY ⊱ PERTH, 1968. « Notre fille est une sorcière, Thomas…Ou plutôt un monstre ! Comment allons-nous le cacher au reste de la famille ? » Ses cheveux d’un brun sombre tombaient sur son visage, masquant le doux minois de cette jeune femme qu’était Savannah Arton à son mari Thomas, confortablement installé dans l’un des fauteuils de leur salon. Perplexe, il observait sa femme se lamenter et ne prononçait mot, certainement par peur de se faire rabrouer. « Elle n’est pas normale, Thomas. Et…Et ils veuillent l’envoyer dans une école pour l’élever avec d’autres comme elle, une sorte d’asile. On ne peut pas lui faire ça, elle est si jeune… » Un soupir. Un énième soupir venant de cet homme qui ne supportait plus les sanglots de sa femme. Oui, leur petite Bonnie n’était pas normale. Oui, elle pouvait jeter des sortilèges. Oui, elle pouvait faire exploser rien qu’en regardant un pot de colle sur ceux qu’elle détestait. Pour autant, est-ce que leur petite fille ressemblait en tout point à ce que l’on pouvait qualifier de monstre, avec ses robes fleuries, ses longs cheveux bruns, ses petites boucles rebondissant à chaque fois qu’elle courait avec grâce dans leur jardin ? Bien sûr que non. « Arrête de parler de ta fille de cette façon. Elle n’est pas normale, d’accord. Ses pouvoirs, selon l’espèce de vieux fou, elle les gardera à vie. Est-ce que tu vas la renier pour autant ? Sérieusement Savannah, Bonnie n’est pas un monstre. Elle est seulement différente. » L’espèce de vieux fou aka le sorcier qui était gentiment venu les informer qu’à la rentrée, leur fillette adorée s’envolerait pour l’Angleterre. Ce n’était pas vraiment un problème puisque la sœur de Savannah, Lisa, la bimbo mariée à un riche entrepreneur, vivait à Londres donc Bonnie se sentirait comme à la maison et pourrait compter sur sa jeune tante. « Et puis, quels parents ne rêveraient pas de voir leur progéniture faire quelque chose de différent ? Ils veulent tous que leurs enfants soient médecin ou avocat. Et bien, Bonnie sera une sorcière…Quoique j’ignore quels sont les métiers que ces gens peuvent bien pratiquer. » Un cri de rage s’éleva su canapé tandis que Thomas Arton reçut de plein fouet sur son visage l’un des coussins qui ornait les fauteuils de leurs salons. Bon, c’était parfait, sa femme était d’une humeur de chien et sa fille gambadait toujours dans le jardin, peu soucieuse de ce qu’on lui avait annoncé. Le plus difficile dans cette histoire avait probablement été le jour où l’institutrice l’avait appelé à son bureau, catastrophée. Un pot de colle avait explosé à la figure d’une des élèves et ce, en plein cours de travaux manuels. Bien évidemment, c’était tombé sur la petite pimbêche Breckenridge, petite peste que leur brune préférée adorait détester. Pour toute excuse, Thomas avait du inventer un prétexte comme quoi il avait vu Bonnie avec un pétard de taille microscopique dans sa poche le matin-même. Ridicule ! Maintenant, il comprenait pourquoi ces agissements étranges. Maintenant, il savait qu’il avait certainement surestimé les capacités de leur protégée. « Vois le côté positif de la chose, chérie…Lisa s’en occupera, elle est très gentille. » « Gentille ? Tu serais capable de laisser notre fille dans les mains d’une bimbo qui déambule en talons aiguilles où qu’elle aille ? Tu veux que Bonnie ressemble à une prostituée ? », s’écria Savannah, un rire jaune s’échappant de ses minces lèvres.La jeune femme ne détestait pas sa sœur, loin de là mais disons qu’elles ne se ressemblaient en rien. Lisa, ou plutôt dame Elisabeth, était grande, mince, belle, souriante alors que Savannah traînait tout le temps en guenilles faites de fibres naturelles et se souciait plus de l’environnement que de son dressing. Quel exemple pour la petite Bonnie.

Ah, ça promettait ce truc à Pouglart ou quelque chose dans ce genre.

BONNIE ARTON FT. PETTINESS ⊱ POUDLARD, 1968 - 1975. Quelques mois plus tard, Bonnie intégra enfin l'école de sorcellerie et fut admise dans la maison Serpentard qui semblait lui convenir à merveille, à part pour la nature du sang, chose qu'elle taisait dès que quelqu'un daignait lui en parler. Au début, comme n'importe quel élève de première année, la jeune fille se concentrait tout particulièrement sur ses devoirs, traînant de temps à autres avec les quelques amis qu'elle s'était fait rapidement. Mais à force de fréquenter la vermine des Serpentards, Bonnie vint rapidement à se comporter comme une petite peste et se confortait dans sa position. Elle aimait donner des ordres, se moquer des plus faibles, enchaîner les coups bas pour gagner la reconnaissance des autres ce qui fut rapidement chose faite. La troisième année passée à Poudlard marqua un tournant majeur dans la vie de la jeune Arton. Elle fut admise dans l'équipe de Quidditch en tant que poursuiveuse et se révéla être une bonne joueuse malheureusement insupportable sur un terrain. Tous les moyens étaient bons pour gagner, quitte à faire mal, elle s'en moquait. Parallèlement, la première rencontre avec sa tante anglaise, Lisa, sœur de sa mère, fut un évènement marquant. Cette grande, belle et riche dame à talons hauts fut probablement la première personne à se soucier de l'apparence de sa nièce. Elle répétait maintes fois à Bonnie qu'était jolie et qu'il fallait se mettre en valeur par tous les moyens. Ainsi, Lisa décida d'envoyer tous les mois à sa nièce adorée une certaine somme d'argent afin qu'elle puisse s'acheter de quoi plaire à la gente masculine.
Mais en agissant de la sorte, Lisa était loin de se douter que sa nièce deviendrait la garce que tout le monde connaissait tant. Qu'importait, elle en était fière.
Etre une petite peste ne suffisait malheureusement pas à atteindre les hautes sphères des Serpentards. Il fallait choquer, montrer sa supériorité, se comporter le pire des humains pour qu'enfin on daigne vous regarder avec envie. Contrairement à la majorité de ses camarades, Bonnie dégageait cette espèce de charisme qui la transformait en adolescente sûre d'elle et toujours prête à manipuler les autres. Déjà, à ce moment-là, bon nombre de garçons se laissaient facilement piéger par cette garce aux charmes ravageurs. Ils se comportaient en amoureux éconduits, répondaient à tous ses désirs mais l'Australienne les jetait comme de vulgaires objets sans éprouver une once de regret. Bien qu'elle n'eut que quinze ans, Bonnie devait admettre qu'elle prenait véritablement gout aux plaisirs de la chair, allant même jusqu'à le faire dans le lit de ses parents en Australie, pendant les vacances d'été. Les jeunes garçons se ressemblaient tous, aucun ne méritait d'attirer son attention. Les considérer à leur juste valeur revenait à les séduire, coucher avec ou les jeter, en créant bien évidemment de faux espoirs. Telle était la philosophie de Bonnie qui ne se gênait plus pour coucher avec n'importe quel mâle pour le moins attirant. Alors, certes, on la considérait comme l'objet sexuel des Serpentards; certes, on ne se gênait pas pour la siffler, l'Australienne se délectait d'une telle réputation. Après tout, la vie était faite pour être vécue sur tous les plans, autant en profiter, surtout pendant sa dernière année à Poudlard.

BONNIE ARTON FT. BOREDOM ⊱ POUDLARD, 1981. « Miss Arton, serait-il possible que vous m’aidiez à attraper le livre rouge qui est tout en haut ? » Les yeux de la brune quittèrent momentanément l’ouvrage qu’elle lisait silencieusement pour se poser sur le jeune garçon qui attendait sa réponse avec impatience. Un haussement de sourcils. La belle referma aussi sec le livre et se redressa, méfiante. Oh oui, plus que méfiante. Les mâles de dix-huit ans qui lui demandaient ce genre de chose désiraient, dans la plupart des cas, la regarder de plus près, la voir monter sur un escabot, de préférence lorsqu’elle portait une petite robe d’été ou une mini-jupe qui laissait deviner la forme de ses longues jambes. Non pas qu’elle détestait se faire mater ouvertement mais la façon dont les étudiants l’abordaient la déconcertait. Aucun n’avait le courage de lui dire en toute honnêteté qu’il se foutait royalement du livre à la couverture rouge dont il n’avait pas retenu le nom, nom que la jeune Arton lui avait donné deux minutes plus tôt. « Théorie des stratégies de défense magique, Hamilton. Le livre rouge possède lui aussi un nom. » Sa voix, mêlant douceur et fermeté, retentit entre les étalages de la bibliothèque, faisant sursauter le jeune Hamilton qui ne put s’empêcher d’afficher un sourire gêné. . La bibliothécaire de Poudlard pouvait être intimidante, parfois. Du haut de ses talons aiguilles, sous sa cape de sorcière, elle en imposait. Pour d’autres, il s’agissait simplement d’une mascarade, d’un rôle que l’australienne se plaisait à jouer pour attirer l’attention de ses comparses masculins. Son cursus à Poudlard terminé, Bonnie avait essayé, en vain, de trouver un métier qui lui apporterait une situation financière stable. Aucune proposition ne fusait, aucune de ses candidatures n’était retenue. Alors, tandis qu’elle continuait de sortir avec ses amis, de rendre visite à ses parents en Australie, elle se laissait parfois aller dans les bras d’un sorcier fortuné tout en réclamant un salaire à la fin de sa prestation. Désespérée, honteuse, la Bonnie ? Oh non, pas du tout. Pas le moins du monde. Pratique restée secrète pendant les quatre années avant de devenir bibliothécaire, la jeune femme désirait simplement gagner un peu d’argent facilement avant d’épouser un riche sang-pur ou de trouver un travail dans le monde magique qui lui permettrait de vivre dans le faste permanent. La place de bibliothécaire à Poudlard se libéra et, persuadée qu’elle pourrait s’épanouir avec les jeunes sorciers, elle sauta sur l’occasion pour postuler et donner le meilleur d’elle-même dans sa candidature. Première fois qu’on retint son dossier et qu’on lui attribua, à vingt-six ans tout juste, son premier métier. Pour autant, après l’euphorie du début, Bonnie s’ennuyait de pied ferme. Finalement, être bibliothécaire ne serait qu’un tremplin pour ses projets futurs. « Honnêtement Hamilton, en un Wingardium Leviosa, c’est réglé. Faites un petit effort, quand même. » Ah, Bonnie.Même en faisant partie du personnel, elle préférait inciter les élèves à enfreindre le règlement. Heureusement que Dolohov ne passait pas par là.

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